Bertignac: "Carla Bruni aimerait être la femme la plus connue au monde"
Le 25/09/2009 à 15h23 (91.168.***.***)
p'titloup@tous -
Salut a tous Allez voir ce site "http://www.bankster.tv" ,pour ma part je ne fais plus confiance a mon banquier a+
Le 25/09/2009 à 13h31 (213.151.***.***)
(suite) -
il n'en est pour exemple que tout ce qu'on peut lire depuis quelques temps sur le 11/09/2001 ... grâce à la toile, (et au début de "déclassification" opérée par les administrations d'Obama)
Le 25/09/2009 à 13h14 (213.151.***.***)
- Fox @ Mr X - (et sa calculette)
"Le droit moral est perpétuel, inaliénable et imprescriptible, ce qui signifie qu’il ne peut être cédé, que l’auteur ne peut y renoncer et qu’il subsiste et doit être respecté même lorsque l’œuvre est tombée dans le domaine public" (autrement dit : il convient de citer l'auteur et de ne pas modifier l'oeuvre).
"Par ailleurs, les pratiques de délivrance de brevets sur des logiciels divergent tant entre les Etats membres qu’au niveau international entre l’Europe et les Etats-Unis ou encore le Japon. En effet, ces deux derniers Etats reconnaissent largement le caractère brevetable des logiciels. C’est ainsi que nombre de brevets sont délivrés aux Etats-Unis sur des programmes d’ordinateur voire même, sur des méthodes commerciales qui font également l’objet d’une exclusion de brevetabilité en Europe."
"On rappellera qu'un logiciel tombe dans le domaine public lorsque la durée légale de sa protection (70 ans à compter de la publication du logiciel) a expiré ou encore parce que son auteur a volontairement abandonné ses droits d'exploitation"
Donc, si on considère que ce sont des brevets made in USA : c'est en D.P.
Anyway ... La traduction française est elle-même protégée, et utilisable selon le bon vouloir des ayants-droits ! (Qui ne coupent pas "la branche" sur laquelle il jouent le "phénix de ces bois" ... puisque de toute façon plus personne ne lit Bernays (... depuis que, au final, Goebbels, sa femme et ses 6 enfants se sont empoisonnés pendant qu'Adolf se faisait sauter le caisson dans leur bunker-colonie de vacances), tellement ces techniques ne dupent plus personne ... Plus personne ne s'y interresse (à quoi bon vouloir manipuler autrui, en démocratie ?). C'est une curiosité obsolette, vaguement encouragée par internet ... Des fois que des passéistes referaient surface. L'enfumage semblant revenir à la mode ...
(Et puis il faut rendre au furher ce qui appartient au furheur et aux fumeuses ce qui leur appartient)
Le 25/09/2009 à 11h21 (82.126.***.***)
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''TAIN... c'est bien 103... Moi et les chiffres, ça fait deux...
Le 25/09/2009 à 11h18 (82.126.***.***)
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104 bien sûr (savent pas compter sur Wiki - et moi, j'ai pas vérifié tout de suite)...
Le 25/09/2009 à 11h12 (82.126.***.***)
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Non, absolument faux sur un point : les oeuvres d'Edward Bernays (1891-1995 soit 103 ans !!) ne sont pas libres de droits, pour la bonne et simple raison que les droits d'auteur subsistent 70 ans APRES LA MORT de l'auteur. Ce n'est pas la date de rédaction ou de publication qui fait foi. Il faudra donc attendre 2065 pour que son oeuvre tombe dans le domaine public.
Par contre, absolument vrai sur l'autre point : un éditeur qui choisit de publier un bouquin sur le net (et qui se coupe donc lui-même l'herbe sous les pieds en réduisant les ventes potentielles réalisables en librairie) sait ce qu'il fait et pourquoi. Il n'y a, à première vue, rien d'illégal là-dedans. Il est certainement assez rare qu'un EDITEUR, qui encourt des peines autrement plus sévères qu'un internaute lambda, ne soit pas en possession des droits des oeuvres (écrits, musique, vidéo) qu'il publie, peu importe le support, même si c'est la toile au lieu du papier.
