 |
Le 12/12/2007 à 17h07 (86.218.**.***) |
lulu@Lionel et Nebo -
|
|
perso j'aime toutes les formes d'humour et surtout l'ironie et la derission a condition que ça ne blesse personne et les fonctionnaires qui veulent bosser se rendent vraiment comptent qu'ils n'ont pas prient la bonne voie et un fonctionnaire qui veut faire bouger les choses est mal vu et fini au conseil de discipline pour un potentiel licenciement
donc deconnons et restons en là
merci encore
|
 |
 |
Le 12/12/2007 à 17h02 (90.2.***.***) |
Ed -
|
|
« On ne devrait jamais tourner le dos à un danger pour tenter de le fuir. Si vous le faites, vous le multiplierez par deux. Mais si vous l’affrontez rapidement et sans vous dérober, vous le réduirez de moitié », Winston Churchill.
La visite du psychopate a déclenché un feu d'artifice en Algérie.
Il faut remplacer le 13 par le 11.
Il y a des termes qu’il ne faut pas utiliser, comme ceux-ci : guerre, combat et lutte. Pire, certains de nos compatriotes sont persuadés et persuadent les autres qu’il n’y a pas de menace terroriste islamiste. Plus l’on étudie l’histoire de la seconde guerre mondiale, plus la ressemblance se fait évidente. Bien sûr, cette fois, pas d’armée en uniforme servant la même idéologie, mais toute une communauté d’islamistes assassins, kidnappeurs et terroristes, active dans la conquête mondiale et soutenue par une autre communauté de croyants, silencieuse, qui ne se démarque jamais ne serait-ce qu’en condamnant les attentats et les actes terroristes quels qu’ils soient.
Mentir, créer des illusions, diviser, terroriser et assassiner. Les musulmans du monde entier se taisent. Comme en 1933, quand l’armée allemande, la Wermarth n’était pas nazie, mais aidait les divisions SS. Comme en 1933, quand le peuple allemand n’était pas nazi, mais qu’il a soutenu l’entreprise nazie, et comme en 1933, quand la France, qui était contre le nazisme, n’a rien fait pour le neutraliser. L’infiltration nazie en France a créé les pacifistes et jusqu’aux derniers jours ceux-ci, à défaut de pouvoir réellement empêcher l’action armée, ont moralement jugé et condamné les militaires et tous ceux qui souhaitaient réagir face à la conquête idéologique et territoriale pourtant déjà commencée. Nous vivons actuellement les mêmes heures.
Plus qu’un soutien tacite, il y a une réelle complicité. Il pourrait y avoir plusieurs comportements face à ce danger islamiste, mais un seul est nécessaire à leur réussite. Comme le disait Edmund Burke, homme politique et philosophe irlandais : « la seule chose nécessaire au triomphe du mal, est l’inaction des gens de bien ».
Cette phrase est on ne peut plus exacte. Les déclarations et les manifestations islamistes ne seraient en soi pas un réel problème s’il y avait des contre-manifestations ou encore un regard critique généralisé envers les actes terroristes.
Si nos gouvernants avaient fait les démonstrations de la force de nos valeurs, implicitement toutes les manœuvres islamistes auraient été perçues comme futiles. Mais ce ne fut pas le cas ! Nos populations, grâce à la force de l’usure et de la lassitude, considèrent et finissent même par respecter les actes terroristes. Cela entraîne un changement de perception.
|
 |
 |
Le 12/12/2007 à 10h50 (87.231.***.***) |
Lionel -
|
|
@ LA : Merci de ta réponse. Il est vrai que nous ne voyons pas les choses tout à fait de la même manière. Tu sembles faire partie de ceux qui pensent que parce qu'ils ont de bonnes intentions et du coeur -- ce que je ne te conteste certainement pas --, tout effort d'aller au-delà de réflexions basiques est superflu, seule compte l'expression des tripes.
Je pense pour ma part que cette attitude, extrêmement répandue, fait partie du problème plutôt que de la solution. Sinon, nous aurions instauré un monde meilleur depuis longtemps. Des bonnes intentions et du coeur, il n'y a pas que Louis, ses musiciens, ses techniciens, toi et Nyto qui en avez. L'immense majorité d'entre nous est dans le même cas.
Tu n'aurais pas inauguré ta présence sur le Bleu avec un message inspiré par la haine ("Sentiment de tristesse imputée à des éléments extérieurs", pour reprendre la définition de Spinoza rappelée par Val), tu aurais certainement reçu un meilleur accueil de ma part. À une prochaine fois peut-être.
oOo
@ Denis : Hé hé, en rédigeant ma longue contrib d'hier, je me disais, "Tiens, je parie que celle-là va faire sortir la tête à Denis" ! 
Bon, chacun ses lectures, avec éventuellement des recoupements : j'apprécie également "Le Canard enchaîné", que j'achète en moyenne une fois par mois, qui est très bien informé et dont le ton est unique et fort appréciable, entre vraies considérations politiques et humour de très bonne qualité. Il n'est pas plus parfait que d'autres et j'y vois régulièrement des manquements à la rigueur méritant un "Pan sur le bec" en retour, mais qui croit ici à la perfection ?
