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| Le 19/02/2006 à 22h50 (82.125.***.***) |
Denis -
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Tu as raison le guitouche, il faut savoir d' où on part. Le texte de départ et de la discorde se trouve ici : http://europa.eu.int/eur-lex/lex/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=CELEX:32001L0029:FR:HTML. Ce texte est à lire dans son INTEGRALITE.Mais pourquoi un tel texte ? Ben parce qu'il y a un pays qui a les avocats les plus balèzes du monde et même qu' ils en font des films pour bien montrer ce qu' est un démocratie "tordue". Parce que c' est un pays qui a conservé la peine de mort mais où tu peut gagner des millions en séchant ton animal de compagnie dans le micro-ondes et on réclamant préjudice ensuite auprés du fabricant qui n' avait pas marqué sur la notice que ce n' était pas fait pour (et encore il a de la chance d' avoir échappé à la peine de mort).Là-bas, il y a un avocat qui a décidé (et gagné) le fait qu' un ordinateur n' était pas un lecteur de musique. Qu' il fallait discerner l' analogique du numérique, enfin plein de truc qui se tiennent quand on est tordu. En même temps les européens mettent au point le format de compression mp3 (qui assure de sacré rentrée financière à Thomson), les premiers réseaux informatique entre particuliers via le téléphone, se démocratisent (mais ne sont accessibles que pour les plus "thunés"). Les premiers échanges de données musicales et de films voient le jour. Puis vient le cable (beaucoup plus tard chez nous), et là les échanges de de données se transforment en fête au village, c' est la net économie, l' eldorado, pour tous sauf les majors. Oui mais voilà, il y a un vide juridique concernat l' environnement numérique. Qu' à cela ne tienne ils créent la DMCA (google est votre ami). Mais voilà pas que l' internet commence à se démocratiser dans la vielle Europe. Damn, la dmca n' est pas une loi internationale. Vite il faut l' adapter, sous peine de voir repartir l' échange de fichiers musicaux ou de films de plus belle. En 1991, la transcription de la dmca adapté à la communauté européenne voit le jour sous la dénomination d' EUCD. Il s' écoule 5 ans pendant lesquels personne ne bronche et tout d' un coup lorsqu' il s' agit enfin de l' adopter et de l' adapter dans notre pays, c' est la foire d' empoigne. Jusqu' ici les artistes s' en foutaient royalement, les majors idem (trop occupées à se faire du pognon sur le dos de leurs serviteurs, de profiter à fond financièrement parlant des réseaux de communications sous toutes leurs formes, et d' appater de nouveaux consommateurs). Le p2p est le cadet de leur soucis (allant même jusqu' à l' utiliser eux-mêmes). Tout d' un coup, les ventes s' écroulent. Je ne sais pas il doit y avoir un micro-climat. Dans le débat (particulièrement musical) j'aimerais voir des graphiques sur 25 ans. Mais je n' en vois pas. J' aimerais qu' on m' explique comment un disque de musique numérique peut à prix réduit être aussi cher 25 ans plus tard qu' un disque vinyl, j' attend toujours la réponse. J' aimerais comprendre comment Universal peut-être à la fois prestataire de service internet, opérateur de téléphonie mobile, chaine privée de télévision, etc, etc, et se plaindre du mal qu' il c' est fait lui-même. Mais je n' y arrive pas. J' aimerais qu' on m' explique ce que viennent faire les 2 amendements Universal et Sacem dans la transcription nationale d' une directive européenne. Sinon vouloir au travers de la criminalisation du p2p (dont eux mêmes se sont servis et se servent encore à des fins publicitaires), couper court à toute forme d' expression libre, gratuite et démocratique. A croire que le développement alternatif de la musique par Internet effraie les majors. En conclusion dans cette affaire j' aimerais surtout que l' on arrête de me prendre pour un CON ! PS (clin d' oeil gauchiste Lionel  : Ce texte a été taper sans correction, ni retour arrière, ni relecture, Brut de décoffrage. Donc il y a forcément des imperfections la première d' entre elles étant de ne pas proposer des solutions mais y en a t' il vraiment sinon laisser faire où tout verrouiller ?
