Il qualifie ses ennemis [juifs] de « négriers reconvertis dans la banque et la finance ».

A ses yeux, « La vérole, c'est le sionisme », dont Nicolas Sarkozy est un « pantin »

- la preuve : il est allé chercher « la bénédiction des sionistes new-yorkais » avant d'aller en Israël pour son premier voyage officiel.

« Les Juifs, qui souhaitent m’éradiquer de la scène artistique ont concocté pour moi un projet de solution finale ».

Telles sont quelques-unes des gracieusetés éructées par Dieudonné et rapportées par l’auteur de ce livre que Dieudonné a cherché à faire censurer.

Nebo & Lionel : A ce que je vois, il ne s'agit plus là de "se plaindre", mais de lutter contre un certain autisme (institutionnel) souvent avéré, lorsque la pente de l'inertie est trop forte ; pas de "vociférer", mais d'atteindre un but (parfois au tribunal si besoin est) dans l'urgence de prises de risques physiques ...

Jean-No : Quant "au bruit des bottes", excuses moi mais je n'ai lu ton post qu'après avoir entendu l'écho du Technival avorté (de force in extremis : des mois de "rêves" réduit à néant en quelques heures). Clairement, comme souvent, il y avait plus de CRS que de manifestants dans les rues de Rennes ... (Il me semble que les Tansmusicales n'en sont pas à leur coup d'essai, et on peut tous les ans avoir confiance dans l'infrastructure municipale. D'ailleurs une rave en Loire Atlantique (s')est passée sans encombre le même W.E. avec l'aide de la gendarmerie).

Provocation : Force du symbole, à double tranchant. Pacificateur sur la place publique, ou émeutier dans son bureau ? Un penseur,(n'est-ce pas moins prétentieux que "intellectuel" ? =>le penseur se repose, de tps en tps ... et puis ça peut être qq1 un peu "artiste sur les bords") est révolutionnaire (c'est ce que je lui demande) dans le sens où il favorise le retour en faveur (cyclique, de révolution en orbite) de paramètres comme la beauté de l'abstraction, le charme de la surréalité, la magie de l'imprévisible programmé (toute chose qualifiées d'inutiles, même si les seules productives).
Sinon, l'intellectuel, livré à lui-même, c'est comme une dynamo sans vélo ... (pas comme R.Debré (le gaücho), Attali (le banquier), ou d'autres en leur temps ... comme Tourraine, et les châteaux de la Loire ... ) Anyway (I mean couac île-en-soi), j'ai déjà constaté combien la force publique se plaisait à manifester son omniprésence, parfois en nombre égal si ce n'est supérieur à celui des intermittents mobilisés, mais par une présence bien plus ostentatoire que celle des machinos backstage, dans des spectacles non annulés par la préfecture.)
Force d'intimidation plus crypto- régressive que préventive. (Et comme dit mon garagiste : "Plus crypto-régressif, tu meurs !" )

Droïde équalisé sans désir de chaleur
Avec mes sentiments sur microprocesseur,
Parfois dans le silence obscur de mon hangar
Je déchausse mes circuits et débranche mon sonar.
Bouillie d'étoiles fondues sur mes lèvres plasma
De gargouille irradiée revenant du magma,
Quand j'ai besoin d'amour ou de fraternité,
J'vais voir Caïn cherchant Abel pour le plomber

Dans l'odeur des cités aux voiles d'hydrocarbures,
Les rires sont des ratures qui s'attirent et saturent
Et j'y traîne en réglant ma radio chimpanzé
Sur fréquence et mépris point zéro nullité.
Cosmonaute du trottoir, éboueur en transfert,
Je peins mes hiéroglyphes sur les murs des waters
Avant de m'enfoncer plus loin dans les égouts
Pour voir si l'océan se trouve toujours au bout.

Droïde, droïde,
Machine humanoïde
Aux chromosomes hybrides,
Droïde, droïde,
Carlingue anthropoïde,
Cœur en Celluloïd,
Droïde, droïde,
Regard Polaroïd,
Schizoïde et bifide,
Droïde, droïde,
Rêvant d'astéroïdes
Acides et translucides,
Libres...
Attirées par le vide

Le jour ou les terriens prendront figure humaine,
J'enlèverai ma cagoule pour entrer dans l'arène
Et je viendrai troubler de mon cri distordu
Les chants d'espoir qui bavent aux lèvres des statues.

Dites-moi Miss Rose, pourquoi tant d'hystérie. Et surtout deux points d'exclamation? Je vous en conjure desusceptibilisez-vous avec des fleurs. La bile rend malhabile.

Je trouve le genre féminin en déclin. Qu'en est-il des lettres assassines des grandes courtisanes des temps jadis?
Qu'est devenue la maestria machiavélique des nobles dames?

Sommes-nous obligés de supporter des envolées verbales où le haut de cime rime avec simiesque? A t-on affaire à des rappeuses?

Pitié, Mesdames, restez dignes de vos plus beaux atours; Sensibilité, charme, intelligence et manipulation.
Ne vous croyez pas obligés de devenir aussi pataudes que les hommes peuvent l'être.