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Le 16/03/2006 à 16h13 (213.228.*.**) |
Avis à la Population "Précaire" !@Greg, Nebo... -
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Pour ceux qui ne voyent pas plus loin que leur bout du nez... Vous en rêvez...J.M l'a fait! http://www.frontnational.com/">ICI
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Le 16/03/2006 à 12h35 (196.217.**.**) |
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salam rachid kirak dayar
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Le 16/03/2006 à 01h05 (129.128.***.**) |
greg - @Avis à la Population "Précaire" ! -
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Vive le copier-coller! On dirais que tu es aveugles... Tu crois que les emplois se crées comme ça d'un coup de baguette magique? Si c'était le cas on se poserait pas de questions!
Tu proposes quoi, pour diminuer le chômage à part protester?
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Le 15/03/2006 à 23h39 (86.198.***.**) |
Nebo -
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Ta jeunesse... à la premièe occasion va aller se coucher et fermer sa gueule... la seule chose qui la tient dehors c'est la nonchalance de la chienlit... y'a rien derrière... aucune vision... aucune conscience si ce n'est une conscience bien bourgeoise qui baille : ils rêvent de sortir diplomés dans la rue et de trouver un Job bien payé qu'ils garderont toute leur putain de vie en zappant devant la télé réalité en se grattant les couilles ou les miches. Point ! Ils veulent la sécurité ultime. Celle qui n'existe pas !C'est tout juste si ils ne gueulent pas : Exploités OUI ! Mais en CDI ! Basta !
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Le 15/03/2006 à 23h30 (213.228.*.**) |
Avis à la Population "Précaire" ! -
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CES, CEC, RMA, CNE, CPE, Intérim, CDD, Léa ou Contrat Unique... Vos contrats, on n’en veut plus !
AC ! Rhône, le Collectif Vaudais des Privés d’Emploi et Précaires, le Syndicat des Privés d’Emploi et Précaires CGT, appellent tout le monde dans la rue !
Manifestation samedi 18 mars à 11h00, place Bellecour.
La lutte que mène la jeunesse contre le Contrat Première Embauche, aboutit aujourd’hui à catalyser les contradictions profondes de notre société et les malaises qu’elle développe dans tous le corps social. Si l’idéologie de la "libre" concurrence des hommes et des femmes entre eux a été imposée aujourd’hui sur l’ensemble de la planète, comment lutter contre les délocalisations, le chômage, la précarité, la pauvreté et pour la solidarité et la liberté ?
En 2004, l’Organisation Internationale du Travail annonce 184 millions de chômeurs dans le monde. Dans la nove langue entrepreneuriale, chaque région du monde est devenue un site "envisageable" pour l’implantation du business.
Depuis les années 70, pour faire face à la montée du chômage, les gouvernements des différentes régions de la planète, soumis à l’influence du FMI, ont fait de la précarisation de l’emploi et de la baisse des prélèvements obligatoires, le centre des politiques sensées "remédier" à cette situation.
- Les conséquences en sont : la concurrence généralisée, la paupérisation et la remise en cause des services publics, des droits sociaux, accentuant ainsi les inégalités.
En France, cette attaque systématique des droits, conquis par les luttes sociales, a répandu la précarité dans toute la société (CIP, CES, CEC, RMA, Contrat d’Avenir, CNE CPE...).
- Cette précarisation diffuse, a conduit à rechercher de nouveaux "boucs émissaires" : étrangers "trop nombreux", "inadaptés" sociaux, chômeurs-fraudeurs, chômeurs "qui font trop peu ou pas assez, trop de recherche d’emploi et pas assez tout le temps ou de temps en temps".
Dans le même temps, on reproche la "rigidité" du code du travail, et aux salariés, bénéficiant de "situations non précaires" (CDI), leur manque de souplesse, quant aux fonctionnaires, on oppose les "privilèges".
Et quand vraiment rien ne suffit plus pour adapter les hommes et les femmes à la précarité, c’est l’idéologie du MEDEF qu’on leur applique comme une griffe : " la vie, l’amour, la santé sont précaires, pourquoi le travail ne le serait-il pas ?" (L. Parisot)...et vice et versa, vice...
- Ces logiques de boucs émissaires ont trouvé leurs aboutissements à l’égard des chômeurs dans le contrôle accru mis en place par le plan de "cohésion sociale" du ministre de "l’emploi et de la solidarité" Jean-Louis Boorlo.
Phénomène doublé de la transformation des RMistes en main d’oeuvre corvéable à merci par les présidents de Conseils généraux (cf. Michel Mercier et sa politique "pilote" qui a consisté à convoquer plus de 4 000 RMistes du Rhône, dans l’intention de les "inviter" à se rendre utiles en participant aux vendanges 2005 en Beaujolais). Etc, etc, les exemples abondent.
Comment chercher continuellement un emploi qui n’existe pas, peu, ou de temps en temps.
