J'attends Fillon pour un compmentaire sur la révolution égyptienne...Comme l'avais écrit le canard encahainé ce qu'il a aimé en Egypte c'est "le charme et l'chèque"!
La somme était giganstesque surtout la partie constituant le dommage (45millions d'euros) mais voilà l'arrangement n'était pas conforme à la loi suite à un rapport. Encore moins de justice et ça passera comme une lettre à la poste la prochaine fois.
L'Egypte est à un tournant de son histoire, on entendait déjà des discours incitant les gens à retrouner bosser car ils perdaient de l'argent. Mais voilà quand on se bat pour sa liberté il y a des choses plus importantes. Moubarak, 2 à 6 fois plus riche que Bettencourt on comprend que l'on veuille conserver le pouvoir. Allez un bon gel des aides américanes détournées, que cela serve de leçon aux prochains.
Pas la motivation de regarder l'émission de notre président, l'idée de ne plus être interrogé par de vrais journalistes, ressemble à un concept curieux non? A part Berlusconi quel autre dirigeant politique se prêterait à ce genre d'émission en Europe?
Tout seul contre la grosse machine Clearstream. Après cette décision espèrons que d'autres journalistes aient son courage pour enquêter.
Le 08/02/2011 à 17h58 (70.36.*.***)
lafouine
-
Un grand merci à Michèle Alliot Marie et son époux et François Fillon et sa famille pour avoir libéré le peuple tunisien et égyptien de ses dictateurs, bon boulot. Quelle ingratitude en retour de la part des français! Les français seraient-ils contre la démocratie?
Le 07/02/2011 à 22h23 (86.212.**.**)
Nebo
-
Le pire, pour Chojnicki , c'est que j'ai pensé "Economie" et, je ne sais pas pourquoi, j'ai écrit "Droit". Mais ça n'est pas vraiment grave.
Tu chipotes Scalp, l'article du Point énumère clairement un certain nombre de "tabous" même s'il s'est inspiré de Gourévitch... et puis, en ce qui me concerne, tu penses bien que mon idée sur le sujet est faite.
Le 07/02/2011 à 21h53 (82.230.***.**)
scalp
-
Non Nebo, http://droit.univ-lille2.fr/index.php?id=587">Chojnicki
de l'université de Lille n'est pas une pointure en Droit mais bien en Economie soyons
précis s'il te plait.
Il a obtenu un DEA
d'Economie en Juin 2001 et un Doctorat
de Sciences Économiques Appliquées
en Décembre 2004.
D'accord avec toi sur le fait que les journalistes n'extraient que la
partie qui les intéresse de l'étude pour
justifier leur posture idéologique.
D'accord avec cette phrase :
"Le retour à
l’équilibre des finances publiques passe par un
encadrement plus serré des migrations de peuplement et une
augmentation de l’immigration de travail qualifiée
qui diminuerait le déficit des retraites."
Le 07/02/2011 à 21h30 (86.212.**.**)
Nebo
-
L'article de Jean-Paul Gourévitch que tu as mis en ligne, Scalp, indique très bien les différences entre l'étude de l'Université de Lille et son étude à lui. Qui croire ? Gourévitch, bien-sûr, car son étude n'est pas basée sur des postures idéologiques mais sur la considération de la Réalité qui est la seule instance susceptible de nous indiquer ce qui compte. D'ailleurs le principe du téléphone arabe fonctionne bien, puisque l'étude de l'Université de Lille est un pavé de 206 pages qui est une "projection" à "court terme" et la manière dont la presse a utilisé l'étude jette, pour ce qui me concerne, une fois de plus un total discrédit sur la grande majorité des journalistes qui nous chient leurs articles à longueur de temps sans prendre la peine d'analyser ce qui leur est jeté en pâture. Gourévitch est claire : "Les journalistes qui titrent sur «les bons comptes de l’immigration» (Direct matin du 2/12/2010) n’ont pas véritablement lu le document de 206 pages que j’ai sous les yeux... ou voudraient tellement que l’immigration soit positivée qu’ils prennent leur désir pour la réalité." D'ailleurs ça n'est pas pour rien que Xavier Chojnicki, pointure professorale en Droit, de la Faculté de Droit de Lille justement et qui a contribué à ce rapport de Lille, en appelle selon Gourévitch à la prudence : "Le professeur Chojnicki lui-même a recommandé la prudence vis-à-vis d’«extraits diffusés hors contexte» compte tenu de la «forte incertitude, liée au type de données ainsi qu'à la méthodologie utilisées»." Or nos journaleux droit-de-l'hommistes ne peuvent pas s'empêcher de prendre ce qui les arrange afin de nous assurer que l'Utopie qui est la leur se déroule comme il se doit et que seuls les sombres alarmistes tirent sur la sonnette !
