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Le 29/09/2014 à 16h51 (82.231.**.**) |
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@yvj'aime bien ton idée Forum Promo/Médias. Si le Maître des lieux passe ici, nous attendons son avis 
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Le 27/09/2014 à 22h12 (82.231.**.**) |
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Le 27/09/2014 à 22h09 (82.231.**.**) |
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Le 27/09/2014 à 16h52 (82.231.**.**) |
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J'avais balancé un lien sur le Vert, qui a du passé inaperçu..Une entrevue de louis pour un média Belge, une de plus me direz vous... Oui encore une sauf que celle ci, je la trouve différente, qui colle bien au personnage.. je vous la colle ici, comme c'est bien calme sur le black, je m'étale... Tiens a ce propos le Powertrio n'est plus tellement d'actualité, comme nom sur ce forum..pour info je possédé la quasi totalité des concerts qui étaient proposés avec le cd live avec le putain de trio Hervé, Cyril, et Louis..si cela intéresse du monde, me contacter  Voila l'entretien, bonne lecture. Alain.
LOUIS BERTIGNAC NOUVEL ALBUM « SUIS-MOI »
Il faut conduire quelques kilomètres au sud de Paris pour désormais rencontrer le guitariste. L'autoroute fait soudain place à des chemins bucoliques, caressés par un soleil amical. Louis Bertignac s'est installé dans une jolie ferme rénovée où le temps semble avoir accepté de freiner sa course. Cet endroit lui ressemble: la simplicité invite sans attendre au délassement. Là, un studio confortable, spacieux, avec toutes les guitares de Louis qui attendent ; un immense piano, l'ordinateur qui collecte tous ses désirs. L'impression qu'ici, à toute heure, il peut se passer quelque chose. Les muses ont été choyées. Le moment est venu d'écouter “Suis Moi”. Nouvel album. Nouveau défi. Nouveau plaisir. Louis clique et les chansons surgissent des deux enceintes. Une heure plus tard, le silence. Louis semble heureux. Il interroge du regard. Encore une fois, il le sait, il n'en a
UN ALBUM ROCK MAIS MELODIEUX
Bertignac n'a jamais fait qu'une chose: jouer de la guitare et écrire des chansons. C'est très peu, c'est beaucoup. C'est toute sa vie. “Je ne me dis jamais “je vais faire un album”. Je compose, je joue et quand j'ai assez de chansons, je fais un album. Parce que moi, la musique, je prends ça comme une bénédiction, pas comme un job. Je prends ça vraiment comme un cadeau du ciel. Je n'ai jamais cessé d'être un enfant qui s'émerveille, j'en ai peur (sourire). Je vais crever enfant, je le sais.” dit-il, entre excitation communicative et angoisse à demi avouée. Voilà. Bertignac, trois ans après “Grizzly” et son avalanche de riffs brûlants, est de retour : homme, père, guitariste, improvisateur, ami, soixantenaire, musicien, enfant. Lui. Alors qu'en 2011, il revendiquait avoir enregistré le disque qu'il aurait voulu faire à 15 ans, il confesse en 2014 avoir voulu faire un album qui soit rock mais plus mélodieux. Avant de préciser: “Je voulais un gros son. Et sur ce disque, il n'y a pratiquement pas de riffs. Bon, il y en a mais moins quand même (rires). Et oui, bien sûr, il y a pas mal de guitares. Je n'avais pas de but précis au départ. Moi, je ne suis pas dans le concept. Je m'en fous du concept! Tout se décide au fur et à mesure chez moi... Je joue comme ça vient. Ma musique, il faut que ça me ressemble. Il faut que ce soit moi! Et mon truc aujourd'hui, c'est de monter sur scène et d'éclater les gens. Et avec ces chansons, je crois que j'ai ce qu'il faut... Et puis, je voulais absolument que des Ricains jouent sur mon album.” Il parle comme quelqu'un qui n'aurait qu'un seul but: réaliser ses rêves.