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| Le 19/02/2006 à 21h49 (81.57.***.**) |
Yamero - P2P
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Salut tout le monde et tout d'abord je vous présente mes excuses pour les fautes qui pourraient se dissimuler dans ce prochain texte, ayant un peu mal au bras et j'ai opté pour la dictée, je sais ça fait un peu snob, mais c'est quand même bien pratique.
Certes, je n'ai pas inventé l'eau chaude, et peut-être quelqu'un a-t’ il déjà eu cette idée avant moi, je n'ai pas tout lu, mais je m'autorise cette petite réflexion.
Concernant le téléchargement, je pars du postulat qu'il n'y en a que deux possibles : le téléchargement légal, et le téléchargement illégal. Je pars aussi du postulat que c'est le téléchargement illégal qui pose aujourd'hui problème. (Jusque là tout a bien).
Il est techniquement admissible que les FAI sont en mesure aujourd'hui de créer et de gérer eux-mêmes à un portail de téléchargement du type émule et autres dérivés. Pourquoi, dans ce cas, ne pas organiser le téléchargement gratuit par le biais de ce portail propriétaire et prioritaire : le FAI garantit la gratuité, puisque l'usager le rétribue déjà pour une prestation, tout comme il garantit la confidentialité des différents éléments téléchargés dans la mesure où ces éléments ne relèvent pas d'un caractère illégal.
Concernant tout type de téléchargement dont le contenu ne saurait être d'une légalité irréfutable, il est évident que l'usager optera alors pour un portail de téléchargement moins surveillé, dans ce cas il devra accepter une taxe fixée soit sur la quantité téléchargée, soit sur le temps de téléchargement. Je m'explique.
Il y a quelque temps de cela, je me suis pris à rêver d'une émission radiodiffusée et suite à cela, j'ai pris ma plus belle plume pour écrire un projet. Mais avant de le proposer aux radios et aux unités de production, j'ai dû m'acquitter d'une petite somme pour que ce projet soit protégé à la société des auteurs. Pour résumer, j'ai du payer pour protéger mon travail, pour m'assurer d'une certaine confidentialité.
Je ne dis pas que tous les internautes sont des pirates, je ne dis pas non plus que tous les internautes en quête de confidentialité sont des pirates, je pense simplement que rien n'est gratuit totalement, le désir de confidentialité encore moins.
En pratique, j'ai besoin de logiciels libres, de photos, de musique, vidéo libre de droits et d'utilisation, je peux les télécharger sans contrainte, sans limite et autant de fois que je le veux, par le biais de mon « free-émule ».
Je veux piquer le dernier album de machin, le dernier film de trucmuche, le dernier jeu de boubou ou le dernier logiciel de Bill, forcément je vais vouloir le faire en douce, si possible sans me faire chopper, et donc certainement pas par le biais de mon « free-émule », çà peut être aussi « wanadoo-mule », « neuf-mule » ou autre.
Mon FAI sait ce que je fais de mon abonnement, il sait combien de fois je me suis connecté, combien de kilo-octets et j'ai pu télécharger, combien de temps je suis resté sur la toile. Il peut aisément faire la différence entre ce que j'ai pu obtenir par son portail, par mon mail, et par le reste. Pourquoi ne pas, alors, suivant la proposition de Louis, taxer le giga supplémentaire non transmis par le biais du portail propriétaire du FAI ? de cette façon, le FAI garantissant une totale confidentialité, les choses peuvent continuer et évoluer ainsi, avec comme seul fil conducteur :
-- je ne paye rien de plus car je n'ai rien à cacher.
-- je paye un peu plus car je ne veux avoir à rendre de compte ni à me justifier sur ce que je télécharge parce que je le fais de façon plus confidentielle.