Et puis il y a ça : "Il faudrait en effet y ajouter la partie des coûts sociétaux et fiscaux (travail illégal, fraude, contrefaçon, prostitution…) qui relève de l’immigration (13,65 milliards d’euros), les coûts de structure de l’ex-Ministère de l’immigration, ceux de l’aide médicale d’État, ceux des rétentions et des reconduites et de façon plus générale les coûts sécuritaires, soit un total de 5,24 milliards d’euros, celui de l’accueil de 270.000 étudiants étrangers pour 1,87 milliard d’euros, voire la part de l’Aide Publique au Développement en direction des pays d’origine de l’immigration qui vise à freiner le désir d’émigrer (investissement de 4,259 milliards d’euros).
Au total, cela représente 79,4 milliards d’euros de dépenses et 10 milliards d’investissements soit une charge pour l’État de 89,4 milliards, supérieure aux 47,9 milliards du document de Lille."
Je pense qu'il est essentiel de considérer les choses sous cet angle de vision.
Enfin, contrairement à ce que passent leurs temps à répéter comme des perroquets les ahuris qui n'entravent rien à rien et pensent que l'immigration c'est joli et chouette et enrichissant et que tous les immigrés y sont beaux et y sont gentils, le rapport de Lille a, selon les mots de Gourévitch, des points de convergence essentiels avec son rapport à lui :
"Nous n’avons trouvé dans le rapport aucune justification précise des quelque 12,4 milliards d’euros de bénéfices pour les finances publiques sinon page 122 : «En appliquant à chacun des paiements nets par âge et par origine la structure de la population pour l’année 2005, on en déduit l’impact net instantané des populations immigrées et autochtones au budget des Administrations Publiques (APU). La contribution nette globale de l’immigration au budget des APU serait ainsi positive et de l’ordre de 12 milliards d’euros pour l’année 2005. Dès lors, pour l’année 2005, un immigré aurait effectué un paiement net de l’ordre de 2250 euros, contre un peu plus de 1500 euros en moyenne pour un autochtone».
Il s’agit non pas ici d’un calcul scientifique mais d’une extrapolation faite sur l’année 2005 à partir d’un échantillon de population, qui de plus contredit totalement les écarts de salaires relevés par l’INSEE entre immigrés et autochtones. C’est pourtant cette affirmation qui fait la une des médias.
Pourtant, le diagnostic de l’équipe du professeur Chojnicki et le nôtre convergent sur les points suivants :
- La France est un des pays les plus généreux d’Europe en matière d’accueil et de financement de l’immigration.
- Par rapport aux autochtones, les migrants natifs du Maghreb et d’Afrique subsaharienne qui constituent la majorité de notre immigration actuelle sont «1,6 et 1, 7 fois plus nombreux à recevoir des allocations chômage, 3,8 et 3,9 fois plus représentés parmi les bénéficiaires du RMI, et 2,5 fois plus dépendants des aides au logement».
- Le retour à l’équilibre des finances publiques passe par un encadrement plus serré des migrations de peuplement et une augmentation de l’immigration de travail qualifiée qui diminuerait le déficit des retraites.
Encore faudrait-il que les médias, au lieu de mettre en exergue des titres et des chiffres qui plaisent à leurs rédacteurs mais ne correspondent pas à la réalité de ce qui est écrit, aient le courage de faire de l’information sur les aspects économiques de l’immigration (et aussi sur ceux de l’émigration), ce qui dans une année pré-électorale est peu probable."
Voilà qui me semble clair et précis, encore faudrait-il que les gens puissent l'entendre : "Le retour à l’équilibre des finances publiques passe par un encadrement plus serré des migrations de peuplement et une augmentation de l’immigration de travail qualifiée qui diminuerait le déficit des retraites." N'est-ce pas ?
