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Le 02/09/2009 à 00h19 (80.14.**.***) |
rocco @ lionel -
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Je peux comprendre ton point de vue et je le respecte mais doit-on vraiment se focaliser sur mon exemple ou le tien ? Cela ne fera pas avancer le débat.Je manque d'imagination, dis-tu ? Je pense en avoir suffisamment pour dire que l'avenir pour certains est tout tracé. Encore une fois, je le précise, j'ai un immense respect pour ton parcours mais ton statut de travailleur indépendant te permet-il de bien comprendre et analyser le stress et la pression régnant en entreprise aujourd'hui? Cela n'a rien de polémique je le précise. Contrairement à ce que tu dis, heureusement que le code du travail existe !! Il permet entre autre au salarié, cadre, maitrise de se servir d'un employeur pour acquérir de l'expérience et se vendre ensuite ailleurs s'il le souhaite pour progresser dans sa carrière.
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Le 01/09/2009 à 23h47 (87.231.***.***) |
Lionel -
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En abordant la question du travail le dimanche, on voit que le débat déborde sur la question du travail en général, sa réglementation, etc. Mais il ne se dit pas grand chose, les interventions sont dominées par le conservatisme (on sait ce qu'on perd, on sait pas ce qu'on trouve !), la peur, voire l'envie. Rocco, tu semblais vouloir débattre, mais en fait non, en tout cas pas sur ce point, puisque tes interventions "au second degré" équivalent à dire, "Ne touchons à rien, ne discutons même de rien, sinon ça va être la catastrophe". Plus conservateur et dépourvu d'imagination, c'est difficile ! Lafouine n'est pas le seul à avoir fondé ses interventions sur la peur et l'envie, mais ses propos sont assez représentatifs de ce courant qui est assez net ici comme ailleurs.
Or la peur et l'envie, "passions tristes" selon Descartes et Spinoza, sont souvent bien mauvaises conseillères et nous font même du mal à nous-mêmes. Ce n'est pas en se laissant dominer par ces passions qu'on fait avancer sa cause. En réalité, c'est même pire que ça, car dans le débat sur le travail, ceux qui ont peur (du travail le dimanche, de la réforme du Code du travail, de leur patron, etc.) perpétuent eux-mêmes une division entre des bien lotis et des moins bien lotis. Par manque de courage et/ou d'imagination, ils ont tendance à se classer eux-mêmes dans le lot des moins favorisés, des petits, des sans-grade, qui seront toujours trop faibles face aux patrons, etc.
Bien sûr, il existe une petite proportion d'individus vraiment plus "démunis" que les autres, plus fragiles, qui ont besoin d'être protégés -- temporairement, dans l'idéal -- ; ce n'est pas d'eux que je parle, mais des millions d'autres qui ne sont pas particulièrement plus fragiles que les autres, mais dont l'horizon semble de perpétuer le statu quo en maugréant et en enfilant en guise de commentaires les lieux communs entendus ici ou là.
Or la première dignité d'un individu, ce qui lui donne sa force, ce qui lui confère sa qualité d'humain capable de se tromper (errare humanum est), c'est sa liberté, c'est de se forger une situation où il est le moins dépendant possible de façon contraignante, et pour ce faire, il a le devoir d'essayer de ne pas céder à la peur. On relira à ce sujet l'excellente fable de La Fontaine, http://www.bacdefrancais.net/loup.php" TARGET="_blank">Le Loup et le Chien, très parlante.
Comme l'a rappelé le camarade Nebo, je suis traducteur indépendant depuis 21 ans. Chaque début de mois, je ne sais pas combien je vais gagner ; ça peut être 4000 nets les bons mois, ou 500 les très mauvais mois (juillet ET août 2009) ; les dépenses, elles, en revanche, je sais à peu près à combien elles vont se chiffrer : dans les 5000 de toute façon (ma femme ramène 1000 à 2000 selon les mois) ; par ailleurs, mon horizon de travail est rarement supérieur à 2-3 semaines, voire un mois dans les bonnes périodes. Bref, si je laissais la peur ou l'anxiété me dominer, j'aurais probablement déjà eu plusieurs attaques cardiaques ou ulcères ! 