Le 24/09/2009 à 18h50 (213.151.***.***)
- fox @ ivanovitch -
1/ ce n'est pas mon site (ni aucun de ceux que je squatte) 2/je crois que tu dis n'importe quoi : cet éditeur sait ce qu'il fait (le livre de Bernays date de 1928 ça doit être dans le domaine public (à plus d'un titre). De toute façon c'est lui qui l'a fait traduire. 3/ y'a pas de compet' : on peut très bien lire les 2
Le 24/09/2009 à 12h20 (194.206.***.*)
IVANOV -
Le Bernays achetez le, car lui au moins on le trouve dans le commerce,alors que le Robin non, et puis le Robin c'est Robin qui l'offre lui-même.Le site de Fox est hors la loi.
merci Nebo de nous déniaiser.je l'ai déja dit,je le redis encore,tes liens, tes commentaires ils font du bien à la tête au milieu des convictions à la petite semaine. Mec,tu fais mouche. Merci d'être là.Merci pour ce "livre gratuit" que les coeurs à gauche devraient lire s'ils en ont le courage.J'ai fouillé concernant ROBIN et je suis loin d'être d'acco d'ac avec le personnage, mais tout de même, dans son texte il fait très mal.Je trouve.je suis pas quelqu'un qu'a beaucoup de culture mais je sens bien,le temps passant,que y'a quelque chose qui tourne pas rond dans ce pays, avec la gauche, avec l'islam, avec la mondialisation, avec les NATIONS et depuis 4 ou 5 ans je suis en train de changer mon fusil d'épaule.Tu y as beaucoup contribué. Je dois dire que ça libère. MERCI.
http://www.scribd.com/doc/19789164/La-nouvelle-extreme-droite-par-Jean-Robin" style="margin: 12px auto 6px auto; font-family: Helvetica,Arial,Sans-serif; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: normal; font-size: 14px; line-height: normal; font-size-adjust: none; font-stretch: normal; -x-system-font: none; display: block; text-decoration: underline;">La nouvelle extrême droite par Jean Robin
Le 22/09/2009 à 16h51 (213.151.***.***)
corr. -
à crédit sur le même modèle
Le 22/09/2009 à 16h49 (213.151.***.***)
(suite) -
L'autre chose que je trouve réfutable c'est toute la chronologie exposée. L'Orient ne vaut guère mieux que l'Occident (la Chine ne va pas tarder à vivre à crédit sur , et c'est déjà le cas de l'Afrique ...) Ce n'est pas une civilisation qui décline plus qu'une autre, mais l'extraction des valeurs, la dématérialisation du monde qui indique un cap que personne ne veut passer sérieusement ... C'est la DECULTURATION qui conduit l'humanité à sa perte. Or celle-ci a bien compris la mondialisation, mais s'est trompée dans l'ordre des wagons (sachant que la loco, c'est la culture : c-à-d la synthèse des Connaissances) - "l'intendance suivra" comme disait De Gaule). Elle a mis l'économie, avant l'écologie, et cette dernière avant les Arts (& les Sciences appliqués). Du coup, c'est tout à refaire ! => débuguer la routine.
Le 22/09/2009 à 15h59 (213.151.***.***)
- Fox @ Onfray -
Enfin un philosophe qui parle du canapé!
Comme il a été répondu, chez les intégristes aussi il y a un ressort du à la misère (une motivation de sortir du chômage, comme chez les bidasses d'en face).
Mais là où une nuance s'impose c'est que la sacralisation n'implique pas nécessairement de "mourir" pour quelque chose qui nous dépasse (et non pas au sens où l'on n'y pige quedal ... mais que l'on porte en haute-estime) ; mais plutôt de se "sacrifier" pour cette objet (cette idée, cette cause etc.) (Par exemple les gens qui vont s'inscrire au RSA l'illustrent parfaitement : ils s'immolent sur l'hôtel de la croissance, du pouvoir d'achât, du profit inversement proportionnel à l'épanouissement environnant, de la captation financière astronomique induite par la déconfiture (même minime) de beaucoup d'autres, etc. J'arrête là, vous connaissez la musique ...)