Pour ma part, http://www.lepoint.fr/politique/tabous-et-cliches-30-09-2010-1245379_20.php">voici ici un article du journal Le Point que je vous invite à lire entièrement, cela vous permettra de vous faire une autre idée. On peut y lire des choses comme celle-là : "La plupart des études avancent un solde négatif de 27 milliards d’euros. Chiffre obtenu par l’association – très militante – des Contribuables associés. » Le déficit dû à la population immigrée est équivalent à 1,4 % du PIB (27 milliards d’euros). » L’association a comparé les dépenses annuelles que l’Etat consent pour les immigrés (71,76 milliards d’euros) avec les recettes qu’il encaisse de leur part (45,57 milliards d’euros). Le premier chiffre inclut les investissements publics pour contenir les flux migratoires ou faciliter l’intégration des immigrés (10,81 milliards d’euros), les dépenses spécifiques pour les immigrés (coûts éducatifs, sécurité, intégration…), soit 21,3 milliards d’euros. L’association intègre même les 4,2 milliards d’euros que la France verse au titre de l’aide publique au développement, arguant que cette aide vise surtout à freiner l’immigration… C'est sensé freiner l'immigration alors qu'elle rentre sans cesse et, peu à peu, devient une population de substitution.
Jean-Paul Gourévitch ironise sur la rigueur scientifique de
l'étude réalisée par le
Professeur http://droit.univ-lille2.fr/index.php?id=587">Xavier
CHOJNICKI titulaire d'un Doctorat
de Sciences Économiques Appliquées et
maître de conférence à
l'université de Lille.
Quelles sont les références universitaires de
Monsieur Gourévitch qui se dit Consultant International,
titre pompeux qui ne veut rien dire.
Sur http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Gour%C3%A9vitch">sa
page wikipedia, on lit écrivain et essayiste
Français.
Au lieu de critiquer cette étude devant un parterre tout
acquis à son discours, il eut été
préférable qu'il fasse part de son travail
à l'équipe de Lille
afin d'aboutir à un résultat le plus proche
possible de la réalité économique du
phénomène.
Le citoyen lambda comme toi ou moi face à ses 2
études contradictoires ne possède
pas tous les éléments lui permettant de
trancher
en faveur de Gourévitch ou de Chojnicki.
La seule chose dont je sois à peu près certain
c'est que l'immigration a favorisé la pression à
la baisse sur les salaires en France par l'introduction
d'une main d'oeuvre prête à travailler pour des
tarifs inférieurs à ceux des indigènes
de souche.
Le 07/02/2011 à 20h23 (86.212.**.**)
Nebo
- Lors des Assises sur l'Islamisation
Le 07/02/2011 à 14h44 (92.90.**.*)
scalp
-
Merci ivano pour l'info mais l'Etude de la fac de Lille tient compte du chomage, du RMI,APL, etc ...
Gourevitch ajoute dans son étude 25 milliards
supplémentaires (travail illégal, fraudes,
coûts sécuritaires de l'immigration, etc ...)
pour arriver à un total de 89,4 milliards d'euros de
dépenses.
Recettes en milliards d’euros
Étude Lille
Gourevitch
Impôts et taxes à la
consommation
18,4
18,65
Impôts sur le revenu
3,4
3,81
Autres impôts (IS,
ISF&hellip
3,3
5,84
CSG-CRDS
6,2
4,37
Cotisations sociales
26,4
8,38
Fiscalité locale
2,6
7,79
Total recettes
60,4
49
Transferts de fonds
/
4,82
Plus value pour PIB
/
5
Total général
60,4
58,82
Ce qui ferait un déficit de 30,5 milliards d'euros par an.
Alors qui croire ???
Le 07/02/2011 à 13h00 (194.206.***.*)
Ivanovitch
-
pas le temps de chercher pour vous, mais renseignez vous sur le rapport de GOUREVITCH qui contredit radicalement le lien de SCALP car il tient compte de toutes les données sociales en y incluant le chômage, le rmi, cmu, apl etc. et ben là on déchante. le lien de scalp ne tient compte que de l'immigration qui travaille.
Le 07/02/2011 à 07h29 (82.230.***.**)
scalp
-
Selon cette étude de l'Université de Lille, l'immigration rapporterait
12 milliards d'euros par ans à la France.
Marianne laisse carte blanche au philosophe Paul Thibaud, ancien directeur de la revue « Esprit ». Il faut, selon lui, sortir de la culpabilisation que nous impose le politiquement correct et partir des faits, aussi tristes soient-ils.
http://www.marianne2.fr/photo/930139-1102813.jpg?v=1296734103"> Éric Fassin - sociologue et pauvre burne !
