Les idéologies ont été inventées pour que celui qui ne pense pas puisse donner son opinion
Le 14/12/2009 à 20h26 (92.151.***.***)
Nebo -
"Peu importe les louanges, il faut tout de même reconnaître la supériorité de la Droite en communication, plus qu'en action. Il est vrai qu'à la tête de celle-ci il y a un vrai "chef", un DRH comme Sarko aime à le dire contrairement à la Gauche qui tourne en rond à grands coups de bataille d'egos à mon grand regret.
La Droite sait faire venir à elle les gens de Gauche en politique mais aussi dans le show-biz et c'est bien ce qui fait sa force. Je ne vous cite pas de noms, les journaux en sont remplis."
Ouais, en attendant, le moindre artiste est, généralement, de Gauche, Anti-Sarko, Alter-mondialiste, Pro-Palestinien, etc... Quant aux gens venant de la Gauche qui sont passés à Droite (artistes ou politiciens) ils sont considérés comme des traîtres par leurs anciens potes et mis au banc, systématiquement, et sans dialogue possible. A un tel point qu'être de droite c'est être porteur de la Peste ou du Choléra. C'est minable, mais cela prouve que la Gauche, depuis le lendemain de la seconde guerre mondiale, a tout mis en oeuvre (et y est largement parvenu) pour remporter (pour très longtemps) la bataille culturel et intellectuel dans les consciences et les cerveaux.
Mais je ne pense pas que rocco ait compris les propos de Lionel, puisqu'il répond à côté de la plaque. Lee-O précise qu'il faudrait, selon lui, prendre les meilleurs éléments de Gauche comme les meilleurs éléments de Droite, afin de tendre vers une synthèse. Il invite à une lecture des choses qui sont dites, ça et là, pour faire émerger des arguments. Rocco répète sa litanie habituelle : la Droite hypnotise et communique avec efficience, la Gauche traîne la jambe. Voilà qui en matière d'arguments fait mouche. Et puis il est énervé que Lionel fasse l'éloge de JC qui, en matière de rédaction et d'argument laisse rocco loin derrière.
Et puis, histoire de bien enfoncer le clou, Lionel (que personne ne pourrait se permettre de taxer de "racisme" ou de "fascisme") ose écrire :
"Et pour le reste, Nebo est peut-être véhément, mais son thème de prédilection, celui du danger de l'Islam pour notre société, qu'il traite depuis plusieurs années de façon de plus en plus pertinente, et qui pouvait paraître obsessionnel et excessif il y a quelques années, s'impose bien sur le devant de la scène politique française comme de celle des autres pays européens. Et pour moi, comme pour d'autres, il est certain qu'on en est arrivé à un point où c'est "Ya Bastà". Donc les initiatives comme celles de "Riposte Laïque" me paraissent opportunes et il est heureux que de plus en plus de voix s'élèvent pour affirmer, contre le politiquement correct et l'indifférenciation de toutes les valeurs, que notre République est fondée sur certaines valeurs et pas sur d'autres."
Merci Lee-O pour ces mots plein de bon sens qui résument l'essentiel.
Et merci JC pour cet article sur Finky, avec entre autre ces mots :
"Il ne se reconnaît plus dans la gauche depuis qu’elle a rompu avec une certaine exigence. C’est-à-dire la transmission de la culture, l’école, la beauté de la langue française. On le dit Cassandre des temps modernes et conservateur à tous crins. On le caricature à gros traits mais il force aussi le trait. "J’aime m’amuser mais je perds mon sens de l’humour quand on me traite de raciste. Je me sens écrasé par l’esprit de sérieux d’une société allergique à la critique. Mon image préempte toutes mes interventions. Les preuves que je peux apporter de ma fantaisie sont balayées par mes réticences vis-à-vis de l’époque. Je n’aime pas mon temps donc je pleure tout le temps. ça ne marche pas comme ça. La gravité n’est pas incompatible avec la gaieté. Mon époque, qui ne me trouve pas drôle, ne sait pas à quel point je la trouve drôle. Quand je constate la dévotion planétaire provoquée par la mort de Michael Jackson, je pleure et je ris. Mais, là encore, on va dire : qu’est-ce qu’il est pénible!" "
Le 14/12/2009 à 19h40 (79.85.***.***)
jc -
Lionel fait un peu penser aux dieux dans les tragédies grecques, qui n'interviennent dans les destins humains qu'avec parcimonie, mais aux moments clé . Salut à toi, et à très bientot autour des Taylor, Gibson, Fender et autre Jacobacci . Et, en hommage à la dernière fois, histoire de rigoler un peu.... !!