CE NOUVEL ALBUM EST UNE VERITABLE CARTE D'IDENTITE. De l'ADN en tablatures. Il y a du rock, obligatoire chez Bertignac évidemment, des violons beaux comme une caresse un soir de pluie d'été, des ballades qui emmènent loin, des guitares parfois sauvages, parfois narquoises, parfois intimes, toujours affranchies, libres de dire ce qu'elles veulent. Pour la première fois, sa fameuse Gibson SG Junior prend même la parole, pour s'incarner le temps d'une chanson. Il y a l'enfance, encore, les enfants d'aujourd'hui, les siens, comme celui d'hier, lui, les femmes, beaucoup, partout (Mélanie Laurent a délaissé les caméras pour venir poser sa jolie voix le temps d'un duo de velours), présentes ou déjà ailleurs, des femmes imaginées ou perdues, beaucoup d'amour donc, de petites histoires à deux, des flammes soufflées ou ravivées. Et des cordes donc, six exactement, celles qui ont tissé son existence. Des cordes qui relient plusieurs univers, qui connectent les dimensions: “Femmes, amour, guitare. Ben, c'est ma vie quoi (rires)! C'est un peu ce que je donne aux mecs qui écrivent. Ils me demandent de quoi je veux parler. Moi, je ne veux pas parler de politique, je ne veux pas parler de trucs qui m'emmerdent et qui emmerdent les gens et donc voilà: femmes, amour et guitare.” Comme une trinité de jouvence, ni récupérée, ni pervertie par cette aigreur qui gangrène l'époque. Bertignac gambade là où d'autres pataugent. Il jubile et se branche, taquine l'électricité pour finalement la sublimer. Il ne subit rien, le temps semble n'avoir rien altéré chez lui, il est là comme avant, à sa place et satisfait. Certains ont cru bon un jour d'avoir à choisir entre Beatles et Stones, entre sérieux et escapade éternelle, entre métier et passion. Drôle d'idée. Bertignac, lui, s'en moque. Il prend tout, tant que ça vibre, tant que ça lui parle, tant que la vie l'emporte. En écoutant les 13 titres de ce disque (sans oublier les 5 titres bonus, qui seront disponibles sur l'édition deluxe), on traverse son cœurcomme sa collection de disques. On passe de Chuck Berry à Otis Redding, de Free à Lynyrd Skynyrd, du rock&roll à la valse, d'hier à demain. De la France aux États-Unis également. Importance: “J'ai commencé à travailler sur cet album juste après “Grizzly” en fait. Il y a même des morceaux qui étaient déjà là à l'époque”. Et il y a six mois à peu près, j'ai eu comme une folie d'écriture et là, j'ai enchaîné comme il faut... En général, je travaille d'abord à la guitare tout seul, ici, chez moi. Mais ça pouvait aussi être en vacances. J'ai beaucoup bossé aussi sur mon I-Phone. Je balançais des thèmes que j'enregistrais dessus. J'ai bossé aussi avec mon ordinateur portable. Beaucoup... »
UN SON AMERICAIN, UN ALBUM INCENDIAIRE
Et comme dans toutes les bonnes histoires, il y a aussi des bâtisseurs, des complices, des déclencheurs, des mains tendues, des hommes sans qui l'aventure se conjuguerait au conditionnel: “Il y a environ trois mois, sur les conseils de mon manager, Maurice Suissa, j'ai appelé Patrice Cramer, le mec qui fait le son pour l'émission Taratata, il habite Miami. On lui a demandé de venir en France, chez moi. Et c'est lui qui a mis un peu d'ordre dans mon bordel. Il est venu bosser un mois ou deux. C'est à dire faire un tri, organiser mes idées, sur un titre, il me disait: “Celle-là, il te faut une fin” ou “celle-là, elle a un début un peu chaotique”, de la prod quoi... De la vraie prod. C'est lui l'ingénieur du son du disque, le réal. Il est reparti à Miami. J'ai refoutu du bordel (rires). Il est revenu cleaner le bordel. Ensuite, on a continué à communiquer par mail. Je lui envoyais des trucs, il écoutait, il réorganisait, etc... Patrice m'a aidé à ranger ma chambre (rires). Il a été très important... Ensuite, il me fallait un batteur et un bassiste. Parce qu'à l'époque, mes titres, c'était de la boîte à rythmes et moi qui jouais de la basse. Patrice m'a alors dit qu'il connaissait un sublime bassiste, un Américain avec une barbe immense, Leland Sklar. Le mec a un palmarès énorme (Michael Jackson, Aaron Neville, Randy Newman, Leonard Cohen, Ray Charles, Crosby & Nash, Rod Stewart, Diana Ross, etc...), il a tout fait, hallucinant!!! Et le batteur, je l'ai trouvé sur Youtube. Je suis tombé sur un concert avec Willie Nelson et Keith Richards et j'ai adoré la batterie. Je me suis dit: “Putain, c'est ce mec qu'il me faut!” Et ce mec, c'était Chad Cromwell. Patrice s'est chargé de les contacter et ils ont dit oui. Toute la section rythmique a été enregistrée à Miami en mars 2014, aux studios Hit Factory, avec Patrice Et puis Patrice est revenu chez moi début avril. Jusqu'à début mai. Et depuis, j'envoie les mix à Nashville. Pourquoi Nashville? Parce que je voulais un super mixeur et un son américain. Là-bas, il y a un truc dans la musique, peu importe de quoi ça parle, ça te met de bonne humeur... Et ce mixeur, je l'ai découvert en entendant le travail du batteur, Chad. On a donc choisi, avec Patrice, Mills Logan, de Nashville. Je ne le connais pas, je ne l'ai jamais rencontré, on se voit parfois via Skype, c'est tout. Je mets mes pistes dans la dropbox et lui les reçoit chez lui et il me renvoie les mix. J'ai eu du bol de trouver Mills, presque à la dernière minute. Il m'épate ce mec!” Le son ne se contente pas d'envelopper l'auditeur, il le dévore, l'avale, l'englobe. Il existe un savoir-faire yankee. On le savait. Bertignac nous en apporte la preuve définitive. Là-bas, pour ça, c'est mieux. Quel son! On ne ressort pas indemne de l'écoute de cet album incendiaire.