Les moyens de créer du commun sont toujours les mêmes : le travail, l’école et une laïcité conquérante.
Le politiquement correct nous interdit de parler de problèmes ou de craintes à propos de l’immigration, préférant le jugement porté sur les mentalités, à condition que ce jugement soit sans ambiguïté. C’est pourquoi ceux (le sociologue Éric Fassin par exemple) qui font de l’immigration l’obsession malsaine des Français soutiennent qu’il est scandaleux de discuter de l’identité nationale, donc de la mentalité même dont ils dénoncent les effets. En fait, le politiquement correct ne connaît pas d’autre stratégie que la culpabilisation de la majorité. Cette stratégie de redressement des mentalités par l’intimidation, on voit de plus en plus qu’elle a des effets contraires aux intentions : l’opinion majoritaire y réagit en se rétractant, alors que chez les nouveaux venus, on encourage des comportements de fermeture. Ce choix de la facilité a donc produit un cycle d’accusations et de contre-accusations dont on ne peut sortir qu’en revenant aux faits, aussi tristes qu’ils soient, en n’oubliant pas cette recommandation du sociologue Hugues Lagrange (1) : « Parler par euphémismes compromet la confiance dans les institutions. »
1. Le premier fait est qu’il n’y a pas d’immigration en général, mais des immigrations, différentes selon les origines, les stratégies poursuivies, les modes d’entrée, les compétences apportées. L’immigration portugaise hier, la chinoise aujourd’hui, sont différentes de l’immigration malienne. Il y a des immigrations plus ou moins instruites, celle qui arrive actuellement, selon Christophe Giully (2), l’est bien moins que celle qui arrive aux États-Unis et en Angleterre. Il y a eu des immigrations politiques, il y a eu une immigration de travail, il y a aujourd’hui une immigration familiale, dont fait partie le mariage au pays, qui entretient son flux. Elle est d’emblée moins instruite et plus en marge de la société d’arrivée que les précédentes. Cette immigration, étudiée par Hugues Lagrange, n’est pas toute l’immigration, mais la dernière couche, celle qui pose les problèmes les plus flagrants, qui se concentre dans les zones urbaines sensibles (ZUS) où elle attire les suivants, où elle garde (polygamie, famille patriarcale et autoritaire, natalité élevée, culture musulmane) les mœurs du pays d’origine. Les enfants de cette immigration, dit Lagrange, ont été particulièrement actifs pendant les émeutes de 2005.
2. La mobilité chez les immigrés. On connaît la rengaine : depuis cinq (ou sept) ans, rien n’a changé à… La Courneuve, Clichy, etc. En fait, si la situation est la même, la population n’est pas la même. Une majorité des habitants a déménagé, quittant une de ces zones de relégation dont on s’obsède, mais qui sont pour beaucoup des sas, des lieux de passage. S’il doit y avoir intégration, elle se passera ailleurs, dans ce que certains appellent « la France périphérique » (cf. Christophe Giully [2]), les grandes banlieues pauvres où des immigrés originaires du Maghreb côtoient des autochtones et espèrent comme eux une promotion scolaire pour leurs enfants. L’obsession journalistique des ZUS est donc trompeuse. Cette hétérogénéité nouvelle du territoire rend encore plus néfastes les effets d’un système scolaire trop unifié, aux défauts duquel l’activisme pédagogique ne remédie pas.
3. Contrairement à ce que l’on fait croire, pauvreté et immigration ne se recouvrent pas. Selon Giully, 85 % des pauvres de France ne sont pas dans les ZUS. Le département de la Seine-Saint-Denis n’est pas le plus pauvre ; la Creuse, le Cantal et d’autres le sont plus, il y a des cités en province qui, bien que peuplées d’autochtones, sont plus démunies, plus dépourvues de services sociaux, que celles de la banlieue de Paris ou de Lyon. Ce qu’il faut affronter, c’est la séparation géographique - souvent volontaire - entre deux catégories de pauvres, les autochtones et les arrivants, une fracture sans précédent au sein du peuple. Avec l’école élémentaire commune et l’esprit d’entreprise des immigrants (les Portugais par exemple), la cohabitation ouvrière à l’usine et dans le quartier a été (avec l’école élémentaire) la matrice de l’intégration française. La base de cette mixité était la prépondérance reconnue de la culture nationale, telle que l’histoire l’a produite. Cette prépondérance étant en cause, un refus de cohabiter se répand de part et d’autre, une redoutable allergie mutuelle consacrée par la séparation territoriale.