Le philosophe sort d'une année de silence avec un livre sur l'importance de la littérature dans la compréhension du monde. A nouveau prêt à batailler pour ses idées.
C’est un fait. On ne le changera pas. Les uns vont s’en féliciter, les autres vont s’en désoler. Mais même lui, connu pour son goût de la contradiction, en convient. "Dans le doute, il faut choisir d’être fidèle." (Bloc-notes, François Mauriac). Alain Finkielkraut restera donc fidèle à sa ligne de conduite (mains dans le chaos) malgré la déflagration due à ses prises de position sur les banlieues françaises dans le journal israélien Haaretz fin 2005. Une situation absurde. Des propos à connotation raciste tenus par quelqu’un incapable de racisme. Ceci expliquant sans doute cela : ça ne pouvait pas, dans sa tête, lui arriver à lui.
Alain Finkielkraut est tombé malade en septembre 2008. Un lymphome. Ce fut grave et long. "J’ai cessé d’être innocent pour basculer dans le cauchemar. Je suis aujourd’hui sorti du tunnel. Qu’est-ce qui fait qu’on tombe malade ? Je peux tisser un lien, après trois années d’exposition maximale, entre le stress et la maladie. Je devrais tirer une sagesse de cette expérience. Etre moins actif, plus prudent. J’en suis incapable. Je ronge actuellement mon frein. Je ne veux pas que l’intellectuel que je suis, nuise à l’écrivain que j’essaie d’être."
"La philosophie n'est pas seule à penser, il y a des romans qui restent toujours ouverts"
L’écrivain est bel et bien là, dans l’efflorescence et l’effervescence des grands auteurs, pour dire et redire la nécessité de lire les chefs-d’œuvre. Alain Finkielkraut redonne dans Un cœur intelligent, une expression empruntée à Hannah Arendt, ses pleins pouvoirs à la littérature. "On a besoin du détour de la littérature pour comprendre ce que l’on vit. A aucun moment je ne me suis dit que lire ne servait à rien. Quand j’étais malade, j’ai lu ton sur ton, avec Face aux ténèbres de William Styron." Alain Finkielkraut a choisi neuf textes majeurs, des Carnets du sous-sol de Fédor Dostoïevski au Festin de Babette de Karen Blixen, pour éclairer les rapports de l’homme et de l’univers. "La philosophie n’est pas seule à penser. Il y a des romans qu’on ne ferme jamais, ils restent toujours ouverts. Qu’est-ce qui fait un grand livre? On ne peut pas répondre, parce que la grandeur, c’est le miracle, et le miracle, c’est l’inattendu. Autant je suis pessimiste sur la marche du monde, autant je me garderais bien d’une quelconque prédiction sur l’avenir de la littérature."
Tous ses thèmes y sont. On retiendra des passages forts sur l’Allemagne hitlérienne décrite comme une nation élastique et non rigide (Histoire d’un Allemand, Sebastian Haffner) ; sur les masses évoluant dans l’éternel présent et virant avec souplesse selon le cours des événements (Tout passe, Vassili Grossman) ; sur le père d’Albert Camus soufflant devant un acte de barbarie "un homme ça s’empêche" (Le Premier Homme, Albert Camus). On retrouvera la défense, propre à Alain Finkielkraut, de la singularité et de la pudeur, de la subtilité et de la réserve dans une écriture sculptée dans un lyrisme froid. "Il y a une littérature simplificatrice, binaire, mélodramatique. Mais ce qui fonde ontologiquement la vraie littérature, c’est le rejet de la pensée massive. La bonne littérature est sans cesse en débat avec la mauvaise. A laquelle des deux allons-nous soumettre notre destin?"