Pour ce qui est de la répartition, et pour éviter une usine à gaz supplémentaire, je propose que les fonds récoltés soient répartis, au prorata et en fonction des différents éléments téléchargés, et reversés au fonds d'aide et d'accompagnement aux créations, qu'elles soient musicales ou audiovisuelles. Elles permettraient ainsi de donner un coup de pouce aux jeunes artistes, aux jeunes réalisateurs, et de ce fait le piratage deviendrait l’un des principaux financeurs des futurs talents.
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| Le 19/02/2006 à 15h27 (86.207.**.**) |
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cherche 2 jeune femme entre 16 et 19 ans
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| Le 19/02/2006 à 13h42 (86.194.***.**) |
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eh ouais! à donf de chez à donf!
plutôt que de télécharger, chourez ce qui vous plait dans les rayons de la fnac ou de carrouf!
cela revient au même, sauf que le ou les gars qui ont fait l'album seront payés par ces enseignes! vous ferez donc acte de courage, au moins!!!!!!!!!!!!!! 
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| Le 19/02/2006 à 11h29 (86.194.***.**) |
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le P2P, je m'en bats les flancs! Quand on aime un artiste, on ne se pose même pas la question de savoir si on peut le pirater; On fait comme moi, on va dans le magasin et on achète le disque, sans même l'avoir écouté avant, car c'est grâce aux quelques centimes reversés par les maisons de disques que ceux qu'on aime écouter pourront continuer à nous régaler. Les pirateurs sont des crétins qui favorisent le développement des star ac et autres daubes. Je précise que je suis smicard avec 2 gosses, et pas pété de thunes pour pouvoir m'offrir tout ce qui sort.
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| Le 19/02/2006 à 10h31 (82.234.**.***) |
Christine - christine@louis
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J'ai lu la page de la solution, où j'ai pu constater que l'injustice de cette solution a été reconnue.
Par contre, pourquoi êtes-vous apparement contre la licence globabe ?
J'avoue que la licence globale en elle-même ne me plait pas trop. Je la trouve injuste, mais quand même moins que votre solution. Si elle est appliquée, je me verrais dans l'obligation de faire du p2p, moi, qui n'en ai jamais fait.
Par contre la licence globale optionelle, elle me semble vraiment un bon compromis. Pourquoi est-ce que vous n'adhérez pas à ce concept ? Il y a sans doute mieux, mais à mes yeux, c'est le meilleur compromis trouvé jusqu'à maintenant. Les artistes auraient une rémunération.
Pourquoi ne pas essayer et voir ce que cela donne.
Si ce principe est mis en place, j'adhérerais sans doute un jour. Je ne vais quand même pas rester toute ma vie sans faire de p2p, sourtout si cela devient légal. Il est évident que je paierais, comme je paie mon fournisseur d'accès à Internet, France Télecom, EDF/GDF, etc... même lorsque je pars en vacances.
ou sinon peut-être demander aux FAI (Fournisseurs Accès Internet) de verser une taxe aux artistes, mais sans pour autant que le consommateur voit les tarifs augmenter. Cela me semble aussi une bonne solution. Mais bon, les FAI, ce sont comme les majors. Il sera sans doute difficile de négocier avec eux, ils sont trop pétés de thunes.