4. On voit donc que le multiculturalisme souvent évoqué est le nom d’une séparation, d’un problème, et non d’une solution. Qu’il y ait, qu’il y ait toujours eu, de l’hétérogénéité sociale et culturelle n’empêche pas qu’il y a nécessité et urgence de développer du commun, faute de quoi le multiculturalisme produit une libanisation et non l’enrichissement mutuel promis. Les moyens de créer du commun sont toujours les mêmes : le travail, l’école, une laïcité non pas défensive mais conquérante, interpellatrice, capable, s’appuyant sur la culture commune de faire bouger, de faire entrer dans une logique de dialogue civique les particularités culturelles et religieuses. Le dialogue du politique démocratique avec le religieux, qui s’est poursuivi d’une manière implicite quand il s’agissait du catholicisme, doit devenir explicite avec un islam qui vient de l’extérieur.
(1) Le déni des cultures. Seuil. (2) Dans Fractures françaises, François Bourin éditions.
http://www.communautarisme.net/photo/art/default/288920-360040.jpg?v=1289415791"> Paul Thibaud
Le 04/02/2011 à 20h25 (70.36.*.***)
lafouine
-
Quand une personne est condamnée pour quelques affaires dûes à son poste en politique, elle ne devrait plus avoir le droit de se retrouver à un poste où l'on doit servir l'intérêt public. Ca n'est pas très révolutionnaiire mais seulement du bon sens... enfin il me semble.
Je ne suis ni pour Mélenchon ni pour Trucmuche, je pense que la politique a perdu beaucoup de pouvoir de transformation de la société par rapport à la puissance économique et que les marges de manoeuvre, même avec de la bonne volonté, sont bien réduites. Révolutionnaire non, révolté parfois, plus de débat d'idées, la com a pris une position trop importante en politique , le developpement du marketing politique, des sondages encore des sondages, ça ne pousse pas les gens à se passionner pour le débat.
A part à chaque présidentielle pour croire un moment que l'on changera quelque chose et l'on change quoi finalement? .
La vraie vie est ailleurs.
Il faut juste veiller à ce que les extrèmes ne passent pas!!! Pas très révolutionnaire finalement.
Le 04/02/2011 à 18h55 (194.206.***.*)
Ivanovitch
-
lafouine, je t'aime bien, je suis quelqu'un de très gentil qui arrive à aimer tout le monde,j'ai mes hauts et mes bas mais je tente toujours d'être consensuel,mais je pense que tu bases trop ta manière de voir sur le "ressentiment",j'ai souvenir que nébo et lionel en parlaient beaucoup à une époque pour dire ce qu'ils n'aimaient pas dans pas mal d'interventions des uns et des autres qui étaient seulement basées sur ça : "les salauds ils s'en sortent toujours, ils ont le pouvoir et nous autres le bas peuple on se fait toujours baiser"
je sais pas, c'est simpliste et réducteur. j'ai pas le vocabulaire de nébo pour causer de ces choses,mais je sens bien que t'es pas loin de MELENCHON,ce que tu dis et les liens que tu refiles ça ne peut que flater les bas instincts du populo. avec ça on fait une révolution seulement bonjour les dégâts.
nébo,lionel, revenez vous manquez à cet endroit qui au temps jadis était tellement vivant avec vos affrontements très durs au début puis très posés à la fin.
depuis qu'y' a l'inscription les gens ne veulent plus causer ici ou quoi ?
Le 04/02/2011 à 15h40 (70.36.*.***)
lafouine
-
Ivanovitch, les gagnants seront toujours les mêmes , ceux qui se partagent grâcement le gâteau. Tu crois vraiment que les ministres ne trouveront pas un petit emploi rapidement s'ils n'étaient pas reconduit en2012? Quand on voit que Dati, Amara, Yadde et consorts à peine viré trouvent un super job dans la semaine ou les quinze jours on voit bien que c'est plus facile pour la caste que pour un simple cadre par exemple. C'est comme ça, le plus drôle c'est que des gens ayant été condamné par la justice retrouve également des postes de ministres(Juppé). C'est ce que l'on appelle la réinsertion...