Alain Finkielkraut, fils de rescapés de la Shoah, est né à Paris. "J’ai eu une enfance protégée avec ce que cela comporte de chance et d’ennui mais l’ennui peut être une chance." Une mère omniprésente ("J’ai répondu à l’injonction maternelle : j’ai été un bon élève") et un père présent ("J’ai hérité de son allergie au pathos"). Alain Finkielkraut fait de brillantes études. Henri-IV, Normale, agrégation. Le grand combat de sa vie est en faveur d’une école digne de ce nom. "Ce qui était du domaine de l’engagement est maintenant du domaine du témoignage. L’école est un combat perdu parce qu’on est dans le déni. On dit que le niveau monte alors qu’il n’y a plus de niveau du tout." Le Nouveau Désordre amoureux (avec Pascal Bruckner, 1977) et La Défaite de la pensée (1987) le rendent célèbre. Il ne cessera de creuser ses thèses (la défense de l’école républicaine, le constat du nivellement de la culture, la critique du "droit-de-l’hommisme") et de susciter des polémiques (engagement en faveur de la Croatie, défense de l’œuvre de Martin Heidegger, soutien à Renaud Camus).
Il a été malade pendant un an. "Je devrais tirer une sagesse de cette expérience. Etre moins actif, plus prudent. J'en suis incapable"
Il ne se reconnaît plus dans la gauche depuis qu’elle a rompu avec une certaine exigence. C’est-à-dire la transmission de la culture, l’école, la beauté de la langue française. On le dit Cassandre des temps modernes et conservateur à tous crins. On le caricature à gros traits mais il force aussi le trait. "J’aime m’amuser mais je perds mon sens de l’humour quand on me traite de raciste. Je me sens écrasé par l’esprit de sérieux d’une société allergique à la critique. Mon image préempte toutes mes interventions. Les preuves que je peux apporter de ma fantaisie sont balayées par mes réticences vis-à-vis de l’époque. Je n’aime pas mon temps donc je pleure tout le temps. ça ne marche pas comme ça. La gravité n’est pas incompatible avec la gaieté. Mon époque, qui ne me trouve pas drôle, ne sait pas à quel point je la trouve drôle. Quand je constate la dévotion planétaire provoquée par la mort de Michael Jackson, je pleure et je ris. Mais, là encore, on va dire : qu’est-ce qu’il est pénible!"
Le philosophe fait, au cours des années 1980, deux rencontres marquantes. Milan Kundera et Philip Roth. Il leur consacre, dans Un cœur intelligent, des pages où il donne toute sa mesure. Il loue leur drôlerie. "Je suis sensible à l’humour de Kundera, Roth, Cioran. Mais il y a aujourd’hui un retour au rire barbare proche de celui de l’homme qui lynche. On devrait pourtant être guéri de ce rire-là depuis la Seconde Guerre mondiale. On nous dit que les bouffons défient les rois alors qu’ils sont devenus les rois. Ils ont l’opinion pour eux. On est dans l’imposture. Les tenants du pouvoir social (fort) se présentent comme des résistants au pouvoir politique (faible)." Quand Alain Finkielkraut pointe les attaques sur le physique des hommes politiques ou la présence du couturier Christian Audigier au 20 Heures de France 2, il a cette expression: "ça fait époque."
Le personnage d’Exit le fantôme de Philip Roth se retire à la campagne, en compagnie des chefs-d’œuvre de la littérature, pour vaincre "la tyrannie de son caractère passionné". Mais Alain Finkielkraut avoue ne pas avoir envie de couper les ponts avec la société actuelle. "Ma pensée avance par chocs successifs. J’ai besoin de la confrontation pour réfléchir. La liberté d’expression, c’est la possibilité qui m’est offerte d’entendre la réfutation de ma propre pensée." On ne sait jamais si Alain Finkielkraut va trop vite ou trop loin ou trop juste quand tout s’emballe à son détriment. ça dépend des fois. Il est éruption et érudition, immédiateté et continuité. Imprudence perpétuelle, absence de cynisme, omniprésence médiatique, courage intellectuel, nerfs à découvert. Voix essentielle parce que voix détonante et discordante. Il aime prendre le pouls des autres pour entendre battre son propre cœur. Il continuera à être dans les pulsations du monde.
Article du Journal du Dimanche
Le 14/12/2009 à 19h24 (88.166.**.**)
rocco -
Peu importe les louanges, il faut tout de même reconnaître la supériorité de la Droite en communication, plus qu'en action. Il est vrai qu'à la tête de celle-ci il y a un vrai "chef", un DRH comme Sarko aime à le dire contrairement à la Gauche qui tourne en rond à grands coups de bataille d'egos à mon grand regret.