"Charlie Hebdo" -- tiens on va être d'accord, là --, bof bof bof, les dessins ne sont pas marrants, les unes sont souvent beaufesques, mais j'y vois parfois du pertinent, comme leur combat pour la liberté d'expression. J'ai donc été agréablement surpris de cet édito de Val empreint de vérité (intérieure, bien sûr, je n'ai pas dit Vérité, hein ?) et tout à fait anti-langue de bois, ça change en bien.
"Le Monde Diplo", c'est plutôt le dernier organe d'une idéologie radicale qui fait plus de mal que de bien à mon sens. C'est bien qu'il existe, du point de vue de la liberté d'expression et de la diversité des opinions, c'est ce que je peux dire de plus positif à son sujet. J'ai bien lu le papier vers lequel tu nous as renvoyé, et je n'en ai pas tiré grand chose d'édifiant.
Quant à Kadhafi, c'est un demi-bouffon mégalomane qui a dû faire beaucoup de mal à son peuple, mais là comme ailleurs, il faut éviter de trop faire dans le simplisme. L'argumentation d'un de ses proches, ce matin dans Libé, rédigée dans un excellent français et fort bien articulée, peut être aussi prise en considération :
http://www.liberation.fr/rebonds/297361.FR.php">Les Libyens ne prennent pas la France pour un paillasson
par Mohammed Sharafeddine,
ancien ministre de l’Information, ex-ambassadeur libyen, membre de la délégation qui accompagne le colonel Kadhafi à Paris.
oOo
@ Nebo : Utile point de vue "de l'intérieur" qui tranche sur la "doxa" sans horizon, merci de nous l'avoir relayé.
[PS : les liens du Monde ne fonctionnent pas bien en HTML ; il faut passer par www.minilien.com pour les rendre compatibles, ce que j'ai fait pour ton lien.]
Bonne journée ensoleillée à tous 
|
 |
 |
Le 12/12/2007 à 01h07 (86.217.***.**) |
Denis @ Lionel -
|
|
Ce qui me permets de rebondir sur ton post (et non pas sur toi)
Alors franchement je préfères le ton décalé (mais trés sérieux) d' un canard enchainé à l' inculture et le n' importe quoi d' un charlie hebdo (qui pour moi a toujours été un papier bon pour allumer le feu ... de cheminée).
Alors certes le "document" contient des vérités mais ne s' attache nullement à l' histoire qui a amené une telle médiatisation. Soit dit en passant, l' opinion française se soucie peu des 999 autres otages (tant bien même qu' ils puissent éprouvé des sentiments amicaux envers notre doux pays). Il ne s' agit pas non plus de faire abstraction de la souffrance d' une femme.
Dommage que le journaliste ait oublié d' écrire que le combat de l' otage a été celui d' une femme voulant oeuvrer pour la paix de son pays ravagé par une guerre civile depuis des dizaines d' années. Et c' est bien là le plus incompréhensible dans cette histoire. Mais pas seulement la paix de ses habitants mais aussi leur condition sociale
Alors rien n' excuse les excactions des FARCS, mais rien n' excuse les exactions des paramilitaires non plus (qui pourtant ne sont pas apparentés communistes). Ingrid bettencourt n' est qu' un pion sur l' échiquier diplomatique. Sauf qu' elle n' est pas reine mais roi.
Je te mets en lien un petit retour en arrière émanant du mode diplomatique (tu m' accordera que c' est autre chose qu' un torchon ) : http://www.monde-diplomatique.fr/2007/08/LEMOINE/14999
De plus, combien de fois, en quatre années de captivitée, Ingrid Bettencourt aurait du être libérée sans le jusqu' au boutisme des protagonistes. Dans cette histoire aucune des parties ne sont des enfants de coeur. Tout le monde se sert de l' image d' une otage pour "garder la main". Où quand l' humain devient une banale chose.
De plus, je ne peux m' empêcher de me poser cette question : Ce soucirait-on du traffic de drogue, de l' étendart communiste et des méthodes qui n' ont rien à envier aux paramilitaires si Ingrid Bettencourt n' était pas leur otage ? Combien de morts imputables à chacunes des parties qui resteront à jamais anonymes pour nous lecteur anonymes (mais pas pour leurs familles qu' elles soient colombiennes ou étrangères). A moins de s' appeler Escobar (narco trafficant ou gardien de but), jusqu' ici difficile de faire la une des journaux Francais.
$$$$$
En apparté, j' ai bien lu le texte qui te tiens à coeur, le colonnel kadhafi serait donc communiste. Il en a, apparemment (tous ?) les symptômes. Je te passes l' historique du personnage, hein.
Et bien pour tous les services rendus, il peut quitter le pays aprés avoir passé commande d' un réacteur nucléaire (civil, aprés avoir renoncé à l' insu de son plein gré au militaire) ... pour désaliniser l' eau de mer. Les espagnols de la province d' Alicante (pour la plus puissante des 3 usines en service) n' ont pourtant pas besoin de ce dernier (le réacteur) pour la même destinée. Et puis histoire de relancer la croissance (surtout celle du rafale et de son fabricant), autant l' aider à se protéger de toutes agressions extérieures (à moins que ce ne soit intérieures).