La petite dernière d'aujourd'hui: Mauroy(PS) condamné pour avoir employé Monsieur Fictif, quel travailleur ce monsieur fictif! Il est embauché de partout avec ces politiques, je lui remettrai bien la médaille du travail...
Le 04/02/2011 à 13h17 (194.206.***.*)
Ivanovitch
-
En 2012 ? Ce sera Marine Le Pen la grande gagnante, même si elle ne passe pas. Et tous les autres une fois de plus n'auront que leurs yeux pour chialer leurs mères et ce sera bien fait pour leur gueule. Moi je ne sais pas pour qui je vais bien pouvoir voter.
Le 02/02/2011 à 18h08 (70.36.*.***)
lafouine
-
Pas une journée sans un conflit d'intérêt, une mise en examen pour divers délits d'unélu ou parlementaire (un PS à Marseille encore aujourd"hui) j'ai bien peur que le gagnant en 2012 soit l'abstention ou une grosse surprise. Le ménage vite!
Je crois que cet article est plutôt mal traduit... mais il permet de se faire une idée assez précise sur le fond mental généré par l'Islam... et l'article est rédigé par... un musulman.
Je vous en conseille la lecture intégrale et très révélatrice.
Pourquoi les juifs sont si puissants et les musulmans si impuissants ?
Par le Dr Saleem Farrukh
L’auteur est le directeur exécutif pakistanais du Centre pour la recherche et les Etudes sur la sécurité, crée en 2007. Il est aussi un chroniqueur indépendant à Islamabad
Il y a seulement 14 millions de Juifs dans le monde, dont sept millions aux Etats-Unis d’Amérique, cinq millions en Asie, deux millions en Europe et 100.000 en Afrique.
Pour chaque Juif dans le monde, il y a 100 musulmans.
Pourtant, les Juifs sont cent fois plus puissants que tous les musulmans réunis.
Vous êtes vous demandé pourquoi ?
Jésus était juif. Albert Einstein, le savant le plus influent de tous les temps et le magazine TIME a désigné "personne du siècle », Sigmund Freud - Moi, Surmoi - le père de la psychanalyse qui était un Juif. C’était aussi le cas de Karl Marx, Samuelson Paul et Milton Friedman.
Voici d’autres Juifs, dont la production intellectuelle a enrichi l’ensemble de l’humanité :
Benjamin Rubin a donné à l’humanité l’aiguille pour la vaccination.
Jonas Salk a mis au point le premier vaccin antipoliomyélitique.
Alerte Sabin a développé et améliorée le vaccin antipoliomyélitique.
Gertrude Elion nous a donné un médicament contre la leucémie.
Baruch Blumberg a développé le vaccin contre l’hépatite B.
Paul Ehrlich découvre un traitement de la syphilis (une maladie sexuellement transmissible).
Elie Metchnikoff a remporté un prix Nobel pour les maladies infectieuses.
Bernard Katz a remporté un prix Nobel pour ses travaux sur la transmission neuromusculaire.
Andrew Schally a remporté un prix Nobel en endocrinologie (troubles du système endocrinien, diabète, hyperthyroïdie).
Aaron Beck a fondé la thérapie Cognitive (psychothérapie pour traiter les troubles mentaux, la dépression et les phobies).
Gregory Pincus a développé la première pilule contraceptive.
George Wald a remporté un prix Nobel pour son travail sur la compréhension de l’œil humain.
Stanley Cohen a remporté un prix Nobel en embryologie (Étude des embryons et leur développement).
Willem Kolff a crée la machine pour la dialyse rénale.
Au cours des 105 dernières années, 14 millions de Juifs ont remporté 180 prix Nobel tandis que seulement 3 prix Nobel ont été remportés par 1,4 milliard de musulmans (autre que le Prix pour la paix).
Stanley Mezor a inventé la première puce micro-informatique.
Leo Szilard mis au point le réacteur nucléaire de première génération.
Peter Schultz, le câble à fibres optiques.
Charles Adler les feux de circulation.
Benno Strauss l’acier inoxydable.
Isador Kisee les films sonores.
Emile Berliner le téléphone et le microphone.
Charles Ginsburg le magnétoscope.
Les financiers célèbres dans le monde des affaires appartiennent à la religion juive.