La Droite sait faire venir à elle les gens de Gauche en politique mais aussi dans le show-biz et c'est bien ce qui fait sa force. Je ne vous cite pas de noms, les journaux en sont remplis.
Le 14/12/2009 à 15h28 (92.151.***.***)
Nebo -
Thanx Lee-O pour mes soulignements mal léchés comme pour tout ce que tu dis, une fois de plus.
Le 14/12/2009 à 13h20 (87.231.***.**)
Lionel + Lee-O - [à la "I and I" jamaïcain cher à Fox !]
Voilà, cher Nebo, problème de soulignement intempestif résolu. D'ailleurs j'y ai procédé avant même de lire ta demande, juste pour pouvoir lire de façon confortable cette intéressante contribution.
Comme le supputait Ivanovitch, je ne lis plus le Bleu quand ça plane trop au ras des pâquerettes, mais je continue de vous lire quand le débat est réel et intéressant. Ces derniers temps, c'est notamment le cas quand JC vient faire écho à Nebo -- merci les gars --, avec sa pensée de mieux en mieux charpentée, vivante et souvent incisive, certainement plus enrichissante que celle de certain paresseux ayant "bientôt le double" de son âge.
Rocco, j'ai espéré pendant quelque temps que tu allais te sortir du rôle primaire de "contre-propagandiste" au vocabulaire de 300 mots que tu t'étais donné, certaines de tes contribs semblaient indiquer qu'il allait peut-être y avoir les conditions d'un vrai débat, notamment avec Nebo. Malheureusement pour le Bleu, je constate que ce n'est pas le cas.
Comme je le rappelle de temps en temps, il y a eu coup sur coup il y a 4-5 ans, à l'époque du référendum sur le Traité européen, 2 grandes enquêtes très similaires dans "Télérama" et le "Nouvel Obs" consacrées à la grande question, très angoissante pour beaucoup, "Qu'est-ce que c'est qu'être de gauche ?". Après moult sondages, interviews, analyses, commentaires, la réponse qui s'était dégagée assez clairement, et à l'identique dans les 2 magazines, ce qui en renforce la crédibilité, c'était (malheureusement) : "Être de gauche, c'est résister, s'opposer".
Alors que la gauche a été pendant 200 ans souvent synonyme de progrès, d'idées nouvelles, de libres débats, voilà l'état pitoyable dans lequel ceux qui ne savent se dire que "de gauche" ont amené ce camp républicain : plus une idée actuelle forte, plus un argument convaincant ou presque, juste une obsession d'opposition frontale, dont on pourrait dire en forçant le trait pour frapper l'esprit qu'elle est à la portée de tout animal un peu élevé dans l'échelle du Règne (du Règne animal).
Rocco, tes propos ne sont pas inaudibles mais ils sont pauvres (tu nous en ferais regretter Denis, qui tenait à peu près le même rôle, mais qui mouillait la chemise pour pondre des contribs plus argumentées) et tu sers au moins à quelque chose ici : attester, rendre bien visible qu'en effet, il y a un problème d'idées dans le camp de la gauche autoproclamée et il y a une pratique qui se cantonne désormais à l'opposition frontale et tourne en rond. (Regarde, par exemple, quand tu fais valoir qu'il y a lieu de remonter à la colonisation de l'Algérie pour analyser les problèmes d'aujourd'hui posés par une partie des Français d'origine maghrébine, ça me paraît un argument justifié, et j'y ajouterai même la façon humiliante dont ont été traités les immigrés des années 60, mais tu ne développes rien de tout ça, ce qui pourrait être pédagogique. Mais non, soucieux de "rentabilité", sans doute, tu calcules l'investissement minimal en mots pour l'effet censément maximal de contestation. Tu es pingre là où Nebo, quoi qu'on puisse penser de ses positions est généreux.)
