Le premier paragraphe n'était pas négatif, il fallait me semble-t-il dépasser le simple exercice du comptage des "ne", "pas", "jamais" pour comprendre que ce premier paragraphe visait à communiquer, "Normalement, je ne devrais pas pouvoir vous expliquer le truc tellement ça bouillonne de passion en moi pour ça, mais je vais tout de même essayer (et veuillez excuser les maladresses, c'est l'émotion)" !

Je manque de temps pour faire quelques suggestions de changements minimes, alors juste un : quand tu dis, Poilette, que la formation est "particulièrement adaptée à l'évolution du métier", j'aurais aimé voir dans la foulée citer au moins un exemple de cette adaptation, parce que tel quel, ça fait un peu flatterie non étayée, je trouve.

Une autre petite réserve, ou plutôt une invitation à garder la tête froide : personnellement, je n'ai pas trouvé tes photos de concerts excellentes et je ne crois même pas en avoir vu une de nette, ce qui est tout de même sympa de temps en temps. Bref, le qualificatif de "sublime" et la phrase dythirambique qui suit me semblent excessifs. Cela dit, il est tout de même essentiel de croire en toi et d'avoir ce genre de pèche, c'est comme ça qu'on avance.

La photo est un centre d’intérêt depuis mon enfance/adolescence. J’aime capturer des moments de la vie quotidienne, l’intensité des émotions, saisir la beauté d’un paysage ou d’une fleur en collant mon œil dans le viseur de mon appareil. Transmettre par l’image ce que je peux ressentir ou percevoir du monde, utiliser ma sensibilité de femme pour donner une patte particulière à ma photo, voilà le but que je me suis fixée. Il me faut pour cela, en dehors de mon instinct, acquérir suffisamment de techniques et de connaissances pour éviter les écueils.

Le photographe a un œil particulier sur le monde. Qu’il retransmette l’information, mette en valeur un objet, rende compte d’un évènement artistique ou crée lui-même une œuvre originale, le cliché est toujours le résultat de sa façon de percevoir son environnement. La particularité du photographe d’aujourd’hui est sa nécessaire polyvalence : des techniques purement photographiques comme les prises de vues par exemple, à l’absolue obligation de maîtriser les nouvelles technologies comme le vocabulaire et les particularités du numérique et des outils informatiques, le photographe doit maintenant savoir tout faire, et gérer l’image de la prise de vue à son édition.

La formation que vous proposez « Photographe d’aujourd’hui : un métier » est particulièrement adaptée à l’évolution du métier. De plus, elle est adaptée à ma situation puisqu’elle me permettra d’apprendre les bases et de me perfectionner dans le but d’une professionnalisation. Vous me donnerez ainsi une possibilité réelle de reconversion dans le cadre d’un Congé Individuel de Formation.

Mon métier actuel ne me permet pas d’exprimer mes émotions ou d’en provoquer chez les autres. Je suis cependant bien intégrée au sein de l’équipe, mais les tâches à accomplir quotidiennement ne sont pas source de satisfaction et d’épanouissement pour moi. J’ai fait le tour du poste que j’occupe depuis 5 ans, et depuis quelques mois ma reconversion s’impose comme une évidence : j’aspire à retourner à mes premières amours pour le déclic.

Et puisque déclic il y a, déclic il a fallut pour me replonger dans mes rêves. Je l’ai eu en juin 2005, après deux concerts auxquels j’ai assisté. Deux concerts durant lesquels j’ai photographié (avec autorisation de la production). J’ai retrouvé cet enthousiasme et cette frénésie trop longtemps mis de côté. Les photos sont belles, certaines sont sublimes d’après un photographe accrédité pour les concerts de ma connaissance. Il me dit lui-même qu’il aurait bien aimé être l’auteur de certains de mes clichés. Il ne m’en fallait pas plus pour avoir la révélation sur mon orientation professionnelle future. Je souhaite devenir photographe, spécialisée dans le monde musical en général et dans le reportage de concert en particulier.

Merci de votre aide à tous, je demande à un maximum de personnes pour être sûre ! J'espère qu'on me dira pas tout et son contraire mais je prends le risque quand même. Merci infiniment.

Madame, Monsieur,

Il n’est jamais facile d’exposer ses motivations et les raisons de ses passions. Une passion ne trouve pas toujours les mots pour se justifier, s’expliquer… elle nous habite et lorsque nous devons en révéler le pourquoi, nous sommes bien souvent dans la difficulté car ce qui est naturel pour nous ne nous fait pas nous interroger, c’est comme inné.

La photo est un centre d’intérêt depuis mon enfance/adolescence. Je n’ai pas eu la chance de pouvoir appartenir à un club qui m’aurait permis de devenir amatrice avertie. J’ai pratiqué en dilettante, suivant mon instinct sans connaissance particulière. Pour moi, à ce moment là, je ne pouvais imaginer devenir photographe et étudier dans ce sens. Je pensais que c’était réservé à une certaine élite.

Mon parcours d’étude fut néanmoins passionnant. J’ai obtenu une licence d’histoire option géographie après une brève interruption post bac de 3 années. Pouvoir aller à l’université et y réussir fut une grande satisfaction pour moi. Ces études m’ont ouvert l’esprit et m’ont appris à avoir un œil neuf sur le monde environnant.

Le photographe aussi a un œil particulier sur le monde. Qu’il retransmette l’information, mette en valeur un objet, rende compte d’un évènement artistique ou crée lui-même une œuvre originale, le cliché est toujours le résultat de sa façon de percevoir son environnement. La particularité du photographe d’aujourd’hui est sa nécessaire polyvalence : des techniques purement photographiques comme les prises de vues par exemple, à l’absolue obligation de maîtriser les nouvelles technologies comme le vocabulaire et les particularités du numérique et des outils informatiques, le photographe doit maintenant savoir tout faire, et gérer l’image de la prise de vue à son édition.

La formation que vous proposez « Photographe d’aujourd’hui : un métier » est particulièrement adaptée à l’évolution du métier. De plus, elle est adaptée à ma situation puisqu’elle me permettra d’apprendre les bases et de me perfectionner dans le but d’une professionnalisation. Vous me donnerez ainsi une possibilité réelle de reconversion dans le cadre d’un Congé Individuel de Formation.

Actuellement j’occupe le poste pour lequel j’ai été embauchée il y a 5 ans, mais il ne correspond absolument pas à mes aspirations, à mes passions, à mes ambitions. Je n’ai aucune possibilité d’évolution au sein de mon entreprise. Aussi il est grand temps pour moi de revenir vers mes premières amours : celles du déclic et de l’image.

Et puisque déclic il y a, déclic il a fallut pour me replonger dans mes rêves. Je l’ai eu en juin 2005, après deux concerts auxquels j’ai assisté. Deux concerts durant lesquels j’ai photographié. J’ai retrouvé cet enthousiasme et cette frénésie trop longtemps mis de côté. Les photos sont belles, certaines sont sublimes d’après un photographe accrédité pour les concerts de ma connaissance. Il me dit lui-même qu’il aurait bien aimé être l’auteur de certains de mes clichés. Il ne m’en fallait pas plus pour avoir la révélation sur mon orientation professionnelle future. Je souhaite devenir photographe, spécialisée dans le monde musical en général et dans le reportage de concert en particulier.

Par la polyvalence de votre programme pédagogique et la richesse de son contenu, je pense sincèrement que vous offrez la formation idéale pour la réalisation de mon projet professionnel.