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| Le 01/07/2005 à 22h50 (83.199.***.*) |
Poilette - @Renaud
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Encore des critiques ? Encore des textes ? Encore les deux ?
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| Le 01/07/2005 à 21h49 (217.136.**.**) |
renaud@all -
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A vous les critiques !!!!!!
Si demain ,
nous etions dejà parti ,
là bas , sans un geste sans un bruit ,
là où les cris n'existe pas
là où la mort n'est pas roi ,
juste le vent , la pluie et toi .
je ne savais plus y croire ,
d'ailleurs ton coeur n'y étais plus
mais on savait que nos reves ne s'envolerait plus ..
allez offre moi ta main ,
jetons nous , on n'y perdra rien ,
juste cette aventure ,
sans issue sans futur.
je ne savais plus y croire ,
d'ailleurs ton coeur n'y étais plus
mais on savait que nos reves ne s'envolerait plus ..
j'étais un nuage , toi le soleil
la vision de nos reves ,
et on fesait tomber le ciel sur nos peurs ,
tomber la foudre en plein coeur .
je ne savais plus y croire ,
d'ailleurs ton coeur n'y étais plus
mais on savait que nos reves ne s'envolerait plus ..
de là haut ,
on regardait leurs vies ,
de là haut ,
l'horreur , l'ennuye
dans quel reve sont ils ?
de là haut ,
nous delivrera t'il?
attention les maquettes des chansons arrivent bientot , Ep prevu pour fevrier 2006
a+ renaud
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| Le 01/07/2005 à 19h24 (83.199.***.*) |
Poilette - @Nico & Ã tous
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Mais de rien Nico, le talent faut l'encourager. Et quand on émet une critique c'est avant tout pour être constructif... que ce soit une critique positive ou bien une qui l'est moins.
Aller, au lieu de précher la bonne parole sur l'utilité de la critique, je ferais aussi bien de m'y exposer moi-même ! Alors à vos dents dures...
5ème étage camisole
J’suis un fou, rien qu’un fou,
J’veux rien et puis j’veux tout
J’pète un plomb, j’suis qu’un pion,
J’suis au bord d’l’explosion.
Et j’m’en fous d’être un fou
J’voulais juste être à vous
J’voulais être le maton
De votre belle prison.
J’veux qu’on m’isole, j’veux qu’on m’isole
Au 5ème étage camisole.
J’veux plus dormir sans vous sentir
J’veux pas guérir, j’préfère périr,
Rester inerte sur le sol
Du 5ème étage camisole.
Dans mon monde y’a des ondes
Qui m’assaillent et me tondent,
Elles s’imposent dans ma tête
Comme la folie qui guette.
J’voudrais tant m’envoler
Vous rejoindre, vous aimer.
Votre refus m’provoque
Comme des électrochocs.
J’veux qu’on m’isole, j’veux qu’on m’isole
Au 5ème étage camisole.
Dans ma chambre capitonnée
J’me roule à terre pour vous hurler,
Je pourrais arracher le sol
Du 5ème étage camisole.
Plus j’m’effondre, plus je sombre
Vous êtes dev’nu une ombre
Dans ma mémoire de fou
Y’a plus qu’des traces de vous.
Je sais que je suis fou
Je sais que je suis vous
Pourquoi sortir vivant
Pour faire face au néant.
Voilà. Louis, si tu passes par là tu as droit au chapitre aussi bien sûr, après tout t'es quand même chez toi ici ! Biz à tous, bon week-end.
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| Le 01/07/2005 à 13h38 (80.170.**.**) |
Nico - @ Rémi & Poilette
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Merci les gens pour ce message de félicitations, je ssais j'ai beaucoup trop de talent pour arriver à percer ;-). ça m'a fait plaisir vos messages; Bonne journée à tous
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| Le 01/07/2005 à 13h25 (82.123.**.***) |
Ed@ bon week à tous.. -
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Sherlock Holmes et le Dr Watson sont au camping.
Après un bon repas et quelques bouteilles de vin, ils gagnent leur sac de couchage pour la nuit et s'endorment.