“Suis-moi”, premier single, rock qui ondule, qui à la fois tape et enlace, le refrain s'incrustant sans attendre et pour longtemps. “Qui a vu ma guitare”, démontre deux choses fondamentales. 1: Qu'il faut savoir protéger ses rêves. Bertignac ressuscite ici le rock&roll, le vrai, celui qui brûle 2: Que Bertignac reste le meilleur guitariste hexagonal. Il ne frime pas, il décolle! Introduction uppercut, démarrage en trombe, enclenchant chez celui qui écoute l'envie déjà de le suivre, aveuglément. “Cathédrales” offre une structure plus complexe, les guitares s'enchevêtrent pour mieux édifier. Le thème de cette chanson, c'est tout Bertignac: tout donner pour ne rien regretter, préférer toujours le rêve à la banalité, l'impossible au facile. Impressionnant! Il y a encore “Laisse-moi dormir”, rock animal, ondulation à la fois sexy et malicieuse, physique et jubilatoire. Ou “Minilou”, rock-comptine fédérateur, “Mes Icônes” avec son début presque blues des temps anciens, comme si la voix de Louis s'échappait d'un vieux transistor américain oublié, sa batterie boucle, ses ouhouh carrément stoniens et ses guitares, énormes.Là, on est au cœur du rock, de l'énergie, de la chair moite. Et il y a encore toutes les autres chansons, à “Suis-moi”. Comment ne pas accepter la main tendue? Avec Bertignac, le voyage est assuré, le terminus une idée à oublier. Ici, il n'y a pas de fin, juste la certitude que le plaisir reste le dernier des combats. L'ultime révolution. “Ce disque, c'est du plaisir direct, au présent, c'est moi aujourd'hui,
SUIS-MOI : C'est le premier single. C'est un mec qui s'appelle Stéphane Basset, un mec de télé, qui a écrit le texte. Il m'avait fait faire plusieurs émissions, des trucs de voyage. Il m'avait invité en Thaïlande pour un concept d'émission un peu barge où j'étais censé faire la manche avec ma guitare pour réussir à bouffer et à dormir dans un hôtel. Le concept était assez marrant. Et je lui ai donc proposé d'écrire le texte de cette chanson, au retour de Thaïlande. Il a écrit sur ce qu'il a vu de ma vie avec Laetitia. C'était assez marrant. Musicalement, “Suis Moi” tourne autour d'un riff.
CATHEDRALES : C'est un vieux thème. Je voulais une chanson qui n'ait pas couplet-refrain toujours pareil. Et donc, les accords changent un peu tout le temps. Quand t'as choppé le premier refrain, tu ne sais pas jouer le deuxième (rires). Mais en fait, ça part d'une impro. J'ai enregistré en improvisant. Çaparle d'un mec ambitieux qui a envie de rêver, qui en a assez des limites. Qui a envie de dépasser les limites et de finir par décrocher les étoiles. Ca a failli être le titre de l'album... C'est un vieux copain qui a écrit le texte, un écrivain, Dominique Simonnet.
MINILOU : C'est sur mes filles. Ça commence comme une comptine, une berceuse et ça part très vite en rock&roll. Et mes filles se marrent en l'écoutant. C'est que de la joie. Faut s'éclater avec ses enfants. C'est un pote journaliste, spécialisé en foot, qui a écrit ce texte, Philippe Carayon.
