Mon logement fut municipal, puis revendu avec le reste du block, ('dans la 3ème rue, celle des blacks et des rouquins') à un Office, qui lui même s'est séparé du lot ("& Garonne ?" ) auprès d'un Organisme d'HLM.
Mais à aucun moment il n'a été proposé aux habitants de pouvoir acquérir leur logement. Ils furent exclus de l'appel d'offre en quelque sorte (si appel d'offre il y a eu, ce dont je doute fortement).
Pourtant avec tout ce que j'ai payé comme loyers, aujourd'hui j'aurais pu avoir "une suite" (en remaniant tout l'étage !) .
Maintenant même les Offices HLM affichent un soucis de rentabilité, décalé, et les anciens espaces verts (un carré de sable pour les chats, et un coin de pelouse pour promener le chien : les arbres sont déjà partis faire des planches l'an dernier) avec les jeux pour enfants (le toboggan, pour les pigeons et les merles) et les petits bancs (pour les personnes fatiguées, de marcher) sont accessibles avec péage (ce qui n'a pas fait baisser les charges pour autant).
En effet, les quelques places de parking, autrefois "réservées" et gratuites, ont été agrandies (là où étaient les arbres) et sont devenus payantes avec badge magnétique et pont-levis, et projecteurs etc. (C-à-d que les habitants, qui ont pris un jour l'option automobile, vont se garer ailleurs, tandis que les commerçants du quartier et des inconnus viennent poser leurs bolides sous ma fenêtre, éclairés jour et nuit derrière des grilles hautes comme à Gantanamo. Ne manque plus que les miradors, (mais je refuse de jouer ce rôle ... Même si personne ne le fait. D'autant qu'auparavant, lorsque la nuit il faisait noir, on n'avait pas davantage de soucis.)

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Là, il faut trouver un moyen de se comprendre bien.

* A ce propos je suggérerais à Marie-George, comme à Melanchon et ses copains, de rayer "communiste" de leur vocabulaire (officiel). Au point où on en est ... Ce terme est trop connoté maintenant, et puis trop associé à l'échec. Tant pis pour l'exotisme (Cuba, la salsa etc), tant pis pour le folklore (la Fête de l'Huma) rutilant d'insularité (la résistance etc), mais la désignation "coopérative" reste plus jolie ... Bien plus sympa comme substantif que "syndic" (= des mercenaires qui se paient sur la bête à chaque décision) ...
C'est d'ailleurs au mouvement coopératif (communiste, ou privé, grâce à des benefacteurs) que l'on doit qu'il reste des logements populaires, à Paris-centre comme ailleurs, dignes de ce nom ... Et plutôt bien entretenus, et même classieux par leur côté rétro, (l'esthétique de l'art dévoué aux "travailleurs" m'a toujours séduit à la fois par son emphase idéaliste et sa simplicité pratique).

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Très bonne chronique http://www.radiofrance.fr/franceinter/chro/geopolitique/index.php?id=59364">sur France inter, par Bernard Guetta-le-remora.
Il explique que pour améliorer la situation, il y a ce qui est dit (la boulette de Koushner : tjrs "le bâton") et surtout, hélas ce qui n'est pas dit : "la carotte", pour dissuader l'Iran ( - c-à-d le peuple et ses élites, plutôt que les gouvernants, indécrottables- ) de se lancer dans le nucléaire.
Cette amélioration passerait par des propositions concrètes, et une prise en considération (enfin !) de l'importance de ce pays, qui n'aurait rien à voir avec la logistique de guerre.
Mais déjà que les français n'arrivent pas à trouver une force de proposition chez eux, je ne vois pas comment il pourrait en être autrement en politique étrangère.
Ceux qui ont des idées sont ostracisés, et ceux qui parlent tout le temps n'ont pas le temps d'en avoir. (- Des idées. Des c.... aussi, mais c'est un autre sujet : c'est toujours difficile de surpasser les automatismes, il y a des circonstances atténuantes. Trop. Il n'y a que ça d'ailleurs ... Les circonstances sont toujours l'ennemi de la gnac ... La fameuse "conjoncture" nous fait nous perdre en conjectures stériles ...)

La politique étrangère, c'est à voir avec les hommes d'affaires !

(Notre Lionel, qui préconise la transparence (la transe pas rance - sorry, pas pu résister là non plus) et qui fait l'apologie de l'initiative individuelle - à condition qu'elle soit en phase avec un récit cohérent - , ne devrait pas me contredire sur ce point).

Y'en a marre des discours manipulateurs d'un côté, et du commerce intraitable (dans tous les sens du terme) de l'autre !
Quand je suis devant la télé (qui monte en épingle des propos de nantis soit disant méchants ou soit disant choqués) ou que je lis mon journal (Libe avant-hier, qui titre sur Lionel-l'aigri au lieu de parler des débats nationaux) j'ai l'impression d'être pris en otage ! On se sert de moi pour viser d'autres !
(Bien sûr je pourrais faire comme Ix et partir à la pêche au lieu de ça, mais j'ai une phobie des asticots ...)

"l'irrationnel (ingrédient en soi)" qu'on appelle la foi.
La foi profane (portable, autonome principalement), comme la foi syncrétique (collective, balisée tout de même). La Religion s'en sert, avec un discours d'amour (sinon c'est une contrefaçon). Mais pas que ... La Vie est plus large encore. (Inattendue parfois).

>>>>>>>bisoux<<<<<<<

" JE t'aime MOI non plus..."

Quelles réflexions vous viendraient à l'esprit "comme ça"?

No Religion

We didn't know no better, and they said it could be worse
Some people thought it was blessing
Other people think that it's a curse
It's a choice between fact and fiction
And the whole world has gone astray
That's why there's no religion, no religion, no religion here today

And there's no straight answers
Of what this thing called love is all about
Some say it's unconditional
Other people just remain in doubt
Well I cleaned up my diction, I had nothing left to say
Except there's no religion, no religion, no religion here today

And they ask what hate is
It's just the other side of love
Some people want to give their enemies
Everything they think that they deserve
Some say why don't you love your neighbours
Go ahead, turn the other cheek
But there's nobody on this planet that can ever be so meek
And I can't bleed for you
You have to do it your own way
And there's no religion, no religion, no religion here today

And they ask what hate is
It's just the other side of love
Some people want to give their enemies
Everything they think that they deserve
Some say why don't you love your neighbours
Go ahead, turn the other cheek
But have you ever met anybody who's ever been the meek
And it's so cruel to expect the saviour to save the day
And there's no religion, no religion, no religion here today

And there's no mystery, and there's nothing hidden
And there's no religion here today

Voualà, tut est dit ! Tous les inconnus veulent se poser sur des plateaux télé (sans but, sans mérite, sans savoir faire : juste pour être "fameux" (comme le pressentaient Warhol et Debord)

L'intérêt de la participation de Ix c'est qu'il dit tout haut ce que pense la "majorité silencieuse" (enfin, la frange rescapée plutôt, classe moyenne "supérieure")... ça nous change du silence de la minorité fallacieuse ... (et puis un pêcheur ça garde le contact avec la nature, ça ne peut être complétement mauvaix )