Quelques heures plus tard, Holmes se réveille et aussitôt secoue son compagnon :
- Watson, regardez le ciel et dites-moi ce que vous voyez
- Je vois des millions et des millions d'étoiles.
- Qu'est-ce que cela vous évoque ?
- Astronomiquement, répond Watson, cela me dit qu'il y a des millions de galaxies et potentiellement des milliards de planètes.
Astrologiquement, j'observe que Saturne est en Lion.
Horairement, j'en déduis qu'il est environ 3 h 15.
Théologiquement, je vois que Dieu est tout-puissant et que nous sommes petits et insignifiants.
Météorologiquement, je pense que nous aurons une belle journée demain.
Et vous, Holmes ?
Sherlock Holmes reste silencieux une minute puis déclare :
- Watson, vous êtes une burne. Des abrutis nous ont fauché la tente.
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| Le 30/06/2005 à 18h33 (195.93.***.**) |
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| Le 30/06/2005 à 15h38 (83.115.***.**) |
Poilette - @Ed
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Pitain, savoir que mon pognon (je me suis faite toper sur l'autoroute une fois...) va dans la poche du frérot du ministre et pas dans la prévention routière ça me tue ! GRRRRRRR je vais finir par me shrekiser de colère...
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| Le 30/06/2005 à 13h03 (82.123.***.***) |
Ed -
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La vérité sur les radars.
Il y a quelques jours est passée, sur France 2, une petite info qui fait
réfléchir...... Sur un ton humoristique le reportage montrait un radar
automatique, quelque part du côté de Clermont-Ferrand je crois, qui
avait été hors service pendant 3 semaines. Pourquoi Parce qu'EDF avait
coupé le courant pour facture impayée !!! Drôle, non ? Mais ce n'est pas
tout, le vraiment intéressant est ailleurs. En effet le journaliste nous
expliqua que la société qui gère le radar n'avait pas payé en temps sa
facture d'électricité. La société qui gère le radar ????..............
Quoi ?? Une société privée gère le radar ?? Je croyais que les radars
dépendaient de l'état !!! Mais alors si on réfléchit cela veut dire
qu'au passage il y a des gens qui se sucrent sur les infractions des
automobilistes et que l'argent des amendes loin d'aller entièrement dans
les caisses de l'état (ce qui serait un moindre mal) va en partie dans
des poches privées !! Et on peut supposer (car aucune entreprise privée
n'est une oeuvre philanthropique) que ces entreprises sont intéressées
proportionnellement à la rentabilité des radars. La spéculation sur la
sécurité routière, voilà la dernière trouvaille... On nous avait pas dit
ça quand le gouvernement a lancé sa campagne. Il n'y a pas que la
sécurité routière dans l'histoire mais aussi (et surtout ???)... Une
affaire de profit !!! Et bien sur pour couronner le tout, le PDG de
cette entreprise n'est autre que le frère du ministre Gille de Robien.
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| Le 30/06/2005 à 11h07 (83.199.***.**) |
Poilette - @Nico, @Renaud
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@Nico : j'aime bien ton texte et la façon dont tu traites les opposés, pour les réunir ensuite dans la troisième partie. J'aime bien la fin :
Prostituée
Tuée.
C'est percutant.
Je pensais que l'ensemble serait plus difficile à lire car à première vue on a du mal à repérer une structure, mais finalement ça coule tout seul, bravo. C'est un sujet difficile, qui peut être traité de bien des façons, et je trouve que tu l'as bien envisagé, sans agressivité ni côté moralisateur.
@Renaud : je suis moins emballée par le sujet... je trouve ça pas mal mais des fois j'ai du mal à comprendre le sens, et il y a un peu de lourdeur dans les rimes et dans la construction des couplets.
Des nuits à chercher la clef,
De cette énigme qui nous a oubliés
Pour cette partie, tu dis « cette » énigme mais tu ne la poses pas avant dans le texte donc on ne voit pas bien à quoi tu fais référence.
J’aime bien cette phrase : j'étais en pleur, au fond de toi.