Si demain Ingrid Bettencourt est libérée (ce que je souhaites de tout coeur), grâce à la coopération du chef des FARCS, devrons nous pour autant dérouler le tapis rouge à ce même personnage et l' armer jusqu' au dents ? Voire financer sa politique de destruction ?
Je trouves assez exceptionnel d' ailleurs que ni Toi, ni Nebo, ni Ivanovitch n' aient réagis sur le sujet. Certainement est-ce l' air du temps ...
Alors oui, je n' hésites pas à rejoindre l' ami fox sur son bateau battant pavillon "Portnawak" , parce qu' un peu comme lui, je trouves que l' on surnage dans le n' importe quoi depuis plusieurs mois. Enfin, si l' on ne s' accroche pas à la facade ...
|
 |
 |
Le 12/12/2007 à 00h51 (77.201.***.***) |
LA - @ Lionel
|
|
Bonjour Lionel,
Excusez moi ce sera concis (et bourré de faute il se fait tôt)
(Je travaille beaucoup et de surcroit loin de mon domicile et je n’ai pas loisir de faire de longues proses, ni de formulations ‘phylosopolitiques’prout prout (pardon pour le gros mot (( -politique)) )
Je ne suis pas un sophiste, je ne sais pas faire de belles et longues phrases bien pompeuses et chiantes au combien (ça me gonfle et me fatigue). A noté que je me suis forcé (pour être franc) à vous lire. C’est comme les bouquins, qui pour dire 3 conneries, font 400pages…
J’ai juste mon cerveau et surtout un cœur pour être moi-même (et le rester même si la société est ‘risible’ (écœurante)) sans être manipulé ou acheté par qui ou quoi que se soit.
Pour votre gouverne, j’ai vécu un certain temps, non pas auprès mais, dans le monde des gents qui n’ont rien et je peux vous affirmer, cher Mr Lionel, que l’exercice ferait grandir un bon nombre de personnes de ce monde qui trouverait alors la raison et les VRAIS Valeurs (pas celles que l’on nous insémine pour profit). Mais pour cela il faut de l’humilité et non se prendre pour ‘The King’.
Dans le passé des gents m’ont piétinés, pour faire des Gros sous sur mon dos, certes j’en garde des traces indélébiles (j’ai perdu ma mélodie de vie mais je suis remonté sur scène (parallèle pas Sado non plus)affaibli mais grandit avec ma foi propre). Rassurez-vous, je ne me positionne pas en perdant (les merdes ce sont eux pas moi).
Maintenant si je poste sur le forum c’est pour partager mon point de vu qui ne tient qu’a moi (c’est mon droit d’expression et ce n’est pas pour convertir ni faire le Zorro ou autre). Et, profitons-en, si je me sens bien ici au sein des Gnacs c’est parceque tous ont un grand Cœur, tout comme Louis et ses musiciens (n’oublions pas l’équipe technique )et que ce que cela transparait dans la musique qui nous rassemble ici (même si ils peuvent et c’est légitime ne pas avoir le même avis que moi)
P.S. :
J’ai noté que vous jugez très rapidement les gents à l’allure, à l’âge, a l’appartenance sociale,… pardonnez moi mais je trouve ça assez simplet.
Voilà, je vous laisse la place, apparemment il vous en faut !
Très Amicalement (n’en doutez pas)
LA.
|
 |
 |
Le 11/12/2007 à 22h53 (83.200.**.***) |
Nebo -
|
|
Oui... la blague c'est un peu une charge... mais c'est une blague... c'est de l'humour... de l'I-RO-NIE.Sinon... histoire de continuer à faire gamberger quelque peu dans les neu-neu-rô-rones ! Après le "Che" et Pierre-Joseph Proudhon. Voici ce que pensent les étrangers de bonne volonté de la racaille de Villiers le Bel :
"Où sont les vrais Français ?"
LE MONDE | 05.12.07 |
"Fabien A. est arrivé en 2000 de Cotonou, capitale du Bénin. Il a fait faillite dans son pays après avoir mal géré son affaire de grossiste en riz, comme il le dit lui-même. Suivent cinq années de galère où il se retrouve sans papiers. "Si j'avais su, je ne serais pas venu en France, explique-t-il. Jamais au Bénin, je n'ai entendu parler du problème des sans-papiers."
Il a été régularisé en 2005. Sa femme, Assia, en août dernier. Elle est arrivée en 2002 avec comme bagage sa fille Nelly. Elle découvre un pays, une ville, un quartier si éloignés de la chaleur africaine... Elle doit marcher pour faire les courses, attendre le bus. "A Cotonou, il y a des petits taxis partout. Tu ne marches pas", dit-elle. Ici le ticket coûte 1,50 euro, soit 1 000 francs CFA. Une fortune ! Dix fois plus cher que dans son pays.
La famille se fait des amis à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise). La seule souffrance vient des enfants du quartier. "Ils sont gâtés", souffle Fabien. En Afrique, cette expression signifie qu'ils sont... foutus.
