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Le 30/03/2014 à 20h04 (82.231.**.**) |
Alain(Gnac10) -
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@nono and Band
Je vais surement paraître légèrement pointilleux, mais je suis pas trop enthousiasme de votre prestation au Gib. Je m'explique, le premier titre - Marche Arrière- me laissais présagé d'un putain de concert. Les deux autres témoignages vidéo, après plusieurs visionnages, je me suis dis il y a quelque chose qui cloche... Puis Tilt, vous vous lâchez pas les mecs, musicalement, physiquement (position statique, puis un petit sourire de temps en temps ne fait pas de mal)... Ou est le Band des répètes du mardi et vendredi soir ? Est ce le lieu, la ville, la présence de Philman et ses sbires ? Bref, vous n'avez pas mis le feu comme je l’espérais. Bien sur cela n'est que mon ressenti, vous méritez mieux les zamis. Balancez le reste des vidéos pour me faire mentir. Très amicalement. Alain
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Le 30/03/2014 à 17h32 (91.68.**.***) |
nono a muriel -
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oui c Lily qui a filmé
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Le 30/03/2014 à 16h00 (92.89.**.***) |
patdenantes @ nono -
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bon, ça!
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Le 30/03/2014 à 13h24 (91.68.**.***) |
nono -
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Le 30/03/2014 à 11h20 (91.68.**.***) |
nono -
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Le 29/03/2014 à 20h01 (91.68.**.***) |
nono -
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Le 29/03/2014 à 18h38 (91.68.**.***) |
nono a muriel -
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c pas moi qu il faut remercier pour l article, c Patrick alias richard caisse ! ;-)
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Le 29/03/2014 à 17h28 (91.68.**.***) |
lily@Vince -
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Elle ne s'est pas torchée c'est déjà ça ! Sinon, patience, c'est en cours de traitement.....
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Le 29/03/2014 à 16h25 (86.197.**.**) |
vince @ - nono
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et alors, pas de vidéoqu'a donc fait la caméranne ou plutôt la camérawoman de service ?  http://www.bertignac.com/img/emoticons//baston.gif" alt="  ">
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Le 29/03/2014 à 12h11 (91.68.**.***) |
nono@gnacs -
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Kaiser's band au Gibus
Les plus grands ont joué là. Chuck Berry, Deep Purple, Magma, Clash, Police, les Sex Pistols, Iggy, Téléphone… Il fallait bien, un jour, que le Kaiser’s band y branche ses guitares à son tour. Ce rendez-vous, c’était donc hier, au Gibus à Paris. D’abord, il faut descendre au sous-sol d’une cour de la rue du Faubourg du Temple. Une rue où une foule compacte se presse pour entrer dans un théâtre situé juste à côté de la salle de concert. Au programme : une pièce de théâtre de boulevard… Bien fait pour eux, fallait pas faire le mauvais choix ! Nous, on s’en fout, parce qu’on fait partie des « happy few ». Donc, sourire goguenard aux lèvres, on descend l’escaliers tout raide et bien noir. On passe une toute petite porte branlante ( !) et estampillée « Gibus ». Pas de doute : on entre dans l’antre. A l’intérieur du Gibus, la bande à Nono a déjà pris ses quartiers, installé le matos et fait les balances. Dix-neuf heures, ça fait tôt pour un concert ! Surtout quand il faut jongler avec les embouteillages et des lignes de métro bondées. Dur, on ne les verra donc pas faire leurs derniers réglages, s’amuser un peu sur quelques standards, faire les fous sur de vieux riffs poisseux. Dommage… Mais pas le temps de pleurnicher, car ça démarre déjà. Pied au plancher et en « Marche arrière », s’il vous plait ! Deux petites minutes et voilà déjà le premier solo de Nono, le roi des Picards. Tout à la onctueux et ferme. C’est bon comme un tiramisu, mais nettement en plus consistant. On commence à peine à se régaler que résonne déjà l’intro stonienne de « Laisser tomber ». Un clin d’œil, un peu pervers, c’est sût. Car, de laisser tomber il n’est pas question. Tout juste le temps, de remarquer au passage le nouveau baudrier du gratteux en chef. Large, épais avec Kaiser’s band marqué en grosses lettres dessus. La classe. Mais c’est vrai qu’on a aussi l’œil sur les trois autres compères. Hugo dont la Les Paul noire joue avec la lumière et envoie comme des flammes, Thomas et sa basse cinq cordes qui gronde comme une panthère en colère et secoue les tripes du public. Et puis, Steve derrière ses fûts dont les rythmes tiennent tout l’édifice. C’est même la bonne surprise : on n’avait plus sur les quatre bougres sur scène depuis l’été dernier et, à l’évidence, ils n’ont rien perdu. C’est carré, musclé, ça trace sans crier gare, a tel point que les trois morceaux suivants sont avalés d’une traite. « Sans armes » d’abord : compo un rien hypocrite, dans la mesure où des armes ils en ont et même des armes lourdes. Puis « Cheyenne » et son gros riff addictif. (Là, il est hautement conseillé de dépasser la dose prescrite) . Et pour finir : un « J’ai les nerfs » joué façon Sam Peckinpah, style « Horde sauvage ». Du coup, nous aussi, on a les nerfs, car le set est déjà fini ! Vingt-deux petites minutes de lave en fusion ! Comme un goût de trop peu et une promesse de deuxième service d’ici peu…
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Le 28/03/2014 à 22h16 (90.57.**.***) |
Oliv'@Louis -
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Alors patron , content de tes sessions a Miami ???
Bisous
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Le 28/03/2014 à 15h54 (130.79.**.**) |
Alain(Gnac10) -
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@nono and Band
Mettez le feu au Gib. ce soir...
Avec vous en pensée
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Le 25/03/2014 à 17h12 (82.238.***.**) |
Lily@Hugo et Nono -
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2 chtis pour le 28 ça vous va ?

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Le 22/03/2014 à 22h41 (92.92.***.***) |
nono @ gnacs -
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HE LES GNACS, N OUBLIEZ PAS , NOUS JOUONS AU GIBUS A PARIS VENDREDI A 18H . PASSAGE A 19H. ON COMPTE SUR VOTRE PRESENCE!!!!!
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