D'un autre côté, je n'ai pas non plus d'ulcère ou de mauvais moral à cause d'un patron ! Je trouve beaucoup d'avantages à cette situation. Je la trouve "moderne" parce que nous sommes dans une époque de transition et qu'il m'importe tout autant de ne pas avoir de patron que de n'être le patron de personne. Je la trouve "vraie" parce que je suis en contact direct avec l'économie, sans tampon, et parce que ce sont directement mes efforts ou, parfois, mon manque d'efforts qui entraînent la hausse ou la baisse de mes revenus, même si, bien sûr, d'autres facteurs interviennent. Je la trouve "confortable" parce que je travaille chez moi, que je peux m'interrompre quand je veux (mais alors il faudra peut-être rattraper le travail non fait le dimanche !), voir mes enfants, ma femme à divers moments de la journée. Je la trouve "moderne" (bis) parce que j'ai une vie globale et non découpée en temps de travail très délimité et temps de non-travail très délimité aussi ; comme le disait Nebo, s'il n'y a rien à faire un jour de semaine, je peux prendre du temps libre, et puis s'il y a du travail le week-end, je suis dispo et bien content qu'il y ait du travail pour rattraper le "trou" de la semaine.
J'avais évoqué ici la nécessité, défendue entre autres par le philosophe Alain, de "penser contre soi", c'est-à-dire de se forcer à ne pas raisonner uniquement selon la pente la plus facile pour chacun de nous. Il y a de même une nécessité "d'agir contre soi" pour rester bien vivant et ne pas céder à une certaine pente naturelle qui nous habite tous plus ou moins, celle de l'inquiétude vis-à-vis de l'avenir. Pour moi, devenir travailleur indépendant, ça a été entre autres ce genre d'acte, celui de me pousser moi-même à l'eau presque sans réfléchir, avec l'obligation d'arriver à nager sans bouées ! Financièrement, il y a l'avantage de ne plus payer de cotisations chômage et donc de garder cette retenue comme revenus ; mais en contrepartie, je me suis engagé vis-à-vis de la communauté à prendre en charge tout seul tous mes problèmes de travail ; ainsi, j'allège la société du poids de secourir la famille Lumbroso en cas de problème de travail. C'est déjà pas mal.
D'autant que le travail et l'économie, depuis la crise de l'an 2000, c'est rude de chez rude !
Tout en lisant la consistante contrib de Nebo sur le sujet avant-hier, j'avais chargé par erreur un ancien fichier de tarifs de traduction qui datait seulement d'il y a 3-4 ans et cela m'a rappelé avec attendrissement que pour les très gros manuels d'un constructeur japonais, j'étais payé 9 centimes par mot source, alors qu'aujourd'hui, j'ai accepté de descendre à 7,5 centimes pour conserver ce marché. Les temps sont durs pour tout le monde, les bas prix sont la règle, de plus en plus de gens font de la traduction parce que c'est une profession à accès libre, la concurrence bat son plein ; j'ajoute en passant que bon nombre de traducteurs militent depuis des années pour la réglementation de la profession, de façon à bloquer cet accès et que j'ai personnellement toujours voté contre, parce que ce principe de liberté d'accès me semble convenir à cette profession, fût-ce au détriment de mon intérêt individuel.
Eh oui, dans l'économie réelle, des quantités de prix baissent, et quand nous sommes du côté de la consommation, nous en sommes bien contents. Mais quand nous sommes du côté de la production ? Personnellement, je suis attaché à la cohérence de mes attitudes et donc, quand mes prix de vente baissent sous la pression de la concurrence, j'assume et j'essaye de gagner en productivité pour maintenir mes revenus. Et si les prix baissent trop, eh bien, il faudra peut-être envisager de changer de métier !
