@ Nebo uisque tu tiens tant que ça à parler des SS, j'ai regardé la moitié de la vidéo (ouf!) et j'ai déjà constaté 3 oublis/conneries :
1/ Tout ça se passe avant la création de l'Etat d'Israel (et pour cause !) Dans la Palestine d'alors. Donc ne repose sur rien de comparable à aujourd'hui. 2/ Les Nazis ont perdu la guerre (faut-il le rappeler) et leurs théories hypocrites n'ont plus cours. Du tout. 3/ le danger d'un mysticisme laïc, où l'on remplace sur un même plan, le divin par des kadors (des industriels en fait) traités comme le Veau d'Or, semble bien plus dangereux, à l'inverse de ce qui est dit par les vierges effarouchées de la video.

(p't'être aussi à cause de la boisson maison ... et/ou pour qu'on leur fasse le bouche-à-bouche )

"Dur d'être un héros, de ce côté-ci d'la planète !"

Moi j'veux bien, "la liberté d'expression", le "choix des opinions" etc. Mais pour cela il faudrait une pluralité dans l'offre, une diversification des alternatives. Et une exemplarité de la création, avec surtout un peu de bon sens : avoir le temps de la réflexion. (Je ne parlerai pas de méditation : ni les mots, ni les images ne peuvent en faire le tour).

La télévision, pendant ce temps là, s'essayait à sa poutination, presque touchante par sa maladresse de débutante, son gazouillis novice (« Vous m'inspirez » avait dit l'ot'là au nouvau tzar après son élection. Même que tout le monde avait cru qu'il était bourré.) Avec des titres ubuesques : "mobilisation en baisse" : mais par rapport à hier et aujourd'hui il y avait plus de monde dans la rue : Ça n'est pas normal
.Tout de même 100 manifs dans les pays, 500 000 manifestants (contre 700 000 le 22 mai = "un demi-échec" !?!) ! Mais même s'il n'y avait que 3 personnes, qui porteraient plainte, dans notre société, cela mériterait plus de considération. Même une seule ... (une fausse note et la symphonie est par-terre !)
Joueur : « pari en parti manqué » Mais de quel pari s'agit-il donc ??? Pour quel gain ? ; sybillin : « les cortèges n'ont pas fait le plein » : on se croirait à la Foire du Trône ?!
Indécence et cynisme télécommandé.
Et ce n'est qu'au bout de 5 mn, qu'on nous dit enfin POURQUOI il y a grève (parce que figurez vous que les mouvements sociaux ont un sens précis, en dehors du folklore, qui justifie que certains sacrifient ainsi une partie de leur paie). Cela mérite pour le moins réflexion (surtout quand on est payé pour, comme les journalistes). Voire opposition / contradiction. (En l'occurrence il s'agissait de la non prise en compte des accords négociés syndicats patronat/salariés par le gouvernement : tous ces gens sont donc payés à ne pas discuter, ou à le faire pour rien.)

Après quoi, on nous explique que le service public va être, tout comme l'armée (à croire que c'en est fini du "prestige de l'uniforme"), démantelé. Muselé, d'une certaine façon. On parle de faire des économies, mais, en fait, on pratique la gabegie retro-active : des milliards ont été investis il y a une dizaine d'années pour que les stations régionales (NB/ le poult de la Nation) passent de l'analogique au numérique !
Le véritable savoir-faire des pros de l'audio-visuel, de ces anciens plein de devotion, titulaires, jusqu'aux pigistes francs-tireurs, mis à mal : nous bénéficions tous de ce réseau (centres d'apprentissage : si ce mot a encore un sens - irremplaçables). Et la population compte sur ces relais de l'information ... (Pourtant, il y aurait toujours à redire, sur la place laissée à la création, depuis toujours, dans ce maillage ... très exclusif dans son babillage).
Même si on constate que l'audimat n'est pas très fort, tout le monde sait l'importance de l'éventualité de la présence de ce media, pour la vie associative, locale, (avec « remontée » possible en national). Une habitude indéboulonnable.

D'une façon générale ... à trop vouloir étreindre, on risque d'éteindre ...

Mais, en l'occurrence, à tenter de démantibuler le capteur le plus performant, et le mieux en phase avec la vie de chacun (tout en restant pro, quant à lui), je crains que cela ne fasse que mettre (encore plus) le feu à la traînée de poudre du mécontentement ...
(Je ne parle pas des salariés, qui par définition ne peuvent faire savoir leurs turpitudes : s'ils se mettent en grève, ils se condamnent à se taire ! De par leurs fonctions ... )

Tous les malades qui veulent conquérir le monde songe à pactiser quand leur grande gueule ne suffit pas à vaincre les résistances (et à se suicider juste après, en l'occurrence pour Adolphe) Il aurait dit la même chose des Suissses s'ils avaient été plus nombreux, des mangeurs de saucisses (cf. la choucroute merguez), en faisant gouzi-gouzi avec n'importe quelle focalisation colorimétrique de "parenté du sang" (gag !), qui ne chercherait pas à immédiatement faire sauter son bunker !)