Pour l’ensemble, il y a l’idée qui est bonne. Je trouve que la mise en forme du texte est un peu hasardeuse. Et une chose importante pour comprendre un texte : l’orthographe. Des fois ça peut faire changer complètement le sens du texte : exemple si tu mets « ces » au lieu de « ses », ça change le sens même si les deux possibilités peuvent convenir… après ça dépend de ce que tu as envie de dire. Eventuellement je suis d’accord pour te faire les corrections orthographiques si ce n’est pas ton fort.
Biz à tous les deux, et continuez…
Ingrid.
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| Le 29/06/2005 à 20h51 (83.199.***.**) |
Poilette - @tous
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J'ai trouvé la porte, y'avait de la lumière qui passait par en dessous, j'ai ouvert doucement, parcouru des yeux, des oreilles aussi, j'ai exploré du coeur et j'ai aimé...
Je suis contente que les méandres de mes routes m'aient amenée jusqu'ici... j'peux rester ?
Si vous êtes sages j'vous écrirai des chansons...
Biz.
Ingrid (à poils)
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| Le 29/06/2005 à 09h34 (80.170.*.**) |
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Pierre-Henri, 23 ans
Fils de riche, catho pratiquant
Futur avocat, il ne mélange pas
Torchons, serviettes et tous les tralala
Sa fortune il la doit
A tous ses ascendants
Arrière-….-Arrière-grands-parents
Même pas reconnaissant
Lui qui se dit intelligent
Vouvoie Papa Maman
Ne fréquente que des gens
De son milieu évidemment.
Tous les jours, il sort sa Porsche
Et la coke de sa poche
Convaincu de réussir sa vie
Il ira loin Pierre-Henri
Se fera de l’argent
Sur le dos de ceux qu’il critiquait tant
Avec lequel il assurera
Une retraite bien méritée
Achètera une belle villa
Tout en haut du rocher.
Maria, fille d’immigré
Venu de Sicile en Février
Rejoint la France et ces rêves de libertés
Mais ne trouve que la précarité.
Dans sa chambre d’hotel,
Reçoit des amants potentiels.
Tourmenté dans son ombre,
Le miroir de la demoiselle est sombre.
Elle rêve du bonheur
Quand on prend possession de son corps.
Elle veut fuire son malheur
Mais seule sans réconfort
C’est difficile à vivre
Pour une jeune fille en bas-résilles.
Son histoire est illusion perdue
Comme celle d’un ange déchue
Qui pensait que la vie serait belle
Mais qu’est devenue la sienne ?
La frontière peu lointaine,
Sa contrée la rappelle
Mais ici ou ailleurs,
Sa vie ne sera que douleur.
Pierre-Henri, Maria, si différents
Ne se rencontreront jamais
Même par un soir de printemps
Maria est prostituée
Ce n’est pas sa faute à elle
Mais le bourgeois n’a pas d’ailes
Ni d’auréole sur la tête
Pour lui ne compte que la jet-set
Les contes de fée sont finis
Le prince charmant n’est qu’un junkie
Matérialiste, profiteur
Cendrillon peut fondre en pleures
Chacun suivra sa route
Celle de Maria dans une soute
A bagages d’un avion vert
Direction l’Angleterre
Pierre-Henri, Maria, si différents
Ne se rencontreront jamais
Même par un soir de printemps
Maria est prostituée
Prostituée
Tuée
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| Le 28/06/2005 à 15h47 (82.123.***.**) |
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Après avoir rangé les bagages du Pape dans le coffre, le chauffeur réalise
que le Pape reste sur le trottoir.
« Excusez-moi, Votre Sainteté » dit le chauffeur, « Voudriez-vous, je vous
prie, vous asseoir pour que nous puissions partir ? »
« Heu... pour vous dire la vérité, dit le Pape, ils ne veulent pas me
laisser conduire au Vatican, et j'aimerais beaucoup pouvoir le faire
aujourd'hui.»
« Je suis désolé, mais je ne peux pas vous laisser faire cela. Je perdrais
mon job ! Et que faire s'il arrive quelque chose ? » Proteste le
chauffeur, qui aurait aimé être ailleurs ce matin là.
« Je ferai quelque chose de spécial pour vous. », dit le Pape.
De mauvaise grâce, le chauffeur passe à l'arrière et le Pape s'installe
derrière le volant.
