autres manips : "la colonisation c'est bien ou c'était pas bien ?" Alors que la vraie question, celle qui fache, c'est peut-on s'autoriser à dicter ce qu'est l'Histoire dans des textes de lois ????

La verve de ton écriture est sympa... mais son emphase est sans queue ni tête... tu parles par énigme... autant dire les choses Cash et clairement, non ? Pour ce qui est denotions précises... ma foi... annonce clairement de quoi tu parles... parce que soyon clairs, Rose ô Rose, tu m'adresses tes posts... soit... mais de quoi qu'c'est qu'tu m'causes? Hein ? Je me le demande encore... "Notions précises", dis-tu... "L'inspiration doit prendre le chemin de beaux délirs, et à cela la conversation a de valeur que si elle est émouvante drôle et intelligible." ...Oui oui oui... je suis bien d'accord... sauf que ce que tu me dis n'ai pas intelligible un seul instant... c'est un beau délire, mais ce n'est que le tiens... et si je te trouve drôle cela ne fait en aucun cas avancer le schmilblick entre nous... "en ce qui me concerne j'ai passé la limite de l'approche avec toi,non ?" Oui... je dis OUI si tu souhaites en rester là... mais ce qui me turlupine c'est que je ne vois toujours pas ce que tu peux me reprocher... ... Il me semble clair que le chien d'attaque, ici, c'est toi... chien ou chienne, c'est comme tu veux... roule toi dans les étoiles si ça te dit... c'est très bien, je le fais aussi à l'occasion... mais je garde les pieds sur terre... et je n'idéalise rien ni personne... et suis reconnu en ces lieux comme quelqu'un qui ne fait pas dans la dentelle, ni dans la broderie anglaise... mais... hé ho... j'aime aussi ce qui est rugueux, aigue, tranchant... c'est mon droit...

Everly the marley's brothers. deux des plus belles sérénades pop. Everly Brothers & Bob marley. C'est pas forcémment l'endroit mais je n'écoute actuellement, hors musique classique, que véritablement TATU (version russe évidement, snobisme oblige.)
Toujours vivant grace à vous, Mesdames. Vous êtes ma rédemption, pleine d'ivresse jusqu'à la lie.

Oxymore, source d'équilibre maitrisé. Il n'y a pas de plus belle jouissance que le paroxysme analysé et accepté. Ployé mais ne pas se brisé. Mais ployé quand même.
Bise du front au front, juste entre vos yeux, juste en recommandé direct et tranchant de l'âme à l'âme.

En tout cas, je salue respectueusement, sérieusement tous les intervenants de ce forum. Tant qu'il existera, liberté et fraternité sera.

De l'harmonie entre homme et femme je témoigne. De la rouerie empruntée aux femmes je témoigne encore.
Comment troussé un pan minuscule de la robe de nos chères compagnes. Peut-être un début de piste?
A mes amis homos, corrigés les conjugaisons et débrouillez-vous, chacun sa croix.
Juste pour rigoler, un peu de psychologie de comptoir.

Georges Clooney, top du top actuel selon moi, depuis que Cary Grant s'est retiré. Il se trouve que c'est le "mec plus ultra" de ma compagne. Et mince, je viens de voir son film, épatant. Je me sens en phase avec ce type là. Génial.
Entre Julien Clerc, mon sosie, et Georges. Ne suis-je pas digne d'intérêt moi aussi? La question se doit d'être posé. Selon ma chère et presque tendre jusqu'ici, C'est vrai, je lui ressemble.
Je lui ressemble en contre-jour, par nos journée actuelle, lumière d'indien qui a été. Il semblerait, je dis bien il semblerait, que mon rictus de contrariété, entraîne un soulèvement furtif du sourcil droit, que l'on pourrait rapprocher du sourcil gauche de notre cher Georges. Attention, nous ne parlons que de la première période de sa carrière, sous chaperon de Rosemarie sa maman. Aujourd'hui lui et moi ne nous ressemblons plus du tout...

Bon. Deuxième épreuve. Elle le veut. Achetez-lui le calendrier des Dieux du Stade, (si vous ne savez pas de quoi je parle, elle, le sait)
Ensuite, feuilletez négligemment et de façon "scientifique" cette almanach en ponctuant vos découvertes de remarques neutres mais admiratives et amicales. Attendez les commentaires féminins.
Vous en apprendrez plus que tous les discours des psychos escrocs.

