le vrai visage de certain fait peur, à quand une réaction indigné de la communauté musulmane contre ces ennemis de la liberté?
Le 17/08/2011 à 20h18 (86.202.***.**)
El Tio
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on va pas revenir à ça quand même ! http://www.atlantico.fr/decryptage/grande-bretagne-internet-peine-mort-159333.html">Pendant ce temps, en France, le chic est aux tenailles chauffées, aux brûlures des mains coupables au soufre, au versement de plomb fondu, cire ou huile bouillante sur les blessures l'écartèlement par des chevaux garantit un bon spectacle pour finir, on brûle le tronc, qu'on espère encore vivant. Les premières guillotines (en 1792) sont boudées, et le bourreau hué trop chirurgical, trop propre
Le 15/08/2011 à 02h10 (82.123.***.***)
Nebo
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Et qu'en aurait dit http://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Debord">Guy Debord, des émeutes de Londres ? Voici ce qu'il disait, déjà, en 1966, des émeutes raciales de Watts (Los Angeles, Californie).
« Les Noirs de Los Angeles, comme les bandes de jeunes délinquants de tous les pays avancés, mais plus radicalement parce qu’à l’échelle d’une classe globalement sans avenir, d’une partie du prolétariat qui ne peut croire à des chances notables de promotion et d’intégration, prennent au mot la propagande du capitalisme moderne, sa publicité de l’abondance. Ils veulent tout de suite tous les objets montrés et abstraitement disponibles, parce qu’ils veulent en faire usage. De ce fait ils en récusent la valeur d’échange, la réalité marchande qui en est le moule, la motivation et la fin dernière, et qui a tout sélectionné. »
Guy Debord, L'Internationale Situationniste, Janvier 1966
Le 14/08/2011 à 13h37 (82.123.***.***)
Nebo
-
Ce que Marx lui-même aurait pensé des émeutiers de Londres ou, précédemment, des émeutiers français...
« Le lumpenprolétariat qui, dans toutes les grandes villes, constitue une masse nettement distincte du prolétariat industriel, pépinière de voleurs et de criminels de toute espèce, vivant des déchets de la société, individus sans métier avoué, rôdeurs, gens sans aveu et sans feu, différents selon le degré de culture de la nation à laquelle ils appartiennent, ne démentant jamais le caractère de lazzaroni. »
Karl Marx - La lutte des classes en France
« Le lumpenprolétariat - cette lie d'individus déchus de toutes les classes qui a son quartier général dans les grandes villes - est, de tous les alliés possibles, le pire. Cette racaille est parfaitement vénale et tout à fait importune. Lorsque les ouvriers français portèrent sur les maisons, pendant les révolutions, l'inscription : "Mort aux voleurs !", et qu'ils en fusillèrent même certains, ce n'était certes pas par enthousiasme pour la propriété, mais bien avec la conscience qu'il fallait avant tout se débarrasser de cette engeance. Tout chef ouvrier qui emploie cette racaille comme garde ou s'appuie sur elle, démontre par là qu'il n'est qu'un traître. »
Karl Marx & Friedrich Engels - La social-démocratie allemande
Tous nos gauchistes devraient relire Marx et en prendre de la graine !
Et qu'en pense Jean-Claude Michéa, sociologue de Gauche, mais que personne n'écoute ?