T'EN FAIS PAS : C'est l'une des plus récentes. Elle m'est venue comme ça. Quand j'ai acheté mon piano, l'été dernier. Je me suis dit: “Putain, avec un instrument comme ça, je suis obligé de composer des tubes (rires)”. Et voilà, j'ai improvisé ce truc et ça a donné ça. Il y a plusieurs personnes qui ont essayé d'en écrire le texte mais finalement, c'est Rose, la chanteuse, qui l'a écrit. C'est mon slow (sourire). C'est une chanson d'amour.
BIENTÔT LES CLONES : C'est Alain Granville qui l'a écrit, avec un pote à lui. C'est un copain de Patrice Cramer. C'est un morceau un peu social mais ça parle quand même surtout d'amour. C'est traité de manière un peu frivole parce que tout est frivole. Je n'ai pas envie d'arriver avec ma guitare et de faire chier les gens avec des thèmes ultra sérieux. Je ne me sens pas capable de leur donner des conseils, ce n'est pas mon rôle... Sur ce titre, il y a un côté un peu funky. Funky rock bien sûr...
SUR DE T'AIMER : Écrite par Guillaume Violas. C'est une valse. J'ai toujours aimé les valses, que ce soit Otis Redding quand il fait “That's How Strong My Love Is” ou le “Time Is On My Side” des Stones. Et j'ai voulu que ce morceau ressemble un peu à Aerosmith, celui de “Cryin'”, encore une valse.
JE DIS OUI : Ça fait longtemps que j'avais cette chanson. C'est Dominique Simonnet qui me l'a écrite. Ca a toujours été un duo entre un mec et une fille. Avant, c'était moi qui faisait cette voix de fille (rires). J'aime beaucoup Mélanie Laurent. J'ai récupéré son mail. Je lui ai envoyé le morceau. Et elle m'a dit: “Génial, j'adorerais le faire.” Et elle est venue l'enregistrer chez moi. Je lui ai dit que j'étais fan d'elle depuis qu'elle avait buté tous ces nazis dans le film de Tarantino (rires). Et il y a quelques
EMBRASSE-MOI : C'est la première chanson que j'ai envoyée à Mills Logan, pour le tester. Écrite par Dominique Simonnet il y a trois ans, avant même “Grizzly”. Musicalement, c'est un riff qui me rappelait “All Right Now” de Free, c'est un peu ACDC aussi.
LE POUVOIR DE DIRE NON : Cette chanson est un peu sociale. C'est l'individu qui refuse de se fondre dans la masse. Moi plus jeune qui refuse de rentrer dans le moule? Oui, il y a ça, bien sûr. Je me suis rendu compte que j'étais content d'avoir dit non à la vie normale. Parce que du coup, j'ai une vie que j'aime. J'aurais été médecin, ça aurait été une autre affaire quoi... Grâce à la musique, j'ai quand même une vie fantastique. Et puis, je suis devenu papa à 50 piges, c'est génial! Et ça parle donc aussi d'aujourd'hui, tout ce qu'on tente de te vendre, le botox, toutes ces conneries... Et les paroles sont de
LAISSE-MOI DORMIR : C'est le seul texte que j'ai écrit. Parce qu'il m'est venu comme ça. Au départ, le but, c'était que quelqu'un d'autre l'écrive mais Patrice m'a dit qu'elle était vachement bien. Et donc voilà. Musicalement, c'est un riff. Un riff très simple. C'était une époque où Patrice me disait qu'on manquait encore un peu de rock. Il trouvait qu'il y avait encore beaucoup de slows (rires). Cette idée de riff. Je l'ai fait complètement sur l'ordi en Thaïlande, dans la chambre d'hôtel. J'ai viré ma copine de la chambre parce que sinon, je suis un peu timoré, j'ai du mal à travailler devant les autres. Total: elle s'est faite bouffer par les moustiques et moi, j'avais une nouvelle chanson en boîte (rires).