De mon côté, on le sait, je fais valoir que l'époque appelle la fusion des meilleures valeurs de droite et de gauche, et que c'est d'ailleurs le mouvement qui est réellement à l'oeuvre dans notre société depuis 1946, avec une Droite qui pioche tout un tas d'idées sociales à gauche et une Gauche qui, pour gouverner, a bien dû piocher tout un tas d'idées économiques à droite. Ceux qui ont la nostalgie des camps bien tranchés font fausse route, on peut le constater aussi bien dans les propos de Rocco que dans les merdoiements en continu du PS en passant par le surplace des organisations d'extrême-gauche.
Et pour le reste, Nebo est peut-être véhément, mais son thème de prédilection, celui du danger de l'Islam pour notre société, qu'il traite depuis plusieurs années de façon de plus en plus pertinente, et qui pouvait paraître obsessionnel et excessif il y a quelques années, s'impose bien sur le devant de la scène politique française comme de celle des autres pays européens. Et pour moi, comme pour d'autres, il est certain qu'on en est arrivé à un point où c'est "Ya Bastà". Donc les initiatives comme celles de "Riposte Laïque" me paraissent opportunes et il est heureux que de plus en plus de voix s'élèvent pour affirmer, contre le politiquement correct et l'indifférenciation de toutes les valeurs, que notre République est fondée sur certaines valeurs et pas sur d'autres.
Clin d'oeil ensoleillé à tous et bonne semaine !
Le 14/12/2009 à 09h01 (81.67.***.**)
Val S. -
Oups : Politico J'en perds mon latin !!!
Le 14/12/2009 à 08h58 (81.67.***.**)
Val S. -
Ouahhh je suis subjuguée par l'amour qui règne ici...!!! Je sais, que nous sommes sur le Polico-Social mais grrrrrrrrrrr Qu'est ce que çà envoie !
Le 14/12/2009 à 07h53 (88.166.**.**)
rocco -
Ahhh...Enfin démasqué! C'est la Crasse qui t'a perdu!!! On essaie de brouiller les pistes sans son pseudo et d'un coup son écriture minable reprend le dessus...
Le 13/12/2009 à 23h47 (86.212.**.***)
Nebo -
imperturbable, rocco le crasseux poursuit son trollage plein de crasse.
Le 13/12/2009 à 23h41 (88.166.**.**)
rocco -
mais on a reconnu ton style, rassure-toi ainsi que ton vocabulaire varié et argumenté qui te sied à merveille
Le 13/12/2009 à 23h20 (86.212.**.***)
Rocco Crasseux tente de faire de l'Humour -
Je t'emmerde rocco crasseux pauvre merde. Je ne me suis jamais caché, chacun, fréquentant ce forum, reconnaît mon style d'écriture et en matière d'insulte je ne pourrais pas te donner de leçons. Je t'emmerde 1000 fois, toi et ta famille de pensée aussi crasseuse que toi...
Le 13/12/2009 à 23h06 (88.166.**.**)
rocco -
ahh... On sort de l'anonymat -qui va bien aux insultes-(ou on enlève sa burqa c'est au choix) et on revient à un vocabulaire plus châtié digne d'un Français fier de son pays et de la culture.
Le 13/12/2009 à 22h58 (86.212.**.***)
Nebo à Larsen ou Lee-O ou Louis -
Désolé... j'ai foiré mes souligements... si l'un d'entre vous pouvait me la corriger histoire de rendre la lecture plus facile, ce serait bien... Thank's.
Le 13/12/2009 à 22h29 (86.212.**.***)
Nebo -
Après la mission parlementaire, après la votation suisse, plus rien ne devra être comme avant
La mission parlementaire sur le voile intégral va en finir avec ses auditions. Constituée grâce à l’initiative du député de Vénissieux André Gerin, elle a auditionné, mercredi dernier, notre collaborateur Pascal Hilout, dont l’intervention, qui circule abondamment, a fortement marqué les esprits.
Nul doute que nos parlementaires ont découvert, pour beaucoup d’entre eux, une réalité qu’ils ne connaissaient pas.
Ce samedi, lors d’une réunion publique, à Vénissieux, André Gerin a eu des paroles très fortes, qui ont marqué l’assistance. Il a qualifié le voile intégral de face visible d’un iceberg beaucoup plus profond, affirmant que cette tenue insupportable pour la dignité humaine n’était que l’arbre qui cache une forêt inquiétante.