Sans compter Ralph Lauren (Polo), Levi Strauss (Levi’s), Howard Schultz (Starbuck’s), Sergey Brin (Google), Michael Dell (Dell Computers), Larry Ellison (Oracle), Donna Karan (DKNY), Robbins Irv (Baskins & Robbins) et Rosenberg projet de loi (Dunkin Donuts).
Richard Levin, président de l’Université de Yale, est un Juif.
Il en est de même pour Henry Kissinger (secrétaire d’État américain),
Alan Greenspan (Président de la Banque fédérale sous Reagan, Bush, Clinton et Bush, Jr.),
Joseph Lieberman, Le sénateur,
Madeleine Albright (ancienne Secrétaire d’État),
Maxim Litvinov (ministre des Affaires étrangères de l’URSS),
David Maréchal (le premier ministre de Singapour),
Isaacs Issac (gouverneur général d’Australie),
Benjamin Disraeli (Homme d’État et auteur),
Yevgeny Primakov (Premier ministre russe),
Jorge Sampaio (Président du Portugal),
Herb Gray (plusieurs fois ministre et Vice premier Ministre du Canada),
Pierre Mendes (Premier ministre français),
Michael Howard (British Home Secretary),
Bruno Kreisky (Chancelier d’Autriche) et Robert Rubin (ancien Secrétaire au Trésor).
Dans les médias, les Juifs célèbres incluent Wolf Blitzer (CNN),
Barbara Walters (ABC Nouvelles),
Eugene Meyer (Washington Post),
Henry Grunwald (rédacteur en chef du Time Magazine),
Katherine Graham (éditeur du Washington Post),
Joseph Lelyyeld (rédacteur en chef, The New York Times), et Max Frankel (New York Times).
Pouvez-vous donner le nom du philanthrope le plus généreux dans l’histoire du monde ?
Le nom est George Soros, un Juif, qui a jusqu’à présent a fait des dons colossaux à hauteur de 4 milliards de dollars ; dont la majeure partie en aide à des scientifiques et des universités de par le monde.
Le deuxième après George Soros est Walter Annenberg, un autre Juif, qui a construit une centaine de bibliothèques en donnant un montant estimé à 2 milliards.
Aux Jeux olympiques, Mark Spitz a établi un record du genre en remportant sept médailles d’or. Lenny Krayzelburg est médaillée d’or olympique à trois reprises. Spitz, Krayzelburg et Boris Becker (tennis) sont tous juifs.
Saviez-vous que Harrison Ford, George Burns, Tony Curtis, Charles Bronson, Sandra Bullock, Barbra Streisand, Billy Crystal, Woody Allen, Paul Newman, Peter Sellers, Dustin Hoffman, Michael Douglas, Ben Kingsley, Kirk Douglas, William Shatner, Jerry Lewis et Peter Falk sont tous juifs ?
Alors, pourquoi les Juifs sont si puissants ?
Réponse : l’Education.
Hollywood elle-même a été fondée par un Juif. Parmi les réalisateurs et producteurs, Steven Spielberg, Mel Brooks, Oliver Stone, Aaron Spelling (Beverly Hills 90210), Neil Simon (The Odd Couple), Vaina Andrew (Rambo 1, 2 et 3), Michael Mann (Starsky et Hutch), Milos Forman (Vol au-dessus d’un nid de coucou), Douglas Fairbanks (Le Voleur de Bagdad) et Ivan Reitman (Ghostbusters) sont tous Juifs.
Pour être certain, Washington est la capitale qui compte et à Washington, le lobby qui compte, c’est l’American Israel Public Affairs Committee, ou AIPAC.
William James Sidis, avec un QI de 250-300, est le plus brillant homme qui ait jamais existé. Devinez à quelle religion il appartient ?
Alors, pourquoi les Juifs sont si puissants ?
Réponse : l’éducation.
Pourquoi les musulmans si impuissants ?
On estime à 1,476,233,470 musulmans sur la surface du globe : un milliard en Asie, 400 millions en Afrique, 44 millions en Europe et six millions en Amérique.
Un cinquième du genre humain est musulman. Pour chaque hindou, il ya deux musulmans, pour chaque bouddhiste il ya deux musulmans, et pour chaque Juif il y a cent musulmans.
Jamais on ne s’est demandé pourquoi les musulmans sont si impuissants ?
Voici pourquoi :
Il ya 57 pays membres de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI), et tous ont mis en place près 500 universités ; une université pour trois millions de musulmans.