"ILS DOIVENT AVOIR LA BASE"
Le couple porte un regard sévère sur les garçons de la cité. Il ne comprend pas leur rage. "En plus, ils tirent sur la police", s'insurgent Fabien et Assia. Au pays, c'est la police qui aurait tiré. "Ça fait mal au coeur de voir une partie de notre jeunesse qui ne veut rien faire", se désole le père. Pour lui, ces jeunes-là sont "gavés". Ils ont tout ce qu'ils veulent. Les parents n'ont aucune autorité. "Ils n'ont même pas le droit de frapper leurs enfants quand ils font une bêtise, explique Francis, 28 ans, un ami de la famille venu les visiter. Sinon, les gamins disent qu'ils vont appeler les flics." "Moi, j'irai même en prison s'il le faut, mais je frappe mes enfants. Ils doivent avoir la base", enchaîne Fabien. Il le dit clairement à sa petite fille : "Si tu fais trop de bêtises, je t'envoie un an en Afrique. Tu souffriras !" Assia s'emporte : "Y en a marre ! Dans le RER D, il n'y a que des Arabes et des Noirs. Où sont les vrais Français ? Pourquoi ils ne viennent pas ici, vivre avec nous ? Il faut du mélange !" Son mari la reprend : "Mais, ma chérie, les Blancs ont peur de nous."
Mustapha Kessous
Source :
http://minilien.com/?WC5Z7Mv10Q">Article du Monde, 5/12/2007
Je crois, en effet, Lionel, que le Politiquement correct se fissure quelque peu.
|
 |
 |
Le 11/12/2007 à 19h02 (87.231.***.***) |
Lionel @ lulu -
|
|
C'est bon, rompez, 1ère classe lulu ! 
Tiens, d'ailleurs, toi aussi, j'ai vu ta bouille sur le Vert, tu as l'air fort sympathique, même peut-être plus que LA. 
Non, sérieux, ta phrase résumait paradoxalement assez bien ce qu'est l'humour, c'est tout ce que je disais. Mais en fait, je suis plutôt d'accord avec ce que tu devais vouloir dire : la blague proposée par Nebo est plus une charge assez féroce contre les fonctionnaires que de l'humour qui fait rire/détend.
Lionel
qui a été fonctionnaire quelques mois à l'Education Nationale comme maître-aux d'Anglais.
|
 |
 |
Le 11/12/2007 à 17h31 (87.231.***.***) |
Lionel -
|
|
@ Fox : Arrête un peu de noyer le poisson et de te faire plus bête que tu n'es, s'te plaît. On a été plusieurs, notamment Nebo, jc et moi, à t'inviter à arrêter de tourner en rond et de donner dans le fumeux systématique parce qu'en effet, on te connaît et tu vaux mieux que ça. D'autres ont simplement ponctué leur lassitude en te renvoyant un sec "blah blah blah" qui, désolé mon ami, n'était pas immérité.
Depuis un an ou quelque chose comme ça, tu t'es trouvé un filon fumeux, le "Portnawak", et c'est désormais ton étendard, qui fait que malheureusement, tu n'es plus à même de proposer de réflexions bien intéressantes. Bien sûr, il y a souvent au détour d'une argumentation tarabiscotée une perle nourrissante à se mettre sous la dent, car tu n'as pas perdu pour autant ton intelligence et ton talent. Mais ça fait bien court, tout de même.
Ton "Portnawak", c'est précisément le contraire de ce qu'on essaye de faire ici ou en tout autre lieu où l'on cherche à s'éclairer mutuellement. Au lieu d'élucider, d'analyser, de nuancer, c'est-à-dire tout à la fois d'exercer son intelligence en l'entraînant, comme un muscle, et d'en tirer de petits bouts de connaissance qu'on n'avait pas jusque là, ton Portnawak, c'est le grand trou noir de "tout ce qui ne va pas dans ce monde et que je ne vais pas m'embêter à détailler". Et allez donc, empilons ça n'importe comment ! Des problèmes de vie chère et de pouvoir d'achat ? C'est simple : Portnawak ! Des problèmes de stratégie industrielle et commerciale ? Portnawak ! Des problèmes d'adaptation de la France à la mondialisation ? Portnawak, vous dis-je ! (écho d'une pièce de Molière, ouaf !)
Bon, je ne vais pas -- cette fois-ci en tout cas -- charger ta barque plus que ça. Ce dont il s'agit, c'est de ne pas faire du surplace. Débloque un peu, lâche prise sur les points qui bloquent, avançons ensemble...
oOo
@ LA : Je ne sais plus si tu as déjà contribué, mais si c'est une première, il faudra essayer de faire mieux la prochaine fois. Il y a 36000 pèlerins qui auraient pu enfiler les mêmes 2 ou 3 réflexions de base en 5 lignes qui n'apportent rien à personne, sauf un peu du soulagement que génère toute expression à l'auteur lui-même, à toi.
J'ai vu ta photo sur le Vert, tu as une bonne tête et tu n'as pas l'air d'avoir 14 ans, donc on peut peut-être espérer que tu fasses avancer ta réflexion pour écrire ici quelque chose de plus personnel et de plus approfondi. La dénonciation sentencieuse, tout autant que le gros humour qui tâche des zozos de la vidéo que tu as proposée atteignent vite leurs limites. La démarche que je te suggère vise au contraire à étendre nos capacité de réflexion plutôt que de la rétrécir à coups de clichés, et à étendre le champ des choses que nous comprenons plutôt que de baisser les bras en maniant le sarcasme. Tout ceci dit sans animosité, LA.
oOo
@ lulu : Mine de rien, tu as donné une bonne définition résumée de l'humour. Tu croyais que c'était autre chose ou c'est tout de même en connaissance de cause ?
oOo
@ Nebo : Merci pour les citations bien refroidissantes sur Proudhon et Ernesto Guevara qui dévoilent une vérité bien dérangeante sur ces théoriciens surfaits.