Le 22/09/2009 à 14h30 (213.151.***.***)
- fox @ ed -
merci pour tes encouragements (ça y est t'as fini le ramadan ?)
(c'est pour la rime ...)
Le 21/09/2009 à 23h01 (87.231.***.***)
Lionel -
À chaque rentrée, la revue d'histoire, de politique et de société Le Débat, animée par Marcel Gauchet, analyse l'état du paysage politique français et de son contexte européen ou mondial et c'est toujours très pertinent, finement analysé et étoffé (5 articles sur 62 pages cette fois-ci). Le coeur de ce dossier annuel est un débat à deux ; jusqu'à l'année dernière, il réunissait Gauchet et Alain Rémond, observateur éminent et brillant de 50 ans de politique française ; ce dernier nous a malheureusement quitté l'année dernière, mais il a été remplacé par quelqu'un qui lui ressemble assez et est tout aussi compétent comme observateur de la vie politique française, Alain Duhamel.
Je vous propose un résumé de la première moitié de leur dialogue, qui me paraît pouvoir édifier les lecteurs du Bleu.
Retombées politiques de la crise Alain Duhamel, Marcel Gauchet : un échange
[in « Le Débat » no.156, septembre-octobre 2009]
Le Débat : À la différence des années précédentes où l’on faisait le bilan de l’année politique tant de la gauche que de la droite, il faut partir cette fois des résultats des élections européennes parce qu’elles rendent manifestes les grandes tendances à la fois françaises et européennes, en premier lieu la montée de l’écologie. De ce fait, elles dessinent à l’échelle européenne l’esquisse d’un nouveau paysage politique qui s’est reflété en France de façon particulière, notamment à travers le brouillage de la frontière traditionnelle entre la droite et la gauche. Comment voyez-vous, Alain Duhamel et Marcel Gauchet, se dessiner ce nouveau paysage ?
Alain Duhamel : Si l’on part des élections européennes, on constate qu’il y a quatre grandes tendances qui apparaissent. la première, c’est la confirmation et même l’accentuation du décrochage des catégories populaires par rapport à l’idée européenne. […] La deuxième, c’est que les gouvernements de droite apparaissent globalement comme bénéficiaires de la crise économique. [...] On pouvait imaginer [qu'ils] feraient l'objet d'une sanction électorale ; or, c'est le contraire qui s'est produit. [...] La troisième caractéristique, c’est la défaite spectaculaire des sociaux-démocrates qui oblige à se demander si, derrière cette défaite des partis socialistes, il y a, oui ou non, un épuisement du modèle social-démocrate. [...] Et enfin, quatrième grande tendance, une certaine rétraction des partis souvenrainistes et de l'extrême-droite.
Marcel Gauchet : Le tableau que vient de dresser Alain Duhamel me semble tout à fait convaincant. [...] La crise ne profite pas aux extrêmes, en tout cas pas de façon significative. [...] [Par ailleurs,] la gauche sociale-démocrate est partout sur la défensive. Somme toute, ce sont les gouvernements et les partis de la droite libérale qui se sortent avec les honneurs d’une épreuve qui aurait dû leur être fortement défavorable. Tout cela est un peu mystérieux. [...] [Mais] ce paradoxe apparent – une droite tirant avantage d’un contexte en principe favorable à la gauche – en est-il vraiment un ?
Il faut d’abord observer que les gouvernements de la droite libérale en Europe sont des libéraux, certes, mais tempérés. Ils ne sont pas vraiment associés à des politiques libérales radicales. Ce sont les travaillistes anglais qui apparaissent comme le parti le plus lié aux intérêts financiers de la City et aux politiques de dérégulation. Sur le continent, la droite est d’orientation libérale, dans l’ensemble, mais d’une manière prudente et sur un mode qui la distingue sensiblement du pur libéralisme tel que l’ont incarné les révolutions thatchériennes et reaganienne. [...] Au demeurant, la conduite de cette droite européenne continentale face à la crise n’a pas été du tout libérale, ce qui a achevé de montrer qu’elle est peu idéologique. Elle est fondamentalement pragmatique.
