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Le 06/05/2009 à 02h40 (91.178.***.**) |
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L'integration des musulmans, des chretiens et des hebreux sera possible quand le Msitre du Temps sera apparu.
Plier le temps est facile.
Il suffit d'etre veridique.
34567839
49,9 ans arc sirius
Tu auras d'autres preuves.
http://www.leludedieu.ch
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Le 06/05/2009 à 02h25 (91.178.***.**) |
Omeg - crimininalite@ORG
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lES MAGISTRATS BELGES OU FRANCAIS SONT D'UNE IMBECILLITE INSOUTENABLE.
MAIS ATTENTION, QUAND ON GLISSE UNE GROSSE ENVELOPPE PLEINE DE BILLETS EN-DESSOUS DE LA TABLE, CERTAINS DEVIENNENT SUBITEMENT INTELLIGENTS.
lES CONS (LES INTEGRES)AURONT L'AUTORISATION DE LIRE DANS MON COEUR COMME DANS UN LIVRE OUVERT.
QUANT AUX AUTRES, QUE LE SEIGNEUR DIEU LES MAUDISSE, ET S'IL NE LE FAIT PAS, JE M'EN CHARGE: CES MAGISTRATS DEVRONT FAIRE LA MANCHE DANS LE METRO POUR MANGER A MIDI : ILS SAURONT CE QU'EST LA PAUVRETE. JE LES METTRAIS TOUS A GENOUX.
IL EST FACILE POUR UN EX-TRUAND DE DE METTRE UN RICHE A GENOUX.
HE, SARKOZY, "ON NE JOUE PAS AU RICHE QUAND ON A PAS LE SOU"
TU ES AVOCAT DE FORMATION, DONC TU ES CONCERNE COMME LES AUTRES.
JE N'AI PAS BESOIN DE FAIRE DERAILLER UN TRAIN POUR METTRE UN PRESIDENT DANS LES CORDES.
HTTP://WWW.LELUDEDIEU.CH
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Le 04/05/2009 à 19h22 (82.244.**.**) |
Eric -
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Info pour Louis : Démission du premier ministre au Népal
Moins d'un an après la victoire électorale des maoïstes, le petit pays himalayen traverse une nouvelle période de crise. A la tête de la coalition gouvernementale depuis août 2008, le premier ministre Prachanda a annoncé, lundi 4 mai, sa démission lors d'une allocution télévisée. Le gouvernement maoïste et le chef de l'Etat népalais étaient engagés dans un bras de fer à propos du limogeage du chef de l'armée.
Le président Ram Baran Yadav, un centriste membre d'un parti de l'opposition, a ordonné au chef des armées, Rookmangud Katawal, de rester à son poste contre l'avis de l'exécutif qui l'avait limogé la veille pour insubordination. La décision du premier ministre a été dénoncée par l'opposition mais également par des partis membre de la coalition au pouvoir.
Le gouvernement reproche au gradé d'avoir dérogé aux dispositions de l'accord de paix de 2006 qui a mis fin à une décennie de guerre civile et stipulait que l'armée devait intégrer dans ses rangs les ex-rebelles maoïstes. L'intervention du président "est une attaque contre cette jeune démocratie et contre le processus de paix", a estimé M. Prachanda.
En avril 2006, tous les partis s'étaient alliés aux maoïstes dans des manifestations démocratiques, forçant le roi Gyanendra à renoncer au pouvoir absolu qu'il s'était arrogé en février 2005. Le 21 novembre 2006, ces forces avaient scellé un accord de paix historique après plus de dix ans de guerre civile, au prix de 13 000 morts et d'une économie ruinée dans ce pays pauvre, enclavé entre l'Inde et la Chine.
LEMONDE.FR
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Le 04/05/2009 à 05h03 (88.164.***.***) |
dan - à Stéphine & Nono
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mais j'comprends pas... c'est nos têtes normales !! et puis toute façon c'est trop tard, j'ai déjà commencé à muter... http://img528.imageshack.us/img528/3355/danlaurens2.gif">
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Le 30/04/2009 à 16h48 (90.61.***.**) |
Nebo -
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"UNE PHILOSOPHIE DE COUR DE RÉCRÉATION
Dans la Critique de la raison dialectique, Sartre théorise une bonne violence qui est réponse à la mauvaise violence. Ses analyses font aujourd’hui la loi dans l’esprit d’une partie de la gauche de ressentiment piaffant d’impatience à l’idée de donner libre cours à la pulsion de mort. Le philosophe analyse la Terreur et considère qu’elle est « contre violence » à la violence imposée par la société, l'État, la monarchie, un régime, et qu’en tant que telle, elle est légitime. Ce sophisme bien digne de l'Ecole Normale Supérieure ne me semble pas très digne de la philosophie…
Car ce que Sartre se contente de faire, dans son habituel salmigondis phénoménologique dopé à la corydrane et allongé d’amples rasades de whisky, c’est d’envelopper dans le brouillard conceptuel de la corporation la justification et la légitimation de l’habituel comportement des cours de récréation (« c’est pas moi qui ai commencé… »), celui du violeur (« elle m’avait aguiché »), celui du mari qui frappe sa femme (« elle refusait de m’obéir »), sinon celui du délinquant adepte du fusil à pompe pour régler un problème d’intersubjectivité (« il m’a provoqué en me regardant de travers »).
Or, depuis que le monde est monde, l’humanité se constitue par l’arrachement à la nature. La philosophie est l’art difficile de sublimer notre animalité. Le néocortex différencie l’homme de la bête. Tous deux ont en commun un cerveau reptilien qui, si on ne l’en empêche pas, fait la loi en répondant à la violence par la violence. Sartre passe par dessus le néocortex qu’il néglige et parle au cerveau reptilien des mammifères. Il croit bourgeoise la matière grise et révolutionnaire l’impulsion nerveuse…
Dès lors, il peut bien justifier la peine de mort pour des raisons politiques, la séquestration de patrons, les tribunaux révolutionnaires expéditifs, il peut regretter que la Terreur n’ait pas fait assez de victimes en 93 sous prétexte que nous n’en serions pas là aujourd’hui, fonder philosophiquement le camp de concentration, pourvu qu’il soit de gauche, qu’on peut, qu’on doit même, abattre un homme s’il est un colon, détruire un innocent dans les rues d’Alger si le poseur de bombe a pour objectif la libération de son pays, justifier les massacres commis par les palestiniens dans les années 70 : il s’agit à chaque fois d’une bonne violence, car elle répond aux mauvaises violences bourgeoises, patronales, capitalistes, libérales, coloniales, sionistes.
Si le philosophe met son talent, sinon son génie, et Sartre en avait, y compris dans le mal, au service de ce qu’il y a de plus bas en l’homme (les passions tristes : l’envie, la haine, la jalousie, la vengeance, le ressentiment, le talion, la méchanceté…) alors il contribue à la violence qu’il prétend combattre. Il dit en vouloir la fin, mais il en accélère le triomphe et en assure la pérennité. Jadis Albert Camus s’opposa à cette légitimation de la violence : Sartre traita Camus au fusil à pompe, ce qui fut bien dans l’esprit de l’éthologie, mais nullement dans celui de la philosophie."
Michel Onfray, La Chronique Mensuelle de Michel Onfray --
N° 46 - MARS 2009
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