Les États-Unis ont 5758 universités (1 pour 57 000 Américains).
En 2004, Shanghai Jiao Tong University a comparé les performances des universités dans le monde, et curieusement, pas une université d’un pays musulman ne se trouve dans le top 500.
Selon les données recueillies par le PNUD, l’alphabétisation dans le monde chrétien se situe à près de 90 pour cent et les 15 Etats à majorité chrétienne ont un taux d’alphabétisation de 100 pour cent.
Un état à majorité musulmane, a en moyenne un taux d’alphabétisation d’environ 40 pour cent et il n’y a pas un seul état à majorité musulmane avec un taux d’alphabétisation de 100 pour cent.
Quelque 98 pour cent des « alphabètes » dans le monde chrétien terminent l’école primaire, tandis que moins de 50 p. cent des « alphabètes » dans le monde musulman font la même chose.
Environ 40 pour cent des « lettrés » dans le monde chrétien fréquentent l’université soit plus de deux pour cent des « lettrés » qui dans le monde musulman font la même chose.
Pourquoi les musulmans sont impuissants ?
Parce que nous ne savons pas produire et mettre en application un savoir musulman. Les pays à majorité musulmane ont 230 scientifiques par million Musulmans. Les États-Unis ont 4.000 scientifiques par million et le Japon à 5.000 par million d’habitants. Dans le monde arabe tout entier, le nombre total de chercheurs à plein temps est de 35.000 et il n’y a que 50 techniciens par un million d’Arabes (dans le monde chrétien, il ya jusqu’à 1.000 techniciens par million). En outre, le monde musulman dépense 0,2 pour cent de son PIB à la recherche et développement, tout le monde chrétien consacre environ cinq pour cent de ses PIB.
Conclusion : Le monde musulman n’a pas la capacité de produire des connaissances.
Les quotidiens pour 1000 habitants et le nombre de titres de livres par million sont deux indicateurs pour savoir si la connaissance est diffusée dans une société.
Au Pakistan, il existe 23 quotidiens pour 1.000 Pakistanais tandis que le même ratio est de 360 à Singapour. Au Royaume-Uni, le nombre de titres de livres par million d’habitants s’élève à 2.000 alors qu’il est de 20 en Egypte.
Conclusion : Le monde musulman ne parvient pas à la diffusion du savoir.
Les exportations de produits de haute technologie en pourcentage du total des exportations sont un indicateur important pour l’application des connaissances.
Les exportations de produits de haute technologie du Pakistan s’élèvent à un pour cent du total de ses exportations. C’est pire pour l’Arabie saoudite, le Koweït, le Maroc et l’Algérie (tous à 0,3 p. cent) alors que Singapour est à 58 pour cent.
Conclusion : Le monde musulman ne parvient pas à mettre en application son savoir.
Pourquoi les musulmans sont impuissants ?
Parce que nous ne sommes pas capables de produire des connaissances.
Pourquoi les musulmans sont impuissants ?
Parce que nous ne sommes pas capables de diffuser le savoir.
Pourquoi les musulmans sont impuissants ?
Parce que nous ne sommes pas capables de trouver des applications à nos connaissances.
Et, l’avenir appartient aux sociétés du savoir.
Fait intéressant, le PIB combiné annuel de 57 pays de l’OCI-est de moins de 2 mille milliards de dollars. L’Amérique, juste à elle-seule, produit des biens et services pour une valeur de 12 mille milliards de $, la Chine 8 mille milliards de dollars, le Japon 3,8 mille milliards de $ et l’Allemagne 2,4 mille de milliards de dollars (en parité de pouvoir d’achat).
Les pays riche en pétrole à savoir l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, le Koweït et le Qatar collectivement produisent des biens et services (surtout en pétrole) pour une valeur de 500 milliards de dollars, alors que l’Espagne seule produit des biens et services d’une valeur de plus de 1000 milliards de $, la Pologne catholique de 489 milliards de $ et la bouddhiste Thaïlande 545 milliards de dollars.
La part musulmane du PIB, en pourcentage du PIB mondial, est baisse rapide.
Alors, pourquoi les musulmans sont si impuissants ?
Réponse : Le manque d’éducation.
Tout ce que nous faisons c’est prier Dieu toute la journée et blâmer tout le monde pour nos défaillances multiples.