Devant l’urgence, elle a mené des politiques interventionnistes sans états d’âme. Cela suffit à expliquer en bonne partie le patinage électoral de la social-démocratie. Si cette dernière avait eu en face d’elle des libéraux purs et durs, persévérant dans le laisser-faire, elle aurait pu se présenter comme la championne d’une intervention massive des pouvoirs publics. Mais l’intervention étant déjà là, que pouvait-il lui rester ? [...] Qui, dans cette crise, a tenu le discours le plus classiquement social-démocrate, sinon le président Sarkozy, pour prendre un exemple bien de chez nous ? Il a été plus loin sur ce terrain que le socialiste Zapatero, en réaffirmant avec vigueur la nécessite de rééquilibrer les mécanismes du marché par la régulation et la protection sociale. Cette attitude a privé la gauche sociale-démocrate d’espace politique.
Mais dans l’autre sens, ce que la crise a fait apparaître, c’est à quel point la social-démocratie européenne a été pénétrée par le discours libéral depuis les années 1990, à quel point elle s’est ralliée au modèle de la dérégulation libérale, en le corrigeant, il est vrai, par une forte nuance de « cohésion sociale », c’est-à-dire de protection contre les conséquences de la dérégulation. Mais ce correctif s’inscrit à l’intérieur d’un mode général de fonctionnement social qu’elle a silencieusement accepté. C’est ce qu’elle est en train de payer. [...]
Alain Duhamel : [...] [Oui,] les sociaux-démocrates sont sanctionnés aujourd’hui pour s’être convertis à des pans du libéralisme, en simplifiant : à l’économie de marché. Et ils se sont trouvés aujourd’hui presque nus idéologiquement dans la mesure où la réaction des gouvernements libéraux dans la crise, produit typique des politiques trop libérales, a été de reprendre en main tous les instruments sociaux-démocrates les plus classiques, depuis les nationalisations de banques jusqu’au financement des branches industrielles entières. […] Bref, les sociaux-démocrates paient, dans un premier temps, un ralliement idéologique au libéralisme, un ralliement honteux parce qu’il n’a jamais été assumé, en tout cas en France, et dans un deuxième temps, la stratégie pragmatique qui est aussi une stratégie du coucou, menée par des gouvernements libéraux conservateurs, qui n’ont pas hésite un instant, dieu merci, devant l’intensité de la crise, à reprendre les instruments les plus classiques utilisés par les sociaux-démocrates dans toute l’histoire depuis que la social-démocratie existe.
Le résultat de tout cela, c’est que les sociaux-démocrates se trouvent aujourd’hui sans un modèle alternatif à proposer. Si bien que la social-démocratie n’est plus une catégorie permettant de définir soit des parts électorales, soit des types de gouvernement. Elle a été vampirisée largement depuis la crise par la droite, et elle a été abandonnée largement au préalable par la gauche. […]
Marcel Gauchet : [En effet,] le socialisme démocratique européenne est vicitme de son succès. Les recettes sociales-démocrates sont entrées dans les mœurs, elles font désormais partie de l’identité européenne.
La force de la gauche, depuis qu’elle existe, depuis la Révolution française, pour faire simple, tenait à son identité de parti du mouvement. Elle avait le monopole de l’histoire ; elle disait ce qu’allait être l’avenir, avec le sentiment de sécurité que donnait la conviction que tôt ou tard, quels que soient les obstacles à vaincre, les choses allaient basculer dans le bon sens. Nous ne sommes plus du tout dans une telle situation. Cette matrice futuriste ne joue plus. Premièrement, parce qu’il n’y a plus de parti du passé, et secondairement, parce qu’il n’y a plus d’avenir radicalement différent à l’horizon.
L’Ancien n’a plus de défenseurs. Il n’y a plus de parti de l’Ordre avec un grand O, ordre moral, ordre social, ordre hérité. Les partis dits conservateurs, qui sont conservateurs sur le plan du maintien de l'état des choses existant, des privilèges des catégories avantagées, le sont au nom de l'efficacité. Ce sont en même temps des partis du mouvement qui n’ont que le mot de réforme à la bouche et qui, s’agissant des libertés personnelles, n’ont plus rien de réactionnaires.