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| Le 18/02/2006 à 21h47 (82.125.***.**) |
Denis -
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Je suis bien conscient qu' aucune solution ne représente la panacée , et que Stéphane et jm ont raison en formulant des crtiques techniques sur ma proposition. Ceci écrit au mois de décembre (et encore maintenant) je suis parfaitement en "osmose" avec nyto. Pour la simple raison que depuis plus de 20 ans (par expérience puisque je baigne dans la musique en amateur depuis le début de la bande fm où j' avais alors 20 ans), seules les maisons de disque et la sacem c' est à dire les institutions ont les clés en main.Quoi qu' elles décident je m' adapterais dans la légalité ou dans l' illégalité (comme c' est le cas aujourd'hui pour de sombres problêmes de brevets en utilisant libdvdcss entre autres). Mais quoi qu' il en soit j' essaierais de respecter le droit d' auteur et surtout les auteurs. En aparté j' écrirais que depuis le début de l' ère numérique le monde bouge. Il y a 8 ans je suis passé à la photographie numérique (et c' était déjà économique, alors je parle pas d' aujourd'hui ). Et pourtant combien de réticences n' y a t' il pas eu à ce moment là de la part des "pros". Aujourd' hui Nikon abandonne l' argentique, Minolta le numérique et donc la photo et ensuite ... Au dernier nam on pouvait voir ds guitares fender et gibson avec tablette style pda encorporée dans le corps ... et j' entends déjà les réticences des "anciens"
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| Le 18/02/2006 à 12h19 (83.154.**.**) |
stephane -
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Je suis tout à fait d'accord avec christine, j'irais plus loin : la taxe sur les supports vierges, qui est d'actualité en france, est une entrave à la présomption d'innocence.
@denis :
Proposition 1 :
cette proposition serait la moins fiable. aujourd'hui, combien d'utilisateurs utilisent windows ou autres logiciels sans les payer ? tant que la protection se situera coté client et non coté serveur, le piratage sera aisé.
Proposition 2 :
je suis d'accord avec toi, interdisons le P2P, et interdisons aussi les voitures qui roulent à plus de 50km/h elles peuvent permettre de faire des excès de vitesse.. (c'est vrai, ne nous voilons pas la face le P2P sert a 90% à du piratage, mais si on doit supprimer tout ce qui "peut eventuellement permettre de faire quelque chose de mal", on n'aura bientot plus rien.
Proposition 3 :
passer les abonnés en IP fixe augmenterait les risques de piratages des ordinateurs des abonnés. Par contre, les fournisseurs d'accès peuvent tout à fait te dire quelle était la personne connectée à telle heure avec telle ou telle adresse IP.
Proposition 4 :
tout à fait d'accord
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| Le 18/02/2006 à 11h58 (82.249.***.***) |
jm - @Denis
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Sur le point 2, théoriquement ça devrait suffire comme solution, mais deux choses : déjà techniquement comment l'interdire ? C'est à peu près infaisable d'interdire les logiciels de P2P.
Au mieux je sais pas, ils pourraient faire fermer les gros serveurs (Razorback, DonkeyServer, ...) mais supprimer emule, kazaa & co des PC, je demande qu'on m'explique comment (techniquement).
Autre chose : le P2P c'est dépassé depuis quelques dizaines de mois. Les dernières oeuvres sorties apparaissent souvent sur les newsgroups (alt.binaries, avec grabit pour récupérer les fichiers) avant de se retrouver partagées sur emule par des types qui utilisent les deux.
Lutter contre le P2P ok, mais peut-être faudrait-il traiter le problème plus en amont et s'attaquer à ceux qui utilisent les newsgroups, et surtout ceux qui y ajoutent les fichiers téléchargeables, avant les has been qui utilisent encore le P2P.
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| Le 18/02/2006 à 11h22 (82.125.***.**) |
Denis @ Louis -
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Proposition : 1) Mettre un tracker sur l' ordi avec lequel les gens téléchargent des oeuvres relevant du droit d' auteur et NON LIBRES. A condition que se tracker ne serve QU' A CA. J' ai actuellement un script qui tourne sous mon OS préféré et qui récolte des données quant à ce qui se passe à l' intérieur dés que je l' allume. Apparemment c' est pour les garagistes de l' OS  2) Interdire tout logiciel de p2p et revenir aux bons vieux serveurs ftp. C' est la même chose et en plus t' as pas besoin de logiciel client qui servira de base à du Spam . Les professionnels qui ont le plus besoin du p2p passe généralement par un réseau qui échappe au grand public. 3) Passer les abonnés en ip fixe. Meilleur moyen de détecter l' utilisation d' échange de données relevant du droit d' auteur et NON LIBRES. 4) Permettre au public ne savoir comment sont réparties les sommes récoltées au profit des artistes au moyen des taxes sur les supports numériques.Comme le souligne Christine on paye déjà une taxe sur l' achat de support ne servant pas exclusivement à graver des fichiers relevant du droit d' auteur NON LIBRE. Où va cet argent ? A qui "profite t'il ? Sur quel principe de répartition ?