Je suis moi-même tombé aujourd'hui sur un texte tout frais mais étonnant qui, je le gage, t'étonnera et te plaira comme à moi. Il est étonnant parce qu'il émane du rédac-chef de Charlie-Hebdo, publication de laquelle je ne m'attendais à pareille dénonciation au vitriol du gauchisme ! Mais il faut croire que si nous, sans perdre de notre horizon humaniste, sommes résolus depuis un moment déjà à dénoncer le gauchisme pour tout le mal qu'il fait, eh bien de plus en plus de gens, de tous horizons et notamment de la gauche, y viennent aussi.
Je n'ai pas l'habitude de copier de longs textes en forum, mais je fais une exception ici car le texte le vaut bien. J'aimerais bien faciliter la lecture de ce pavé, mais ça fait déjà 1h que je suis sur cette contrib et je n'ai que le temps de quelques soulignés rapides. Lisez tout de même, ça vaut le coup.
ooOoo
Mercredi 5 décembre 2007 - CHARLIE HEBDO
Les FARC inventent le goulag itinérant
par Philippe Val
Ceux qu'impatientent les petites digressions philosophiques peuvent passer directement au quatrième paragraphe. Dans la partie de l'Éthique traitant des affects, Spinoza définit ainsi la haine: "une tristesse qu'accompagne, l'idée d'une cause extérieure". Tandis que l'amour n'est autre qu'"une joie qu'accompagne l'idée d'une cause extérieure" (définitions VI et VII, partie 3). [...]
Pour reprendre la définition de Spinoza, je suis rarement triste à l'idée d'une cause extérieure. Je suis plutôt de ceux qui sont portés, dans un premier temps, à approuver joyeusement l'existence générale de la totalité de l'Univers. Je m'efforce de percevoir le monde comme je perçois une musique dont la beauté n'a aucun sens. [...]
Et pourtant, j'ai la haine. Je l'avoue. La tristesse, c'est-à-dire la douleur, m'envahit à l'idée de l'existence de ces connards de FARC. En voyant la photo dans la presse d'Ingrid Betancourt, on se dit que leurs cinquante ans de guérilla pour changer le monde n'ont abouti, à force de traitements inhumains, qu'à faire perdre trente kilos à une femme qui en pesait cinquante. Pauvres merdes. Par leur faute, on se prend à faire le rêve imbécile de s'imaginer en Rambo, déboulant dans leur camp, harnaché de grenades, de bazookas et de lance-roquette s, pour dézinguer tous les méchants et libérer tous les bons.
Leur insondable imbécillité nous renvoie dans un monde binaire, brutal, sans pensée, un monde de l’émotion débile et criminelle. Honte à eux. Comment des petits-bourgeois gauchistes, ici ou ailleurs, peuvent-ils encore nourrir quelque indulgence pour ces minables au prétexte qu'ils sont les derniers combattants de la révolution marxiste-léniniste ? Encore plus purs que Castro et Chavez, ils sont les derniers avatars du poster de Che Guevara qui surplombe encore quelques chiottes d'idéalistes constipés.
Ne parlons pas du trafic de drogue, qui, depuis longtemps, est devenu leur boulot principal, et n'insinuons même pas que la Révolution n'est plus qu'une couverture effilochée pour justifier assassinats et business criminel. Ne parlons pas non plus de leur délire schizophrénique qui consiste à ne voir dans la vie humaine qu'un matériau sans valeur au service de leurs fantasmes. Non, parlons du fond des choses. À savoir de l'idéologie qui les a motivés, qui les a séduits au point de crapahuter dans la jungle depuis cinquante ans en enlevant des gens, en tuant des paysans et en trafiquant des produits qui font crever ceux qui les consomment.
Il s'agit de ce qui reste de l'idéologie communiste radicale. Ils en sont les derniers représentants. Et ce qui est intéressant, c'est qu'une fois qu'ils ont adopté les thèses et les principes du système qu'ils défendent ils n'ont pas d'autre solution, quand arrive le temps des travaux pratiques, que de produire une machine totalitaire. Or on ne connaît pas d'exemple de système totalitaire qui ne rejette hors de toute légitimité — légitimité à vivre, notamment — certaines catégories de l'humanité. C'est même la marque de fabrique du totalitarisme: l'exclusion de certains. Les critères d'exclusion sont divers.
Chez les nazis, la judéité, le communisme, la non-appartenance à la race aryenne, l'homosexualité, etc., étaient les critères suffisants pour exclure du droit de vivre — et de tout droit — les attributaires de ces catégories. Dans le totalitarisme communiste chinois ou khmer, il suffisait d'être un intellectuel et de porter des lunettes pour aller grossir la foule des morts-vivants croupissant dans les camps. En réalité, si la nature des critères est extrêmement hasardeuse, c'est qu'elle n'a guère d'importance. Ce qui compte, c'est la terreur qu'ils produisent, c'est tout. Les critères peuvent être n'importe quoi, ce qui compte, c'est qu'il y en ait, et qu'ils servent de prétexte pour exclure des individus de l'humanité.