Bien sûr, tout le monde ne peut pas être travailleur indépendant, et quantité d'industries et d'entreprises ont besoin de personnel en quantité. Mais le raisonnement sur la peur, la liberté, la dignité continue de valoir dans tous les cas. Et je trouve l'exemple de Nebo assez admirable à ce titre, puisqu'il privilégie ces nobles valeurs, repousse la peur, se tient debout et n'hésiterait pas à tirer sa révérence et à aller voir ailleurs si son entreprise venait à lui manquer de respect ou à le traiter de façon insatisfaisante. Comment on serait mieux lotis s'il y avait plus de forts caractères dans son genre ! 
oOo
Un dernier point sur le Code du travail, puisque Rocco a envie de discuter. Lui aussi reflète désormais trop des temps anciens où les droits des uns et des autres n'étaient pas aussi avancés, où les rapports de force pouvaient être violents. Lui aussi contribue à perpétuer une césure entre les censément "petits" et les autres. Bien sûr, les rapports de force existent encore, les comportements sournois de la part de patrons aussi, et il est évidemment bon que tout cela soit réglementé. Mais cette réglementation est trop maximaliste et nuit à la vitalité de notre économie, donc à notre richesse collective.
J'ai un exemple que j'ai déjà cité, sur lequel je ne crois pas qu'on m'ait répondu quelque chose de pertinent, et sur lequel Rocco, tu pourras plancher si tu veux. En tant que travailleur indépendant, je peux embaucher. Comme je l'ai dit, je préfère n'être le patron de personne, mais il y a certainement aussi le Code du travail qui a toujours été pour moi une très bonne raison de ne jamais embaucher personne.
En effet, comme je le disais, le Code du travail est fondé sur des prémices tout à fait inégalitaires. Ainsi, si j'embauche, pour une raison qu'il est difficile d'étayer moralement, me semble-t-il, je suis censé, au-delà d'une période d'essai, payer et faire travailler mon salarié sans limitation de temps. En revanche, lui a la liberté de me quitter quand il le veut, sous réserve d'une petite période de préavis. Le pire n'est jamais sûr, mais dans un cas défavorable qui n'est pas invraisemblable, il se pourrait que je forme progressivement un nouveau salarié pendant mettons un an, en y investissant du temps (manque à gagner), et lui serait libre de me quitter à volonté. Bon, il est vrai qu'on ne saura sans doute pas si j'aurais réellement embauché si le Code du travail était plus égalitaire, mais ce qui est sûr, c'est que je n'embaucherai jamais avec le Code en l'état !
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Le 01/09/2009 à 23h32 (80.14.**.***) |
rocco @ thierry -
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Bosser le dimanche n'est pas interdit que je sache puisque tu dis toi même que les Zartistes bossent le week-end. D'ailleurs, y en a beaucoup qui bossent le dimanche. Par contre légiférer, c'est à dire faire voter un texte de loi concernant le travail le dimanche par nos chers députés peut banaliser celui-ci et ainsi tes proches qui bénéficient pour l'instant de plein de RTT et tout et tout, et ben y z'auront plus rien car le dimanche sera un jour comme les autres.
Quant à Jospin, oublie.
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Le 01/09/2009 à 23h05 (83.114.***.***) |
Thierry @ Rocco -
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Le gouvernement de qui ??? c'est ki cuila Jospin - il a fait qq chose ??Il etait au gouvernement ?? pas vu !!!
- Moi perso Rocco jbosse pas le week end donc jdevrais me taire - J'ai juste porté ma contribe parce que j'ai des proches qui bossent le week end et qu'on veux les en empecher et je trouve ça plutot con -
D'ailleurs les zartistes ne devraient plus jouer le week end mais la semaine.........
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Le 01/09/2009 à 22h54 (80.14.**.***) |
rocco @ thierry -
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Il ne s'agit pas d'interdire le travail du dimanche ou du lundi ou du samedi. Tu as trouvé ton équilibre en bossant le dimanche ainsi que Pascal, c'est très bien. Sachez simplement que légiférer sur le travail du dimanche peut etre dangereux pour ceux qui ne souhaitent pas bosser le dimanche (il y en a aussi). Les RTT et primes de récup après avoir travaillé un dimanche ne sont pas tombés du ciel mais un acquis du gouvernement Jospin. On peut en penser ce qu'on veut, qui est prêt à revenir en arrière ?