Ce badinage pour dire que là encore, écoutez, prêtez de l'attention (juste prêter l'attention en attente de taux plus intéressant). Ceci permet de comprendre et de découvrir. De jouer et d'apprécier.

Lionel, sans le vouloir sans doute, vous me décevez. Dire que je représente l'humeur de l'époque me titille. Je me voie plus appartenir à une époque en voie de disparition. Je vous laisse cette période actuelle j'espère transitoire, d'invasion réflexivement post-coloniale. Je ne me reconnais absolument pas dans cette ambiance présente de censure, pudibonderie, hyper moralisme soi-disant humaniste et intolérance arrogante, appauvrissante à tout niveau.

Quant à Mozart, j'en discutais la semaine derniere encore avec lui, tant que les traites de sa jaguar sont honorées. Le reste n'est que vétilles. A part peut-être, la disparition de la chambre d'ambre de Catherine de Russie.

Par rapport à Dantec, je dis surtout que la manière sévère qui est plutôt la sienne me semble moins susceptible de convaincre qu'une manière plus bienveillante (mais ferme sur les valeurs). De plus, quant on secoue les idées reçues, il y a toujours des risques de dérapage qui décrédibilisent le propos (cf. Finkielkraut sur l'équipe de France "black-black-black") Mais bon, à chacun sa voix, c'est vrai, et pour aller dans ton sens positif, je peux en effet tirer quelques marrons du discours de Dantec et un peu plus de celui de Fink. A part ça, bien d'accord avec toi pour estimer que ces discours atypiques révèlent les lignes de tension de l'époque, et encore plus d'accord sur l'impératif d'évoluer tout le temps, d'être ouvert au changement, de ne pas résister au mouvement mais de le regarder en face et d'en tirer parti.

@ Wolfie : Il est plaisant d'avoir de tes nouvelles, même assez brèves (à noter tout de même un repentir qui t'a conduit à nous en dire plus que cette première contribution de 3 lignes, ce dont nous te savons gré ). D'autant que ce sont de bonnes nouvelles et je me réjouis personnellement de ce moment de "plénitude" et de "décongestion". Il est clair d'ailleurs que ça en affecte ta désespérance, qui a bien ici cette touche de "nonchalance" prononcée, en effet. Cela dit, Wolfie reste Wolfie, bien sûr, et cet oxymore que tu utilises pour pour brosser ton moi idéal, "misanthrope adepte du plaisir des autres", est notable en ce qu'il révèle la complexité souvent contradictoire d'un individu, autant que l'humeur de l'époque !

Denis, tes propos ne sont pas tellement des invitations à la discussion mais des fragments de diatribe, sur un mode qui fait malheureusement florès ces dernières années : amer, assez désespéré et désespérant, charriant beaucoup de confusion et s'abaissant et abaissant son prochain sans même s'en rendre compte. Tu fustiges le "populisme" selon toi omniprésent, mais tu te laisses aller toi-même à des métaphores simplistes et vulgaires, "il n'y a pas de maigre butin", "il n'y a pas de petits profits", impliquant que ceux qui interviennent dans le débat public et ont l'outrecuidance d'émettre des opinions qui n'épousent pas les tiennes le font pour l'argent, pour le pouvoir, pour leur profit. Crois-moi : à chaque fois qu'on abaisse l'autre, on s'abaisse soi-même et infinitésimalement, on abaisse notre communauté d'espèce.

@ Jean-No : Bien d'accord sur le problème actuel de "soumission communément acceptée". Une des toutes premières soumissions, c'est celle à laquelle on consent trop souvent vis-à-vis d'un employeur en échange de l'assurance d'une pitance (relire la fable http://www.lafontaine.net/lesFables/afficheFable.php?id=5">Le Loup et le Chien). Les mécanismes existent pour créer son propre emploi dans de nombreux domaines, être son propre patron (patron, même étymologie que "père" -- devenir son propre père, accoucher de soi-même, bref, conquérir son autonomie [autonomie = l'individu se "nomme", se forge lui-même]). C'est de cette manière que l'on contribue le mieux à nous faire évacuer la servitude morale des temps passés ; bien sûr, pour cela il faut trouver en soi du courage. À défaut de pouvoir créer son propre emploi, il faut développer sa capacité d'indépendance morale : mon employeur me traite mal ou n'a plus besoin de moi ? Je n'ai pas plus besoin de lui.