Ce n’est pas tout. Non seulement la gauche n’a plus en face d’elle son adversaire traditionnel, mais la question de son identité profonde est posée. Son idée propre était qu’une organisation sociale essentiellement différente de l’organisation actuelle était possible, probable, voire certaine. C’était son patrimoine commun. Après, on pouvait se diviser sur la manière de l’établir. Ce ressort s’est évanoui. On ne souligne pas assez à cet égard que la gauche réformiste paie très cher à son tour la disparition de la perspective de la révolution, c'est-à-dire d'une transformation sociale radicale. Certes, la social-démocratie classique repoussait les moyens violents de parvenir à cette transformation radicale. Il n’empêche qu’elle se situait dans cet horizon, à ceci près qu’elle voulait y arriver par une voie graduelle. Elle vivait de la conviction qu’il existant une alternative au capitalisme. C’est ce qu’elle partageait avec les partis révolutionnaires. Ces derniers ont sombré corps et biens les premiers. Mais l’effacement de l’avenir révolutionnaire a été aussi, à la longue, un choc culturel terrible, y compris pour la gauche la plus réformiste et la plus prudente.
Elle y a perdu sa promesse majeure, celle de maîtriser le cours de l’histoire pour la conduire à sa destination. Elle n’a plus les moyens de se présenter comme porteuse de l’explication du capitalisme et du secret de son dépassement. Elle n’est plus qu’une force d’opposition et de correction à l’intérieur d’un monde dont le pilotage lui échappe. C’est une rétrogradation symbolique considérable. Pour peu que la droite soit à peu près intelligente et ouverte, elle n’a pas de peine à lui couper l’herbe sous le pied avec un peu de générosité sociale. Tel est le phénomène fondamental qui me semble définir la conjoncture général en Europe. La situation de la gauche française est, de ce point de vue, sans spécificité. […]
La deuxième partie de leur échange, consacrée au "bonapartisme" de Sarkozy, est tout aussi intéressante. Je vous la proposerai peut-être prochainement.
Salut mon poto, bon courage, j'espère que le p'tit Théo va se remettre sur pattes aussi rapidement que ma petite louloute. Ici y'a eu disons 2 jours chauds (dont 1 très chaud) et après ça a commencé à aller beaucoup mieux... Bien prendre les medocs contre la fièvre, l'hydrater, et le cajoler. Elle a dormi avec nous pendant 3 jours au moins, et on n'a rien chopé Enfin, faut dire qu'on se gavait de gelée royale et de vitamine C Allez, aux p'tits soins, des bises chez toi
Le 21/09/2009 à 17h39 (198.165.**.***)
lafouine@Nyto et Larsen -
Bon rétablissement à vos bout'choux.
Le 21/09/2009 à 17h23 (198.165.**.***)
lafouine -
Ce qui serait une incitation à conserver l'emploi.
Le 21/09/2009 à 17h11 (198.165.**.***)
lafouine@Ed -
je me suis mal exprimé: baisse de l'impôt sur les sociétés par rapport aux nouvelles embauches.
Le 21/09/2009 à 16h40 (90.2.***.**)
Ed@ n'importe quoi.. -
"Pourquoi pas indexer les allègements de charges par rapport aux nouveaux embauchés?"
Il se passe quoi à l'heure actuelle?
Exonération totale !!
Relis ( ou lis ) les nouveaux décrets mon coco avant de l'ouvrir, ou bien découvre que la TVA plombe une boite en deux temps trois mouvements puisque tu dois l'a casquer avant de l'encaisser..
Merci Nebo pour ta persévérance, Merci Lee-o pour ta patience, Merci Fox pour ta folie ( parfois ça fait du bien !!), merci Nyto ( pour etre toi) et merci à tout le monde ( ça sonne comme une fin de conçert).
Merde à tous ces cons qui, à coup de phrases bidons et prévues jouissent de leurs mots inadéquates..
C'est pas du Ronsard, c'est du Rimbaud..
Merci Louis, et surtout, embrasse ta fille.
Shana tova aux gens que j'aime.. le contraire est le bienvenue?