« Si l’on parle en, effet, de l’intégration à une société, c’est-à-dire de la capacité pour un sujet de s’inscrire aux différentes places que prescrit l’échange symbolique, il est clair que cette fraction modernisée du Lumpen n’est pas, "intégrée", quelles que soient, par ailleurs, les raisons concrètes (familiales et autres) qui expliquent ce défaut d’intégration. S’il s’agit, en revanche, de l’intégration au système capitaliste, il est évident que la Caillera est infiniment mieux intégrée à celui-ci (elle a parfaitement assimilé les éloges que le Spectacle en propose quotidiennement) que ne le sont les populations, indigènes et immigrées, dont elle assure le contrôle et l’exploitation à l’intérieur de ces quartiers expérimentaux que l’État lui a laissés en gérance. En assignant à toute activité humaine un objectif unique (la thune), un modèle unique (la transaction violente ou bizness) et un modèle anthropologique unique (être un vrai chacal), la Caillera se contente, en effet de recycler, à l’usage des périphéries du système, la pratique et l’imaginaire qui en définissent le Centre et le Sommet. L’ambition de ses membres n’a, certes, jamais été d’être la négation en acte de l’Économie régnante. Ils n’aspirent, tout au contraire, qu’à devenir les golden boys des bas-fonds. Calcul qui est tout sauf utopique. Comme l’observe J. de Maillard, "sous nos yeux, l’économie du crime est en train d’accomplir la dernière étape du processus : rendre enfin rentable la délinquance des pauvres et des laissés pour compte, qui jadis était la part d’ombre des sociétés modernes, qu’elles conservaient à leurs marges. La délinquance des pauvres, qu’on croyait improductive, est désormais reliée aux réseaux qui produisent le profit. Du dealer de banlieue jusqu’aux banques de Luxembourg, la boucle est bouclée. L’économie criminelle est devenue un sous-produit de l’économie globale, qui intègre à ses circuits la marginalité sociale." »
Jean-Claude Michéa - L'enseignement de l'ignorance
J'étais été content d'entendre le premier ministre Britannique dire qu'il s'agissaient d'actes délinquants sans aucun rapports avec de problèmes sociaux la même réaction chez nous aurait été bienvennue
Le 12/08/2011 à 10h26 (86.202.***.***)
El Tio
-
L'homme qui ne se contente pas de peu, ne sera jamais content de rien !! (Epicure)
Le 10/08/2011 à 01h55 (92.151.***.**)
Nebo
-
Je veux avoir une pensée, moi aussi, pour les Britanniques confrontés depuis le week-end dernier à la pire des racailles qui puisse exister en Occident, de sales petits crétins qui n'attendait qu'une seule chose : que la pseudo-bavure sur l'un des leurs (un dealer notoire bien connu des service de police) entraînant sa mort leur donne l'occasion de tout brûler et de tout casser. Une pensée pour les blancs qui sont passés entre leurs mains sur les trottoirs de la capitale anglaise... et comment ils ont été humiliés parce que blancs
Une pensée pour ce vieillard entre la vie et la mort, tabassé par ces chiens parce qu'il tentait d'éteindre une poubelle en feu... et une pensée pour ces comités de citoyens anglais qui, sans tenir compte de la Police et de la bienpensance socialiste (travailliste) de merde de leur pays se sont regroupés et ont décidé de patrouiller pour préserver le bien public.
Lorsque les émeutes dans nos quartiers dits "populaires" consumaient la France il n'y a pas si longtemps (2005 et 2007), nos médias propagandistes nous montraient le quartier londonien de Tottenham comme un exemple à suivre. On avait le culot, en dignes représentants de l'homo sovieticus d'y envoyer nos jeunes étudiants afin de les fondre dans la bien-pensance consensuelle.
Qu'on se s'étonne pas, après, qu'il y ait des illuminés fascistoïdes qui en vienne, aussi, à péter un plomb et à s'adonner au massacre... ça fait 30 ou 40 ans que des quartiers sont tenus par de merdeux gangsters qui méprisent l'Occident, pissent sur nos valeurs, crachent sur nos drapeaux, exigent des droits qu'ils ne devraient pas exiger chez nous (charia, hallal & co...) et nous marchent sur la gueule avec un racisme et une haine équivalents aux pire abrutis célébrant le "White Power". Il serait temps que les EUROPEENS s'en rendent compte.
Le 29/07/2011 à 13h50 (89.157.***.***)
Rose
-
Un petit mot à la mémoire de tous ces ados assassinés sur l'île d'Utoya, ainsi qu'aux autres victimes à Oslo.
La démence haineuse d'un pauvre type a eu raison de vous malheureusement, mais passé le traumatisme, vôtre pays saura se souvenir et apporter des réponses citoyennes et efficaces pour que cela n'arrive plus de sitôt.