Il évoqua les émeutes de 2005, qui avaient touché 800 communes. 80 % des agressions des émeutiers visaient des symboles de la République, 300 écoles furent vandalisées ou brûlées. Il accusa les fondamentalistes d’avoir encouragé ces émeutes.
Il rappela que, selon le juge Bruguière, entre 1995 et 2001, 1.100 jeunes vivant en France étaient passé par l’Afghanistan. Il évoqua les attentats de 1995, le rôle de Khaled Kelkal, passé par les mosquées de la région lyonnaise. Il parla du fameux imam Bouziane, expliquant qu’il y en avait 8.000 comme cela en France !
Il affirma que le discours de victimisation était insupportable, osant dire que ce n’est pas parce qu’on est musulman qu’on est victime, en France. Il s’indigna du racisme anti-français qui se développe sur notre territoire, et du côté tabou de cette question. Il fit savoir qu’il souhaitait que la mission qu’il préside – qui n’a pas vocation à proposer un texte de loi – saura convaincre députés et gouvernement de la gravité de la situation, et de la responsabilité de l’Etat, pour prendre toutes les dispositions nécessaires pour réaffirmer les valeurs de la République, contre celles de la charia.
André Gerin finissait son intervention en évoquant l’ampleur du changement de notre pays, depuis 30 ans, et l’islamisation de la vie sociale qui s’installe, y compris dans nos entreprises, comme le témoignage de syndicalistes et de chefs d’entreprise, ce jeudi, l’a confirmé.
http://www.ripostelaique.com/IMG/jpg/venissieux2.jpg"> Vénissieux, samedi, 15 heures. De gauche à droite, Faiza Alami, Pierre Cassen, Michèle Picard, André Gerin, Michèle Vianès, Hubert Sage
A une tribune où siégeaient notre rédacteur en chef Pierre Cassen, Michèle Vianès, présidente de Regards de Femmes, Hubert Sage, président de l’ADLPF de la Vallée du Rhône, Faiza Alami, vice-présidente de Ni Putes Ni Soumises, et Michèle Picard, maire de Vénissieux, chacun sût gré au député de dire, sans tourner autour du pot, ni craindre les foudres du politiquement correct, d’exprimer, avec des mots simples, toute la gravité de la situation. Comme le fit remarquer, lors de son intervention, Pierre Cassen, la mission qu’il préside a suscité beaucoup d’espoir, chez les Français, et il serait catastrophique, pour l’image du politique, que « la montagne accouche d’une souris ».
Si la situation est aussi grave que l’a décrite – avec raison - André Gerin, il faut des remèdes démocratiques qui soient à la hauteur de l’agression que les islamistes infligent à notre pays. Nous proposons à nos lecteurs de nous faire parvenir des idées de lois qu’ils mettraient en place, s’ils étaient les législateurs. Nous sélectionnerons les meilleures, si elles sont applicables et compatibles avec l’esprit républicain, pour les publier. Nous émettons par ailleurs des réserves sérieuses sur la tentation, évoquée par certains députés, de demander aux responsables de l’hypothétique « islam de France » de relayer les conclusions de la mission auprès des musulmans. Comme l’a dit Pierre Cassen ce samedi, comme le réaffirme Chantal Crabère dans une lettre adressée aux députés, la République n’a rien à demander à des ministres du Culte – parmi lesquels les plus réactionnaires venant d’Arabie Saoudite, du Maroc, d’Algérie… – elle doit se contenter d’être ferme, et de se montrer capable de faire respecter ses lois, ce qui n’est plus le cas depuis trente ans dans de nombreux territoires perdus.
La votation des Suisses, la semaine dernière, a constitué un tsunami. Grâce à elle, la parole se libère. Battus dans les urnes, les élites et les commissaires politiques du politiquement correct se déchaînent dans les médias, et sur les plateaux de télévision, crachant toute leur haine sur les électeurs suisses. Ils ne leur pardonnent pas d’avoir osé dire, avec les moyens dont ils disposaient, un bulletin de vote, moyen le plus démocratique qui soit, ce que tout citoyen européen constate : l’offensive islamiste est de plus en plus insupportable, et elle constitue une menace effrayante pour notre civilisation et nos principes démocratiques.