MES ICONES : Alors celle-là, au départ, c'était un vague thème avec des ouhouh et des ahah, des machins comme ça, que j'avais enregistrés dans l'I-Phone. Je l'ai envoyée à Patrice Cramer. Ça parle des Stones... Parce qu'il y avait des ouhouh tout du long, je me suis dit qu'on allait dire que j'avais pompé sur “Sympathy For The Devil”. Mais je ne voulais pas enlever mes ouhouh (rires). Et donc, le brief pour le texte, c'était: “Il faut que ça parle des Stones”. Et donc, j'ai reçu plein de trucs qui parlaient des Stones. Et finalement, c'est un peu Patrice Cramer qui l'a écrite celle-là. Il s'est fait aider par Alain Granville. Étonnamment, c'est l'un des morceaux qui ressemble le moins à du son Rolling Stones. Je trouvais ça marrant. Du coup, c'est un hommage aux Stones, et non pas une copie des Stones (rires). Le refrain est carrément plus Led Zep en fait.
CONFIDENCES DE MA JUNIOR : Cette chanson parle de ma guitare SG Junior. C'est de loin ma guitare préférée depuis toujours. Alain Granville au texte. Il m'a envoyé ça et j'ai trouvé trop marrant qu'une guitare, ma guitare, me parle. Elle s'incarne. Le style, c'est vraiment Nashville, Austin, c'est très Texas. C'est mon album américain (rires).
QUI A VU MA GUITARE ? : Je voulais un rock&roll genre Chuck Berry ou “Hygiaphone”. Un rock classique. Avec le son Texas d'aujourd'hui... Je voulais vraiment cet esprit. Le mec qui m'a écrit le texte s'appelle Guillaume Violas. Je ne le connais pas, je ne l'ai jamais vu. En fait, j'avais une fille comme talent dans The Voice, Marlène, qui est d'ailleurs devenue aujourd'hui ma prof de chant. Elle m'a dit qu'elle connaissait un mec qui écrivait vachement bien. Et donc Guillaume. Sur ce titre, je voulais dire que la télévision, ça suffisait. C'était à la sortie de The Voice. J'expliquais un peu pourquoi j'avais arrêté de participer à l'émission. Je voulais monter sur scène, rejouer de la guitare. Cette chanson, c'était ma réponse à tous ceux qui me demandaient pourquoi j'avais arrêté. Voilà.
LOUIS BERTIGNAC NOUVEL ALBUM « SUIS-MOI » A PARAITRE LE 15 SEPTEMBRE REALISE PAR LOUIS BERTIGNAC ET PATRICE CRAMER
3 EDITIONS : Standard (13 titres) Deluxe (18 titres) Vinyle
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Le 25/09/2014 à 17h23 (82.231.**.**) |
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Le 24/09/2014 à 22h50 (82.231.**.**) |
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Le 24/09/2014 à 22h46 (82.231.**.**) |
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Le 23/09/2014 à 15h29 (130.79.**.**) |
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Le 16/09/2014 à 08h26 (130.79.**.**) |
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Le 15/09/2014 à 07h36 (130.79.**.**) |
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Le 09/09/2014 à 13h37 (82.231.**.**) |
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ah ke bonne fête les "Alain"
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Le 09/09/2014 à 10h34 (92.153.*.***) |
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Salouis a tout le monde , Louis jouera au casino de Carry (13)le 04 Octobre , plei de gens vont jouer a cet endroit mais trés peu font autant de pub ?Tchao a bientot .
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Le 07/09/2014 à 18h58 (82.231.**.**) |
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Le 07/09/2014 à 00h33 (82.231.**.**) |
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Hello, pas mal la téloche, a des horaires abordables.....Sur le coup des 22h cruel choix, le patron avec Voice Kids et les Stones.. Hé bien connaissant bien le sujet, mieux que mes leçons de l'école, je suis resté scotché... sur les pierres qui roulent encore..... Prés de 2 heures de bien belles images... avec un bon son.. Avis de mon programme télé,que j'approuve .. Même
s'il n'apprend rien de neuf sur le groupe, ce documentaire distille
une belle énergie et donne à voir pas mal d'images rares
Merci Martine pour l'info.... voilou la séance de rattrapage...... 
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Le 03/09/2014 à 01h57 (82.231.**.**) |
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L'intégralité de ce clip sulfureux qui est passé dans l'émission "Sex Machine" des Enfants du rock le 27 octobre 1984 sur Antenne 2. Toute une ambiance qui marqué à l'époque les esprits et... les mémoires. Merci a Gunderic... A mon avis, cela n'est plus possible en 2014 de passer un tel titre comme celui ci, Ni écouter des chansons paillardes des années 1900, quand je pense Fernande.. tout comme l'humour a la Desproges, Coluche, etc....
Bon, déjà que nous n'avons plus de pognon, que les places de louis sont très chères. Le tout dans des salles INADAPTÉES. Putain de période .. Voillou le clip 
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