RIP
Le 26/07/2011 à 22h20 (82.230.***.**)
scalp
-
Dans sept jours exactement, (le 2 août), le
congrés des Etats-Unis doit relever le plafond
constitutionnel du niveau de dette pour pouvoir continuer à
emprunter sur les marchés et éviter le
défaut de paiement.
Ce plafond est de 14280 milliards de dollars, difficile de se
représenter cela physiquement !
En formant des petits tas de 10000 dollars : 100 billets de 100$ comme
celui-ci :
Cela faisait longtemps que la légende vivante, http://en.wikipedia.org/wiki/Roger_Daltrey" target="_blank">Roger Daltrey, chanteur des http://en.wikipedia.org/wiki/The_Who" target="_blank">WHO, n'avait pas défrayé la chronique avec une telle verve. Dans les années 60 et 70 lui et ses frères d'armes au sein du groupe mythique s'en donnaient à coeur joie. Dans une interview accordée à un tabloïd trash du Royaume-Uni, Daltrey a attaqué le groupe U2 quand il a appris que le groupe Irlandais ne payait pas ses impôts en Irlande mais en Hollande. Bien que http://en.wikipedia.org/wiki/The_Edge" target="_blank">The Edge nie être un évadé fiscal, Roger Daltrey ne l'a pas épargné : "Je trouve ça très intéressant que quelqu’un qui prône le socialisme refuse de payer pour un État socialiste !" Puis Roger Daltrey s'en est pris aux conservateurs à propos de leur politique concernant l'immigration en déclarant que leurs représentants avaient "la tête dans le cul" à propos des issues que l'immigration massive implique. Cette déclaration survient quelques semaines après qu'il s'en soit pris aux travaillistes qu'il avait accusé d'avoir "ouvert les portes du déluge immigrationniste" et d'avoir, littéralement, "massacré la classe ouvrière"... C'est qu'en digne "Working Class Hero", Roger Daltrey se souvient qui il est et d'où il vient...
Le texte de la chanson "Won't get fooled again" prend toute sa signification...
We'll be fighting in the streets With our children at our feet And the morals that they worship will be gone And the men who spurred us on Sit in judgment of all wrong They decide and the shotgun sings the song
I'll tip my hat to the new constitution Take a bow for the new revolution Smile and grin at the change all around me Pick up my guitar and play Just like yesterday And I'll get on my knees and pray We don't get fooled again Don't get fooled again
Change it had to come We knew it all along We were liberated from the fall that's all But the world looks just the same And history ain't changed 'Cause the banners, they all flown in the last war
I'll tip my hat to the new constitution Take a bow for the new revolution Smile and grin at the change all around me Pick up my guitar and play Just like yesterday And I'll get on my knees and pray We don't get fooled again Don't get fooled again No, no!
I'll move myself and my family aside If we happen to be left half alive I'll get all my papers and smile at the sky For I know that the hypnotized never lie
Do ya?
There's nothing in the street Looks any different to me And the slogans are replaced, by-the-bye And the parting on the left Is now the parting on the right And the beards have all grown longer overnight
I'll tip my hat to the new constitution Take a bow for the new revolution Smile and grin at the change all around me Pick up my guitar and play Just like yesterday Then I'll get on my knees and pray We don't get fooled again Don't get fooled again No, no!
Le 16/07/2011 à 10h26 (86.202.***.***)
El Tio
-
Merci Nebo....comme quoi il ne faut jamais simplifier...l'histoire des pays est très diverse et ne peut se limiter à un moment ... entre la république concept politique et la patrie concept charnel de la france physique avec ces diversités culturelles historiques régionales...il est certain que le débat durera longtemps...par contre il est légimite de se poser la question est ce que du département ou de la région faut il garder ? les régions sont souvents naturelles ! la montagne ! les plaines les bords de mer et ont développées des histoires ! des peuplements et des caractéristiques differentes d'une autre ! par ex entre le fleuve herault et le fleuve aude vivaient les "elysiques" ou "elyseens"...d'origine ibere donc celtique ...etc etc...je crois donc que pour appréhender "la symbolique de la nation de la patrie tout cela doit être "intégré" par les "politiques"...en ce sens la reponse de François Fillon à madame Joly est parfaite !
nous vivons avec "le regret inconscient" du Roy...et notre Président est aussi assimilé au "rayonnement " du pays...donc pas de place à la tristesse au non jouir ! vive le défilé du 14 juillet avec nos militaires et nos soldats !