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| Le 18/02/2006 à 09h13 (213.36.*.**) |
Fox -
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Rectification : (" Savez vous quoi qui’n’y’a ? ") les canards ne sont pas en plastique mais en bois, dans la marre derrière chez moi (à 325 km, tout de même). Ils sont censés attirer leurs congénères migrateurs … (s’agirait de bien les planquer, à c’t’heure !)
Toute notre société (terrestre, qui se prétend " mondiale ", voire intergalactique) est basée sur le commerce. A l’origine il s’agissait de pratiquer des échanges, de spécialités locales. Maintenant on veut " faire du chiffre " (comprendre se faire une marge maximale, en vendant un truc, que l’autre a déjà, la plupart du temps).
Dans ce contexte, qui frise tout l'temps le vol (ou la corruption) il y a une évolution, un basculement ludique : maintenant on préfère donner que de se faire prendre. C’est une question de vitesse (il faut réussir le don avant que l’autre arnaque. Médaille d’or !)…
Alors c’est pour ça que personne ne prend vraiment au sérieux cette soi-disant menace que constituent le P2P ET les logiciels libres … Et que le gratuit a le vent en poupe.
@ Louis : Au lieu de l’URSS je prendrais Brazil comme référence (c’est pas folichon comme univers, mais le film que Terry Gilliam en tire est jubilatoire !) :-)
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| Le 18/02/2006 à 05h26 (82.234.**.***) |
Christine -
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Gratuit, gratuit, gratuit, pourquoi gratuit ???
Une connection internet, cela se paie. Effectivement, cela ne va pas aux artistes, ok. Mais les supports vierges, cela se paie et va aux artistes. Même si c'est pour y mettre les photos des premiers sourires du bibou, de ses premières bouchés, de ces premiers pas, de sa première bougie. Même si c'est pour la sauvegarde de disques durs où il y a un développement poussé en C++. Cela dérange t-il les artistes ??? Avec l'apparition du numérique (appareil photo par exemple), les recettes ne doivent pas être négligeables.
La licence globale optionelle me semble être un bon compromis. Et ce n'est pas gratuit. Il y a peut-être quelque aménagements à faire, des points de technique à voir. Mais cela me semble une bonne base de départ juste et honnete. Bien sur, j'entends déjà d'ici, "il y en a qui vont en profiter et faire du téléchargement sans payer". Il y en a marre de voir des gens malhonnetes partout.
Dans les CD, je n'apprécie pas que la musique. J'apprécie aussi les photos, les paroles, les histoires, la biblio. Mon compagnon m'a offert dernièrement le dernier de Cheikka Rimitti. Cela n'aurait pas eu la même valeur que gravé sur un CD suite à un p2p. J'ai de belles photos dans un petit livret avec la traduction des paroles (je ne comprends pas l'arabe). La musique achetée en CD et celle téléchargée sur le net ne sont pas les mêmes produits.
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j'avoue parfois ne pas en saisir toutes les subtilités (je ne veux en aucun cas ici me substituer à Donnnadieu de Vabres - ou d'El Gringo d'ailleurs!!! 
)qui sait faire tres bien le gars qui croit comprendre mais qui n'y pige rien...!!! 
) si nous voulons qu'un Projet de Loi "Bertignac" Pire to Peer (comprenne qui pourra!) voit le jour, setrait il possible de créer une espèce de commission, qui nous résume derechef:
) 
553 554 555 556 557 558 559 560 561 562 563 