Et pendant ce temps là, en France, comme si de rien n’était, des élus continuent à céder des terrains publics, via les http://fr.wikipedia.org/wiki/Bail_emphytéotique">baux emphytéotiques, pour une bouchée de pain. Il faut interdire les baux emphytéotiques, qui sont du détournement de bien public. Aucun débat ne semble à l’ordre du jour sur la symbolique des minarets. Aucune réflexion sur la pertinence des mosquées : sont-elles de simples lieux de prières, comme les autres ? Favorisent-elles l’intégration ? Grâce à elles, y a-t-il moins de femmes voilées, moins de fillettes voilées, moins de commerces communautaristes, moins de délinquance ? Ce sujet serait-il aussi tabou que le racisme anti-français ?
Et pendant ce temps là, nous avons un ministre de l’Intérieur qui, imitant son ami le Président de la République, renvoie dos-à-dos l’islamisme et l’islamophobie. Nous avons un ancien ministre de Lionel Jospin, Jean-Pierre Chevènement, qui ose dire qu’il préfère, sur la burqa, les recommandations du CFCM qu’une loi ! Et nous avons un autre ancien ministre de l’Intérieur, Daniel Vaillant, qui explique que les prières musulmanes dans les rues de Barbès seront légitimes jusqu’en 2013, date de la construction de la mosquée ! Comment s’étonner, avec de tels ministres de l’Intérieur, que trente ans de gouvernement UMPS ait donné un tel résultat ?
La France est à un carrefour de son histoire. Soit le gouvernement, et le Président de la République, enterrent les travaux de la mission parlementaire, à l’instar du rapport Obin sur l’Education nationale, et l’islamisation-colonisation de notre pays continuera de plus belle, jusqu’à une victoire sans combat, ou une guerre civile, autre issue possible…
Soit, suite à la mission parlementaire, et à la votation suisse, malgré les intimidations du landernau politico-médiatique, elle prend la mesure, à l’instar d’André Gerin et de beaucoup de députés de la mission, de l’ampleur du désastre de ces trente dernières années. Elle se montre enfin capable d’écouter Ayaan Hirsi Ali, ou Bat Ye’Or, dont nous publions une interview exclusive, grâce à Paul Landau.
Elle change alors de cap à 180°, et elle mobilise tout le pays, autour des valeurs de la République. C’est naturellement cette deuxième hypothèse que notre journal soutiendra, tout au long des prochaines semaines. Nous savons que RL est lue par de nombreux députés membres de la mission. Nous comptons sur nos rédacteurs, mais aussi sur nos lecteurs, pour faire des propositions, que nous publierons avec plaisir dans nos prochains numéros. Peut-on encore sauver la République face à l’islamisation de notre pays, peut-on encore sauver la laïcité, face au cancer communautariste ? Qui imposera sa loi, la République, ou la charia ? Y a-t-il encore un pilote dans l’avion laïque et républicain ?
Certains collabos, dont de nombreuses élites de droite comme de gauche, ont choisi la charia.
Certains collabos, dont de nombreuses élites de droite comme de gauche, ont choisi la charia.... Nous en avons un très beau spécimen dans le coin... suivez mon regard...
Le 13/12/2009 à 21h56 (86.212.**.***)
Pour Rocco Crasseux -
La romancière d’origine iranienne, Chahdortt Djavann, auteur de « Bas les voiles », disait : « Les islamistes ont réussi un tour de passe-passe qui est un véritable exploit : ceux qui critiquent dans la religion ses aspects les plus totalitaires se voient traités, sous le nom d’islamophobes, de racistes et de xénophobes, au même titre que des militants d’extrême droite. Quand les mots perdent leur sens, la déraison triomphe ».