On nous dit d'être attentif à la différence entre le communisme et les autres totalitarismes, parce que le communisme était motivé par un rêve d'amour quand les autres l'étaient par un cauchemar de haine. Oui. Mais en tant qu'ils ont été des totalitarismes, ils ont au moins un point commun. Si le communisme, le fascisme, et même le nazisme, ont été disqualifiés par l'histoire, ce n'est pas parce qu'ils étaient injustes, imbéciles, brutaux, transgressifs de leurs propres Constitutions, incarnés par des gangsters sans foi ni loi, et gouvernés par des mégalomanes sadiques, non... Après tout, bien des régimes d'avant et d'après la guerre, sur tous ces points, ne valent guère mieux. S'ils ont été mis au ban de l'humanité, c'est qu'ils ont en commun d'avoir mis en place un système permettant l'exclusion — quels qu'en soient les critères aberrants — d'une partie de l'humanité. Les camps de concentration et d'extermination chez les nazis, le goulag russe, le laogaï chinois, etc.
Sitôt que dans un espace politique de droit se trouve la possibilité d'en faire sortir ne serait-ce qu'une personne, on est sur la pente de la récidive des crimes contre l'humanité. C'est d'ailleurs l'énorme problème que Guantanamo pose aux juristes américains, qui ne prennent pas du tout le problème à la légère.
Mais revenons aux FARC et à la question, maintes fois posée depuis deux générations, de savoir si le communisme portait en son sein l'accomplissement fatal d'un totalitarisme. S'il fallait en donner une ultime et misérable preuve, les FARC viennent de la donner au monde entier. Mao, Pol Pot, Staline, avaient conquis des territoires. Une fois établi le contrôle territorial, leur administration, alors que rien ne l'obligeait à le faire sinon le triomphe de leur idéologie, a conçu des camps dans lesquels des humains étaient déchus de leur humanité. Quelle différence avec les FARC ? Elle saute aux yeux : ils n’ont pas réussi à contrôler un territoire géographique et juridique suffisant pour y installer une administration, des frontières, un siège du pouvoir, des tribunaux, des casernes, bref, un Etat. Ce ne sont pas les dictateurs d'un pays, mais les guérilleros d'une cause.
Reposons maintenant la même question. Cette cause produit-elle du goulag, ou bien est-ce le phénomène d'une machine administrative qui s'emballe qui crée des zones pour les hommes nus, c'est-à-dire sans protection matérielle, ni morale, ni juridique. Les FARC donnent la réponse : ce n'est pas la machine administrative qui produit l'horreur. C'est la cause elle-même, l'idéologie. Ces crétins de FARC n'ont besoin d'aucune administration pour inventer le goulag. Ils n'ont pas de territoire ? Qu'importe, ils créent un goulag itinérant, constitué de ce qu'ils appellent des otages, et qui ne sont que les individus qui leur sont absolument nécessaires pour exercer le pouvoir suprême de dépouiller des humains de leur humanité. Créer des individus nus, voilà le but, voilà ce qui justifie cinquante ans de lutte dans la brousse. Ingrid Betancourt est une victime du dernier goulag à l'ouest de Berlin. Un goulag misérable, qui erre dans la jungle, encadré de kapos sadiques, comme le sont tous les kapos du monde, communistes ou non.
La photo d'Ingrid est celle d'une prisonnière d'un goulag. Si l'on a tant de mal à l'échanger, elle et ses compagnons de misère — ils sont plus de mille enlevés par les FARC —, c'est qu'au fond ils ne sont pas otages. Ils ne sont la monnaie d'échange de rien. Ils sont les victimes nécessaires d'une idéologie qui ne peut pas exister sans accomplir ce crime. C'est comme le doudou d'un enfant : il ne sert à rien objectivement, mais, si on le lui retire, il lui semble que la vie n'a plus de sens.
C'est pareil avec le goulag mobile des FARC. La protection que leur offre la vie des otages est réelle, mais au fond, ce n'est pas le principal. À leurs propres yeux, ils n'existeraient pas sans le crime qu'ils accomplissent jour et nuit, éveillés comme endormis, en arrachant au monde des vivants des hommes et des femmes pour les soumettre à l'inexorable horreur de vivre sans droits. Oui, bien sûr, au début de tout, il faut se réjouir de l'existence de la réalité, mais putain, quand on pense que dans cette réalité il y a les FARC, il faut bien avouer qu'on a du mal. Et ce mal que l'on a, précisément, c'est la haine.
oO Oo
Purée, comment c'est envoyé ! Le politiquement correct vole en éclat et on parle des choses importantes et on en parle dans la vérité. Et ça vient d'un canard de gauche, ce qui prouve qu'il y encore de l'espoir de ce côté-là !
|
 |
 |
Le 10/12/2007 à 17h52 (86.218.**.***) |
lulu@Nebo -
|
|
pas bien convaincue que ça soit de l'humour... enfin quand l'humour devoile la verité ça fait rire mais c'est pour ne pas en pleurer????
|
 |
 |
Le 10/12/2007 à 17h22 (83.112.**.**) |
Nebo - Un peu de jaune dans le Bleu
|
|
Humour
Un ingénieur, un comptable, un chimiste, un informaticien et un fonctionnaire se vantent d’avoir le chien le plus merveilleux.