Voici ce qu’on pouvait lire dans le « Testament » d'Adolf Hitler, rapporté par Martin Bormann lui-même au quartier général du Fürher, du 4 février au 2 avril 1945, préfacé par François Genoud :

« Tout l'Islam vibrait à l'annonce de nos victoires. Les Égyptiens, les Irakiens et le Proche-Orient tout entier étaient prêts à se soulever. Que pouvions-nous faire pour les aider […], comme c'eût été notre intérêt et notre devoir. La présence à nos côtés des Italiens […] créait un malaise chez nos amis de l'Islam [elle nous] a donc empêché de jouer l'une de nos meilleures cartes: soulever les pays opprimés par les Britanniques. Cette politique aurait suscité l'enthousiasme dans tout l'Islam. C'est en effet une particularité du monde musulman que ce qui touche les uns, en bien ou en mal, y est ressenti par tous les autres, des rives de l'Atlantique à celles du Pacifique. […] les peuples régis par l'Islam seront toujours plus proches de nous que la France, en dépit de la parenté du sang. […]. La France et l'Italie [ont empêché] l'Europe de faire une audacieuse politique d'amitié à l'égard de l'Islam »

Adolph Hitler (cité parMartin Bormann)

Comme le dit Binocles « les vidéos de ce genre sont dangereuses » :

1/ Parce qu'elles prolifèrent, banalisant l'innommable. Tout en exacerbant les clivages. (Les projections prétendument politiques ne manquent pas, sans le moindre fondement pourtant. Toujours cette histoire des guêpes qui veulent convertir les abeilles – et réciproquement, à l'occasion. (J'adore les films animaliers, en revanche).
On saute sur tout ce qui bouge, (chaotiquement...), quand rien ne bouge ! (même dans une mouvance très lente: ex: "croissance" ... vers l'âge adulte, sûrement).

2/ Parce qu'elles ne prennent même plus la peine de s'appuyer sur un discours sensé (" dénoncer " ou " encourager ". Censées « aller de soi », elles exhibent le degré 0 de la communication. Fastoche, mais c'est comme ça qu'on assiste à des émeutes muettes « imbéciles » ; et à des réactions stériles « crétines » (crétin > étymologiquement, désigne le chrétien : le "simple d'esprit" auto-revendiqué, "l'idiot du village", avant les évangélisations].

Indignation bien pensante, d'une majorité silencieuse, (recroquevillée pourtant comme une espèce en voie de disparition) <-> contre révolte (gratuite), impensée, d'une minorité, (plutôt vénale pourtant) : Vraiment, la société y gagne ! (NB/ j'ironise, on s'en doute) A l'évidence, les clivages sont hasardeux ...

3/ Parce que le racolage (rien que le nom « Justice », c'est pas un peu too much pour un duo bruitiste ?) fait que l'on tombe facilement dans le panneau en en parlant (voire en colportant le teaser). Comme qui dirait « figure imposée » ... Pendant que les souris dansent ...

4/ Parce que l'appât du gain fait que ce type de non-message vient piétiner les plates bandes de la véritable création artistique (déjà mise à mal avec la surenchère des infos dans l'émotivité). Vaste débat ... Petite surface.
(L'Art a-t-il une autre fonction que de tirer l'émotion vers le sentiment ? Quitte à « conceptualiser » au risque de se perdre ...)

5/ Parce que cela « encourage » donc la couardise, la distanciation cynique, le recul empathique (rappelons qu'il y a une différence notable entre empathie, et sympathie : la première est en deça de la pensée ! Et au delà de l'instinct ... quel qu'il soit.) : alors on devient spectateur de son propre malheur (cf. « la fin du monde en direct » : les chaînes se disputeraient les droits d'exclusivité : pour diffuser aux extra-terrestres sans doute ?) et on ne bronche pas si personne ne bronche (panurgisme induit par ce sentiment d'appartenance à un public captif)

Ils sont cons les badauds du passage à niveau : ils ne sauront pas le plaisir qu'on peut avoir à envoyer balader les conventions, pour se rendre utile en cas d'urgence ; et à faire plus vite que l'inertie, tout en se créant des amitiés !

{C'est « marrant », si l'on peut dire , Binocles que tu parles de ça : parce que la victime de cette tragédie, c'est mon cousin (dans une autre occurrence : je ne sais pas si cette fois il y avait des témoins). Mais le plus pathétique dans cette histoire, c'est que s'il était dans un fauteuil d'handicapé, c'est qu'il avait échappé à une tentative de suicide (ferroviaire) qui lui avait retiré l'usage de ses pieds. Il avait repris goût à la vie, et comptait publier des compilations de Rock des Sixties. Lui même jouait dans un groupe, malgré son handicap. Mais le destin funeste l'a rattrapé : ses roues se sont bloquées sur ces satanés rails. Ironie du sort !
En pareil cas, le super-héros arrêtera le train, d'un simple geste de la main, la cape au vent au dessus de la locomotive . Le rockeur normal (c'est l'exemple que je donne usuellement pour définir l'attitude R'n'R), lui, se contenterait de débloquer le passant en péril, et de courir vite. Discret, anonyme, mais accompagné ! }

Je suis pour l'applatisage total de l'enculé vicelard, perdu pour l'humanité qui n'a que le vice et le mal dans le sang.
Je suis pour la dispersion aux quatres coins cardinaux de son être, de son empalement total sur la planete Mars, loin de l'humanité
pour l'empécher une bonne fois pourtoute de nuire à autrui...
Celui qui s'est auto-proclamé le Tony Montana des Minguettes, entrainant dans son ascension vertigineuse vers le royaume du vice, les crédules et idiots...
Je suis pour et ainsi espérer sauver la demi-douzaine de desoeuvrés oisifs qui ont cru en son discourt