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Le 01/09/2009 à 21h47 (83.114.***.***) |
Thierry Der -
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J'ai oublié de dire que pour le frerot et la belle soeur c'est + 30% de salaire complémentaire et des RTT en veux tu en voilà - La aussi ils ont des blèmes car se les font payer au lieu de les prendre et rebolotte les "malvus" - Allez on a tous des exemples je pense, ce débat ne regarde que celles et ceux concernés et comme dit Yamero,aller au boulot, quand ca plait finalement c'est pareil que d'aller a Aquaboulvard !!! Quoi qu'il faut être con pour se foutre dans une piscine ou tout le monde va le dimanche Moi je vais à Aqua machin truc la semaine ya personne c'est sans bruits et propres - Nyto si tu lies ;-)))
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Le 01/09/2009 à 21h34 (83.114.***.***) |
Thierry -
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Plus serieusement, pourquoi ne pas laisser celles et ceux qui le desirent bosser le week end et/ ou la nuit -ils sont TRES TRES NOMBREUX
Moi, perso je désaprouve les gens qui sont " contres "alors que parfois même pas concernés !!! mais pour suivre la mouve -
Mon frangin et belles soeur ont opté pour le travail de nuit pour se payer des rêves qu'ils ne pourraient faire si ils bossaient la journée, et bien il se foutte a dos des collègues de travail et leur syndicat pour leur choix - CA c'est pas normal.
Lorsque j'etais jeune adulte, je me suis orienté dans la boulange/patisserie et après qqs trimestre !!!!Semestre, je ne supportais plus de bosser le week end et jours fériés, bah j'ai changé de taf - Laissons ceux qui veulent bosser le dimanche bosser !
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Le 01/09/2009 à 18h54 (90.22.**.***) |
Pascal -
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Moi je travaille que le samedi et le dimanche 2x12 heures et basta la semaine est finie,en meme temps c'est un choix de ma part ,la semaine je m'occupe de ma fille et je souhaite qu'une chose que ca dure.
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Le 01/09/2009 à 11h19 (82.121.*.***) |
Yamero -
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"Choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez pas à travailler un seul jour de votre vie."
Confucius
bon il a pas dit que des trucs bien, ils ont gardé que le meilleur c'est sûr, et puis il a pas connu la crise le chômage tout ça....mais bon...sur le principe, l'idée, l'esprit, je suis en phase....après dimanche ou pas, lundi ou pas, 35h ou 50h, d'autres vous diront que le travail c'est ce que l'homme a trouvé de mieux pour ne rien faire de sa vie....affaire de points de vue...juste de points de vue, personne n'a raison ou tort, chacun à sa vie et ses priorités, les problèmes arrivent quand l'un dit "j'ai raison" et donc que l'autre a tort...quand on aura admis qu'il ne sert à rien d'avoir raison, sauf se faire plaisir, chouchouter son ego, alors toute la futilité des échanges improductifs apparaitra....et on cherchera à trouver une voie ensemble plutôt que de s'arracher la boussole....après, ce n'est que mon avis...
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Le 01/09/2009 à 04h31 (198.165.***.***) |
lafouine@Rose -
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Si c'est vraiment trop dur le reprise le lundi,il y a cet autre philosophe qui disait: Ces gens qui courent au grand galop
En auto, métro ou vélo
Vont-ils voir un film rigolo
Mais non, ils vont à leur boulot
Le travail c'est la santé
Rien faire c'est la conserver
Les prisonniers du boulot
N' font pas de vieux os.
Ils bossent onze mois pour les vacances
Et sont crevés quand elles commencent
Un mois plus tard, ils sont costauds
Mais faut reprendre le boulot
Dir' qu'il y a des gens en pagaille
Qui cour' nt sans cesse après le travail
Moi le travail me court après
Il n'est pas près de m'rattraper.
Maint' nant dans le plus p'tit village
Les gens travaillent comme des sauvages
Pour se payer tout le confort
Quand ils l'ont, eh bien, ils sont morts.
Homm's d'affaires et meneurs de foule
Travaillent à en perdre la boule
Et meur' nt d'un' maladie de cœur
C'est très rare chez les pétanqueurs.
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Le 31/08/2009 à 03h51 (85.169.***.**) |
Rose -
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Le travail du dimanche : d'accord avec la synthèse de Lafouine.
Par contre, quand j'étais gamine, je me souviens que celui qui me paraissait le pire du pire c'était le "travail du lundi", car comme l'a dit le grand philosophe : "Le lundi au soleil, c'est une chose qu'on n'aura jamais, chaque fois c'est pareil, c'est quand on est derrière les carreaux, quand on travaille que le ciel est beau, qu'il doit faire beau sur les routes, le lundi au soleeeeil" 
Je sais, ça n'a aucun rapport (pardon!! ) mais du coup bon courage à ceux qui bossent aujourd'hui!