Pour le démontrer, l’ingénieur dit à son chien : "Racine-Carrée, montre-nous ce que tu sais faire." Le chien trotte jusqu’à un pupitre, prend du papier et un crayon et dessine rapidement un carré, un cercle et un triangle.
Le comptable dit à son chien, nommé Chiffrier : "Démontre-leur ta compétence." Le chien se rend à la cuisine et revient avec une douzaine de biscuits et les place en 3 piles égales de 4 biscuits.
Le chimiste prétend que son chien peut faire beaucoup mieux. "Thermomètre, dit-il, fais ton numéro." Le chien ouvre le réfrigérateur, prend un litre de lait, va se procurer un verre de 10 onces dans l’armoire et y verse exactement 8 onces de lait, sans en renverser une seule goutte.
L’informaticien croit bien les supplanter tous : "Disque-Dur, commande-t-il, impressionne-les avec ton tour!" Le chien s’installe devant un ordinateur, le fait démarrer, fait partir le programme anti-virus, envoie un courrier et installe un nouveau jeu.
Les quatre hommes se tournent vers le fonctionnaire et lui disent : "Et toi, qu’est-ce que ton chien peut faire ? " .
"Pause-Café, dit le fonctionnaire , montre-nous tes talents."
Le chien se lève, mange les biscuits, boit le lait, efface tous les fichiers de l’ordinateur, déchire la feuille du chien de l’ingénieur, prétend s’être blessé au dos en le faisant, remplit un rapport pour les accidents du travail, le poste et prend un congé de maladie payé de six mois !"
|
 |
 |
Le 09/12/2007 à 12h05 (82.121.**.**) |
Sarah -
|
|
Le Che n'est qu'un vulgaire pantin castriste, vrai tortionnaire, un assassin et une brute. Il a échoué quasiment partout, ruinant la vie de milliers de cubains. Son "culte" n'est pas qu'indécent. Il est surtout la preuve que l'inculture et la bêtise mènent hélas un monde devenu totalement aveugle.
Il faut vendre une petite bio avec chaque tee-shirt à son éfigie, cela éviterai que des millions de badauds dans le monde se trimballent avec sa tronche sans connaissance réelle de ce barbare, un peu comme le Keffieh d'ailleur..
|
 |
 |
Le 08/12/2007 à 20h51 (81.249.***.**) |
Proudhon - un bel anarchiste... aux propos révélateurs...
|
|
"Ma seule foi, mon seul amour et espoir se situent dans la liberté et mon pays. C'est pourquoi je suis systématiquement opposé à tout ce qui est hostile à la liberté ou étranger à cette terre sacrée de la Gaulle. Je veux voir mon pays retourner à sa nature originale, libérée une fois pour toutes des croyances et institutions étrangères. Notre race a pour trop longtemps été sujette à l'influence des Grecs, des Romains, des barbares, des juifs et des Anglais. Ils nous ont laissé leur religion, leurs lois, leur système féodal et leur gouvernement... Ceux d'entre vous qui m'accusent de ne pas être un républicain n'appartiennent pas vraiment à votre terre. Vous n'avez jamais entendus dès l'enfance, comme moi, les chênes de nos forêts druidiques pleurer pour leur pays antique. Vous ne sentez pas vos os moulés avec de la pierre à chaux pure du Jura, ni n'avez jamais tressaillis à la mémoire de nos héros celtiques ; Vercingetroix, traîné dans la poussière du triomphe de César, Orgetorix, Ariovistus, et le vieux Galgacus vaincu par Agricola. Vous n'avez jamais vus la liberté vous apparaître au bord de nos torrents alpestres sous le couvert de Velleda le Gaulois... Vous n'êtes pas des enfants de Brennus. Vous ne comprenez rien au sujet de reconstituer notre nationalité. Ceci disparaît lointain au delà de la réforme économique et de la transformation d'une société rabaissée, et apparaît comme le but le plus élevé de la révolution de février. Vous êtes du côté de l'Étranger. C'est pourquoi vous trouvez la liberté, qui pour nos ancêtres était la source de toutes les choses, si odieuse."
"Le juif est l'ennemi de la race humaine. Cette race doit être renvoyée de nouveau en Asie, ou être exterminée. H. Heine, A. Weil, et d'autres sont simplement des agents secrets. Rothschild, Crémieux, Marx, Fould, hommes coleriques, envieux, amers mauvais etc.., etc.., qui nous détestent "
( grenats, vol. 2, p. 337 : Non VI, 178 ) Proudhon
|
 |
 |
Le 08/12/2007 à 20h46 (81.249.***.**) |
Le Che - Un beau personnage.
|
|
"Les noirs, ces exemples magnifiques de la race africaine qui ont maintenu leur pureté raciale grâce à leur manque d'affinité avec le fait de se baigner, ont vu leur territoire envahi par un nouveau genre d'esclave : le Portugais."