Très vite le chauffeur regrette sa décision, quand après avoir quitté
l'aéroport, le souverain pontife met la pédale au plancher accélérant
jusqu'à 170 km/h .
« Je vous en supplie, votre Sainteté, ralentissez ! » implore le chauffeur
très inquiet, mais le Pape continue jusqu'à ce que les sirènes de police
retentissent.
« Mon Dieu, je vais perdre mon permis. », rouspète le chauffeur.
Le Pape se range sur le côté et baisse sa vitre quand le policier
s'approche, mais dès qu'il voit le Pape il retourne à sa moto, ouvre sa
radio et dit à son chef qu'il a arrêté une limousine roulant à 170.
« Où est le problème ? Bouclez le !» dit le chef.
« Je ne pense pas qu'on puisse faire ça, c'est quelqu'un de très
important. », dit le policier.
Le chef s'exclame : « Il n'y a pas de raison ! »
« Non, je veux dire réellement important. », dit le policier.
Le chef demande alors : « Qui avez-vous coincé ? Le Maire ? »
Le policier : « Plus gros. »
Le chef : « Un sénateur ? »
Le policier : « Beaucoup PLUS GROS. »
Le chef : « Bien ! Dites-moi qui c'est !»
Le policier : « Je pense que c'est Dieu lui-même ! »
Le chef : « Qu'est-ce qui vous fait croire que c'est Dieu ? »
Le policier : « Parce qu'il a le Pape comme chauffeur ! »
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| Le 28/06/2005 à 02h08 (*.*.*.*) |
louis - @ renaud
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en gros progrés, mon gars... déjà magique.... d'accord avec Greg.... faut mettre ça en musique !
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| Le 25/06/2005 à 22h55 (80.201.***.***) |
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slt louis , comment vas tu peux tu me donner un avis sur ce texte ?
comme ca fait longtemps il me semble qu'on ne la plus demander, comment vas lola  ?
les autres vous pouvez laisser votre impression merci d'avance et soyez rude ....
J'étais tres jeune et sensible à la fois ,
enfermer souvent avec moi ;
mon seul avenir n'était que toi
Des nuits a chercher la clef ,
de cette enigme qui nous à oublié
La clef n'était peu etre que moi ,
mon passé si rude avant toi ,
etre trop serré a tes bras ,
nous a conssumé trop vite cette fois ...
Seul sur un banc , loin de moi
j'étais en pleure , au fond de toi
sur mes epaules , se posait un poid
de mes erreurs si tendre envers toi
Tu etais perdue sous les draps ,
ma chaleur te manquais toutefois ,
souffriras tu encore longtemps comme ca
La clef n'était peu etre que toi ,
de ton passé si chaud avant moi ,
etre trop serré dans mes bras ,
nous a conssumé trop vite cette fois ...
Seul nous marchions pas à pas ,
notre envie était bien là,
mais etions nous au bonne endroit ...
a bientot
bizz à tous
renaud
ps @ cyril denis : slt cyril si tu passes par ici peux tu donner aussi un avis ca me fera beaucoup plaisir a bientot bizz a romain
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| Le 25/06/2005 à 21h12 (81.251.**.***) |
oliv -
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yes boss !!!!
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| Le 24/06/2005 à 19h42 (82.249.***.***) |
jm -
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Un ban ip pour Khedira ? Ou il en a une dynamique ?
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)
article paru ce jour dans un quotidien local... Ca s'invente pas !!!
LE BOUCHER RESTE COINCE DANS SA CHEMINEE. Hier, vers 9 h 30, les pompiers ont été appelés en urgence pour dégager le boucher du quartier des Champs-Plaisants qui était coincé dans le conduit de cheminée de son magasin. Le boucher aurait décidé d'emprunter cet itinéraire peu commun parce que le rideau de sa boutique était coincé et qu'il ne parvenait pas à entrer dans son local. Légèrement blessé, il a été transporté au centre hospitalier...NO COMMENT... 
Ton texte est vraiment beau on voit que ça vient de loin!!! Rien à dire d'autres a part Bravo continue (mais enregistre nous un mp3!)............. 
338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 