Le 13/12/2009 à 19h29 (86.212.**.***)
Rocco Crasseux, persiste... -
Rocco de son prénom, Crasseux de son nom de famille, persiste dans sa connerie. Normal, comme le renard pris au piège, il préfère se ronger la patte pour avoir l'illusion d'être libre, mais avec une patte en moins il ne tiendra pas très longtemps. Rocco, la hyène stalinienne, le couteau entre les dents avec quatre mots à son vocabulaire : extrême-droite et Le Pen. Hors ces mots : rien, le vide intersidéral dans les méandres de ce qui lui sert de cerveau, une éponge artificielle, même pas une éponge de mer. S'il osait, il ferait comme ses petits copains du bloc de l'Est qui s'adonnaient à l'auto-critique. Il avouerait, donnerait, enfin, dans la nuance, le sens du détail, au lieu de chercher à marcher sur la gueule des gens avec ses gros sabots pelin de fiente. Il ferait des efforts d'argumentation, des efforts de dialogue. Mais il préfère chlinguer, Rocco Crasseux, comme tout coco paresseux qui se respecte. on pourrait imaginer qu'à la lecture de plusieurs personnes pas d'accord avec ses postulats estampillés gôche valeureuse et passéiste il se remette un peu en question sans renier ses idées, car personne ne lui demande de se renier, il devrait se demander, Comment se fait-il que des musulmanes se retournent avec violence contre l'islam ? Comment se fait-il qu'une certaine gauche Républicaine et Sociale remette en question l'immigration ? Comment se fait-il que des musulmans comme Messaoud Bourras considèrent l'Islam comme IMPERIALISTE ? Et Ayaan Hirsi Ali, et Wassyla Tamzali, ce sont des FASCISTES, des RACISTES, des NAZIS ? etc... etc... etc... Pauvre pelure. Pauvre fripouille sans envergure, insulteur professionnel, sans épaisseur et sans âme, je te pisse au cul.
Mais c'est trop lui demander à rocco Crasseux. Cela remettrait en cause sa Crasse dans laquelle il se complaît et dont les cancrelats, les furoncles et las cafards lui vont bien. Il y a les dévots d'églises, les grenouilles et les crapauds de bénitiers je les appelle, une engeance qui juge les autres et passe son temps le nez dans le missel. Ils sont insupportables. Plein de poussière. Leur seule présence interdit l'entrée des églises aux gens emplis de Foi. Et bien il y a les mêmes chez les gôgôs gôchistes crasseux et foireux comme Rocco, Crasseux de son nom de famille. Une grande famille spirituelle de crasseux, la morve au nez, la merde au cul, avec des slips Kangourou jaunes devant, marron derrière et verts dans le fond. Presque des punks à chien. Rocco Crasseux, quand il voit une personne bien habillée, qui ne pue pas de la gueule, il la traîte de "bourgeois", de "fasciste", de "nazi". C'est l'élite de la pensée françaîzeuh Rocco la Crasse, Rocco la Haine.
J'en ai plein sous la chaussure des roccoco crassouilleux. Roccoco, c'est mon pauvre à moi, je vous l'ai déjà dit, et comme je suis plein de patience et de bénédiction, je vais plus le lâcher, je vais lui donner à manger. Il va en avoir pour sa faim de connard. Là, il sait pas à qui il a affaire. Rocco est con... mais moi je suis fou. Serein. Mais fou. Déterminé dans ma folie à demeurer serein et abordant ma folie avec toujours beaucoup de sérénité. Rocco, si tu veux t'amuser, on va s'amuser, nimbus, balaie à chiottes, ce n'est que le début...
Oui, enfin, en matière de colonialisme et d'Impérialisme (eux ils disent "Califat"), les arabo-musulmans n'ont pas la moindre leçon à nous donner, lorsqu'on sait qu'au départ l'Islam fut une religion confinée au désert de la péninsule arabique et qu'elle s'est étendue par-delà les frontières...
"il faut aussi savoir raisin garder" on sent les fêtes arriver!
Le 12/12/2009 à 23h44 (79.85.***.***)
jc @u subtil inconnu -
Mais il a raison de dire ça Messaoud. Pour la simple raison qu'il y a trois manières pour une religion de s'etendre : conversion, conquête ou... démographie. C'est donc assez logique tout cela. Pour le reste, "impérialiste" n'est pas le bon terme. Il aurait dû dire "expansionniste", comme l'a été le christianisme... A UNE CERTAINE EPOQUE. De toute manière, si il n'y a aucun progrès en la matière tandis que la population musulmane continuera a croitre et que la "majorité silencieuse" ne se sort pas les doigts du cul, c'est évident que ça finira par mal tourner, d'une façon ou d'une autre. C'est juste logique. Mais d'ici là, tout est encore gérable, et il n'y a pas de quoi s'affoler. Etre vigilant, d'accord, mais garder raison. J'allais dire, "raisin" . D'ailleurs, en France, il faut aussi savoir raisin garder.