"Le noir est nonchalant et rêveur ; il dépense son maigre salaire en frivolité ou boisson ; l'Européen a une tradition de travail et d'économie qu'il a poursuivi jusqu'a ce coin de l'Amérique, et qui le pousse à l'amélioration de soi, parfois même indépendamment de ses propres aspirations personnelles."
"L'épisode nous a dérangés parce que le pauvre homme, indépendamment du fait d'être homosexuel et d'un ennui mortel, avait été très gentil envers nous, nous donnant 10 soles chacun, amenant notre total à 479 pour moi et à 163 1/2 à Alberto."
"La première personne que nous avons frappée était le maire, quelqu'un du nom de Cohen ; nous avions entendu beaucoup parler à son sujet... qu'il était juif en ce qui concerne l'argent, mais une bonne sorte de Juif."
Che Guevara
Citations de son livre "Le Rêve Africain" journal intime de sa guerre révolutionnaire au Congo...
|
 |
 |
Le 07/12/2007 à 21h28 (213.151.***.***) |
ox -
|
|
@ Lionel : là tu as très mal compris et sur le fond (tu me connais assez pour savoir que la guéguerre notamment entre forumeurs n'est pas dans mes aspirations, du tout ... La vie est trop courte pour la galvauder ...) et sur la forme (à propos de la nature déployée par un artiste ? La genèse d'une chanson n'est pas toujours si laborieuse ...) Ce ne sont que des jeux de mots finalement. {- l'artiste peut être transpercé en un éclair par une chanson, tandis qu'il dansait à demi-nu dans la clairière, sous la pluie, parmi les champignons de la nouvelle lune ?} et puis qui dira que la sueur n'est pas une émanation de la nature dans la nature ?  @ Nyto : ça vaut ce que ça vaut, mais ça a le mérite d'exister @ Omeg : concentration, concentration (... c'est important. La technologie aurait-elle une conscience ?)
|
 |
 |
Le 07/12/2007 à 11h05 (87.231.***.***) |
Lionel -
|
|
@ Nyto : En une phrase, tu fais un bilan plutôt bien balancé de ce que propose Daniel Schneidermann. Je suis un peu plus sévère que toi à son égard : c'est un type qui a en effet des qualités et un angle parfois pas inintéressant dans ce qu'il fait, mais il se croit plus intelligent et plus important qu'il n'est et manque de réflexivité, c'est-à-dire d'un recul sur ses propres 'a priori'.
Il officie maintenant dans Libé, avec une chronique tous les vendredis, où il continue en majorité à livrer des propos d'imprécateur assez boursouflé(s), avec quelquefois une chronique beaucoup plus juste qui le remonte un peu dans mon estime. C'est le cas aujourd'hui, avec un papier fort savoureux :
http://www.liberation.fr/rebonds/chroniques/mediatiques/296347.FR.php">Sarko et Ségo, exhibitions symétriques
oOo
@ ox (à propos de l'inversion d'une phrase de Nebo) : C'est du bétonnage bas du front mâtiné de mauvaise foi -- une manière butée et enfantine --, face à un argument qui, lui, était bien trouvé et bien tourné. Le "Portnawak" que tu dénonces indistinctement à longueur de contribs -- et sur lequel j'ai en réserve une critique plus détaillée que je ferai ou pas ici -- est en réalité servi au mieux par toi-même avec ce genre de saillie, destructrice de raison et activatrice d'antagonismes, sur le mode "On peut dire tout et son contraire et prends ça dans ta gueule de mec à qui je suis résolu d'apporter la contradiction".
Ce tour bien éloigné de l'esprit d'un débat de bonne tenue susceptible d'enrichir les parties en présence est un des facteurs qui réduisent depuis quelque temps mon envie de m'exprimer sur le Bleu.
oOo
@ Omeg/Jean-Marc : Ça fait plaisir d'avoir de tes nouvelles, camarade Messie. C'est toi, avec le bob blanc, assis contre une grosse roue de tracteur en train de te beurrer une tartine ? On veut des photos récentes d'Omeg dans ses "oeuvres" !
|
 |
 |
Le 06/12/2007 à 23h14 (91.177.**.**) |
Omeg ALABAB - bk3791222skynet.be
|
|
Je ne sais plus tres bien ce que je veux, et je me demande d'ailleurs comment l'avoir...
http://www.transfert-tech.com">www.transfert-tech.com
Et il y a des musiciens qui pleurent dans mon gilet pour que je les fasse connaitre !
Decidement, c'est le monde a l'envers ...
|
 |
 |
Le 06/12/2007 à 19h33 (213.151.***.***) |
ox -
|
|
@ Nebo : quel rapport entre la sueur donnée naturellement et la pluie et la nature déployées par un artiste ?
|
 |
 |
Le 06/12/2007 à 18h07 (82.124.***.***) |
nyto - @ votre bon coeur, m'sieurs, dames...
|
|
http://arretsurimages.net/" title="Arrêt Sur Images, le retour"> http://arretsurimages.net/themes/ASI/imgs/asi_234x60_animated.gif" width="234" height="60" alt="" />
C'était pas la plus pertinente car souvent empéttrée dans ses propres contradictions mais elle me manque...
|
 |
|