Le 15/07/2011 à 21h59 (92.151.***.**)
Nebo
- Digressions Royales...
Et c'est très bien http://fr.wikipedia.org/wiki/Frédéric_Mistral">Frédéric Mistral... membre du http://fr.wikipedia.org/wiki/Félibrige">Félibrige avec http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Maurras">Maurras... association défendant la langue d'oc et prônant la décentralisation avec une force qui fait passer les anarchistes pour des bourgeois. Il faut savoir que les Royalistes et Monarchistes français (puisque tu faisais allusion à la Monarchie espagnole, El Tio) sont, normalement, pour une décentralisation totale, le respect des langues et traditions locales et le Roi régnant ne devant s'occuper que de ses pouvoirs régaliens, à savoir ; la sécurité publique, la protection des frontières extérieures et les relations diplomatiques avec les pays étrangers, la protection de l'état de Droit et l'application de la Justice et, du moins sous l'ancien Régime, l'encadrement de l'Economie afin que celle-ci puissent assumer une certaine Souveraineté au sein du pays qui est le sien, Souveraineté sur le plan financier, entre autre, par la Présence d'une Banque Nationale (ou Royale) sensée émettre de la monnaie selon un équilibre précis. Ce dernier pouvoir régalien est discuté par certains Royalistes/Monarchistes qui ont épousé certaines thèses libérales classiques.
En dehors de ces Pouvoirs qui fondent le règne du Roy, les Régions sont, en soi, des pays avec une forte dose d'Autonomie telle que la République ne l'a jamais expérimentée au cours de son Histoire puisque en digne descendante des JACOBINS (qui ont tout de même influencé Staline, Hitler ou Mussolini) elle a toujours cherché à tout maintenir par une centralisation forte. Ces autonomies régionales étaient représentées par les seigneurs qui assumaient, aussi, localement, leurs pouvoirs régaliens à petite échelle. Des régions entières ont connues, ainsi, contrairement aux idées reçues, parfois de longues périodes de paix et de prospérité. C'est ce qui a fait dire à Maurras : "La Monarchie c'est l'Anarchie + 1".
La seule chose vraiment détestable chez Maurras, c'était son antisémitisme qui était inacceptable, même si ça n'était qu'un antisémitisme d'état. Maurras ne voulait pas que les juifs occupent des places importantes au sein des fonctionnaires, ni dans la Police et l'armée (affaire Dreyfus), ce qui ne l'empêchait aucunement d'être ami avec le juif http://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Halévy">Daniel Halévy, ou d'apprécier la camaraderie du juif http://fr.wikipedia.org/wiki/Proust">Proust dont il aimait l'écriture et dont il faisait l'éloge dans la presse où il écrivait des articles. Proust et Maurras entretenaient une correspondance importante, si je ne m'abuse. Comme quoi les choses sont complexes, n'est-ce pas ?
Et qu'est-ce qui était sensé assurer l'Unité du Royaume ? Et bien la Catholicité, selon Maurras qui, cela étant dit, aimait la Grèce Antique et face au Crédo Chrétien s'affirmait pleinement Agnostique. Mais il y voyait un rôle de ciment entre les différents pays et langues qui constituaient le Royaume.