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Le 30/08/2009 à 23h54 (198.165.***.***) |
lafouin@Rocco -
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S"il y a un avantage financier à travailler le dimanche pourquoi pas, comme ça on pourra peut être bientôt rejoindre les 3000 comptes de "citoyens"(?)français en Suisse ayant frauder et dont notre gouvernement détient les coordonnées mais ne veut pas traumatiser en leur imposant un bon contrôle fiscal en règle. C'est vrai que perso ça fait deux ans que je dépasse les délais et paye plein pot le retard, c'est de ma faute ok, mais ça me fait marrer quand je lis des telles mesures de clémence. Un autre exemple, restant à Saint Pierre et miquelon une bonne partie de l'année et ayant ma résidence fiscale en France je paye dès le premier mois de salaire 7 ou 10% net d'impôt sur chaque salaire , monsieur le Préfet lui vivant à l'année(depuis plusieurs années) vient de refuser de payer ses impôts localement prétextant qu'il était en mission , et bien 0 euros d'ennui pour le monsieur, tant mieux pour lui mais où est l'égalité et l'exemple?
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Le 30/08/2009 à 23h24 (88.166.**.**) |
rocco -
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J'essaie d'imaginer une société où le libéralisme règnerait en toute puissance.[ATTENTION MODE SECOND DEGRE ON]
Plus de Code du Travail, plus de Sécu, plus de 35 heures (il n'y aurait plus de plafond pour limiter le nombre d'heures non plus), plus d'heures sup payées (elles seraient obligatoires et non rémunérées), plus de SMIC, les CP réduits à 2 semaines par an, l'âge de la retraite repoussée à 70 ans (et oui, on vit plus longtemps alors profitons-en pour bosser), plus de Polemploi mais des cabinets de reclassement privés qui seraient chargés de te trouver n'importe quel job mais un job!, [MODE SECOND DEGRE OF] Il faut savoir que commencer à légiférer sur le travail du dimanche, c'est mettre un doigt dans un engrenage qui desservira plus les intérêts de ceux qui bossent que l'inverse.
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Le 30/08/2009 à 22h42 (82.244.**.**) |
Eric@rocco -
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Heureusement qu'il existe, le code du travail ! Il est avant tout là pour éviter les dérives ( elles sont encore nombreuses...) et protéger les salariés .
Dire le contraire est de l'insconcience.
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Le 30/08/2009 à 21h05 (82.244.**.**) |
Eric -
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Ne pas faire de généralité sur simplement un emploi à la Fnac ou Conforama !
Je rejoins lafouine dans ce qu'il a écrit .
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Le 30/08/2009 à 20h59 (198.165.***.***) |
lafouine@Lionel -
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Quel plaisir de te voir réapparaître!
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Le 30/08/2009 à 19h57 (198.165.***.***) |
lafouine@Nebo -
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Entièrement d'accord avec toi Nebo pour la liberté de tavailler les jours que l'on veut. Je bosse régulièrement les dimanches et jours fériès c'est un choix de vie comme tu le dis . Maintenant les arguments de Nyto sont également à prendre en compte: Que restera -t- il de la vie familiale mis à part le week end où toute la famille peut enfin se réunir? (Pour aller chez IKEA ou partir faire du vélo avec les gamins) Tu parles de travail volontaire, mais le personnel d'une société qui va se mettre à travailler le dimanche aura-t-il vraiment le choix? La peur d'être sanctionné ne l'obligera-t-il pas à accepter ? Ne crois tu pas que certaines boites peu scrupuleuses (si si ça peut exister) vont mettre "la pression" sur leur personnel (autant que certains syndicalistes peuvent te la mettre dans l'autre sens,et que je condamne tout autant? Par ailleurs, je ne pense pas que stigmatiser les fonctionnaires ne soit plus subtile que décrier tout les patrons. Je crois qu'il y a dans chaque catégorie citée du bon et du moins bon. Le travail le dimanche oui si la liberté de choisir est bien réèlle.
PS Si Louis ne vend plus que deux disques et demi c'est qu'Al qaida aura réussit à décimer tout les gnacs du forum.
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