Dernière chose à laquelle je pense : le servage. Contrairement à ce que l'on pense, les Royalistes/Monarchistes de nos jours ne sont pas pour un rétablissement du servage ! Il faut être débile et ne pas connaître l'Histoire de ce pays pour avancer ce genre de conneries digne de la pire des désinformations. Tout d'abord, dans les faits, le servage n'était pour ainsi dire plus pratiqué depuis la fin du Moyen-Âge. Après la Guerre de Cent ans (1337-1453) et l'opulence économique qui s'en suivit sur tout le continent Européen annonçant la Renaissance, les serfs commencèrent à racheter leur liberté en masse afin de bouger vers les endroits les plus intéressants économiquement. Déjà à l'époque les villes grossirent énormément et certaines régions se vidèrent de leurs habitants en masse. Et des enfants de serfs libres ne sont plus serfs à leurs tours, mais des hommes libres aussi. Ce qui fait qu'au XVIIIème Siècle il n'y avait plus de serfs, dans les faits, et Louis XVI finit par l'abolir pour la forme en 1779, dix ans avant la Révolution. Il y a eu, ça et là, quelques malheureuses exceptions, mais dans sa globalité, à la veille de la révolution le servage n'existait plus en Royaume de France, bien qu'il y eut d'autres injustices comme il en existe aujourd'hui et qu'il existera demain. Donc, ça n'est pas la Révolution Française qui a fait abolir le servage.
Le 15/07/2011 à 18h42 (90.27.**.**)
El Tio
-
en Arles il y a une grande statue de FM et en FRANCE beaucoup de rues ou avenues portent son nom !
Le 15/07/2011 à 18h35 (90.27.**.**)
El Tio
-
j'ai appris frederic mistral à l'école.....provençal et maurras je vais te decevoir ! je ne sais pas qui c'est !
Le 15/07/2011 à 18h22 (194.206.***.*)
Ivanovitch
-
si tu commences à citer des amis de Maurras, t'es mal barré el tio.
Le 15/07/2011 à 18h13 (90.27.**.**)
El Tio
-
Les citations de Frédéric Mistral
«Si ce n'est aujourd'hui, ce sera demain : rappelons-nous que la patience est le pilier de la sagesse.»
[ Frédéric Mistral ] - Les Olivades
«Bon d'être charitable, mais il vaut mieux tuer le diable que, par excès de vertu, te laisser tuer par lui.»
[ Frédéric Mistral ] - Les Olivades
«Les arbres aux racines profondes sont ceux qui montent haut.»
[ Frédéric Mistral ] - Les îles d'or
«Chaque année, le rossignol revêt des plumes neuves, mais il garde sa chanson.»
[ Frédéric Mistral ] - Les Iles d'or
«Perdre la foi de son enfance est un vrai malheur, car il n'y a rien sur terre qui puisse relever l'homme qui, pour horizon, n'a plus que le tombeau.»
[ Frédéric Mistral ]
«Les cinq doigts de la main ne sont pas tous égaux.»
[ Frédéric Mistral ] - Les Iles d'or
http://www.evene.fr/celebre/biographie/frederic-mistral-1194.php?citations
http://fr.wikipedia.org/wiki/Monarchisme_en_France">Entre la monarchie constitutionnelle espagnole et la Ve République française, laquelle je préfère ? Ma réponse est que je choisis la monarchie espagnole. » Le premier ministre socialiste espagnol Zapatero avril 2006
- Prenez un esclave et enchaînez-le, cognez-le, soumettez-le de façon radicale, écrasez-le toujours de votre poing de maître : l'amortissement sera faible.
- Changez d'optique, ne le cognez plus, de même ne l'enchaînez plus, cependant rendez-le totalement dépendant de vous : l'amortissement augmente mais la recette demeure moyenne, le profit toujours négligeable malgré l'amélioration.
- Optimisez votre art de la domination, faites croire à l'esclave qu'il est libre et, mieux, faites lui choisir sa servitude de telle manière qu'il ne la soupçonne guère : rendement massif, rouage exploitable à merci et interchangeable à volonté, rapport entre le temps alloué à une tâche et le résultat obtenu entièrement maximisé.
Bienvenu en Démocratie : phase ultime d'optimisation du rendement de l'esclave.
la même réaction chez nous aurait été bienvennue 
![](<a href="http://photostrio.free.fr/gallery/1312933486168601.jpg">http://photostrio.free.fr/gallery/1312933486168601.jpg</a>)
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