- Aujourd’hui, il ne s’agit plus de permettre aux chômeurs de trouver simplement un travail qui se fait de plus en plus rare, précaire et mal payé. Mais simplement d’imposer des devoirs, la recherche permanente d’un travail "quel qu’il soit", qui conditionnent l’octroi de "droits" permettant, quelques fois, et de moins en moins souvent, de payer le strict nécessaire.<
Personne aujourd’hui n’est à l’abri du chômage, de la précarité, de la misère.
Comment donner du sens, lorsque l’on est tous contre tous ?
- C’est pourquoi, face à la gravité de la situation et dans un souci de solidarité, nous appelons les chômeurs et précaires à se réunir avec leurs familles, leurs ami-es, dans leur ville, quartier, avec leurs associations et syndicats, etc :
- à ne plus rechercher ou accepter d’emplois précaires (RMA, Contrat d’Avenir, CNE, CPE) !
- à refuser toutes radiations, suspensions de revenu, quels qu’en soient les motifs !
- à refuser les expulsions de logements, les coupures EDF/GDF, eau, quels qu’en soient les motifs !
Nous appelons les chômeurs et précaires à s’exprimer en rejoignant toutes les manifestations contre la précarité, et à participer aux assemblées générales !
Manifestation samedi 18 mars à 11h00, place Bellecour
o Le Syndicat des Privés d’Emploi et précaires CGT
31 rue Quivogne 69002 Lyon
Permanence les jeudis de 11h00 à 17h00
Tel : 04 78 38 02 92
Mail : pepsi.cgt69@wanadoo.fr>
o AC ! Rhône
37 cours de la République
69100 Villeurbanne
Permanence les mardis de 15h00 à 20h00
Tel : 04 78 84 38 51
Mail : acrhone@no-log.org>
o Le Collectif Vaudais des Privés d’Emploi et Précaires
9 place Guy Môquet
69120 Vaulx-en-Velin
Permanence les samedis de 9h30 à 12h00
Tel : 04 37 45 09 93
Mail : collvau@free.fr
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Le 15/03/2006 à 22h55 (82.125.***.***) |
Denis -
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Dans un autre domaine je vous invite à prendre connaissance de la circulaire
ministérielle numéro 2005-206 du 2 décembre 2005 en application de la loi du 13 août 2004.Google est votre ami ... Stop ... pas le temps de chercherle lien ... Stop ... vaisselle à faire ...
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Le 15/03/2006 à 22h52 (82.125.***.***) |
Denis @ Greg -
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Il n' y a pas d' age pour être réac ... enfin le plus tard est quand même le mieux. Non je déconnes, je trouve que cette dénomination dans notre socièté actuelle a perdu de son sens. Je lui préfère le terme "passéiste". Concernant Frncois dans un autre domaine je te fais un copier/coller d' un article du journal sud-ouest de ce jour : "« Jean est un homme extrêmement courageux. Il met sa santé en péril pour sauver la seule usine qui reste dans une vallée pyrénéenne. Il le fait d'une manière non violente, pour que tout le monde prenne conscience de ce qui se passe. Il mérite le respect, il mérite aussi l'admiration. » François Bayrou a tenu à apporter une nouvelle fois son soutien à son ami. Embrassades et échange de mots en béarnais dans la salle des Quatre colonnes où Jean Lassalle entamait hier sa deuxième semaine de grève de la faim.
Le président de l'UDF a également vivement critiqué Bernard Accoyer, président du groupe UMP, qui voyait dans l'action de l'élu de la vallée d'Aspe « un aveu d'impuissance », appelant le président de l'Assemblée à « faire respecter un minimum de tenue », et demandant ainsi l'expulsion de son collègue. « Quand il y a des imbéciles qui disent "c'est pas comme ça qu'on fait" avec la bouche en cul de poule, "faut aller dans les ministères"... tu parles comme les Français savent qu'aller dans les ministères ça change quelque chose pour les usines qui déménagent ! Il y a la fausse politique, celle des apparences, et la vraie politique, celle de l'émotion des peuples. Et Jean Lassalle, c'est la politique de l'émotion des peuples. Si on pouvait se réconcilier avec ça, chacun avec son style et sa manière, on aurait fait quelques chose de bien pour notre pays. » Mais on peut y voir une manoeuvre électoraliste ... Ce que tu ne fais quand même pas faire à un gauchiste
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Le 15/03/2006 à 22h36 (82.67.**.***) |
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De gaulle = france algérienne
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Le 15/03/2006 à 21h09 (82.67.**.***) |
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intervention approuvé et reapprouvé la vérité !!!!
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Le 15/03/2006 à 21h08 (82.67.**.***) |
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Bientôt le procès de la gde zhora sur le massacre des harkis des pied-noirs et des héros français les vrais pas les couilles molles comme lui qui spoi disant on libéré la France et ses veaux depuis Londres derrière un micro : au fait qui a balancé Moulin ?
La gde Zhora n'est pas loin dans cette affaire voir avec les résistants ceux qui avaient des couilles
Vive Jean Moulin bastien thiry Juin De lattre Martel Camus st exupéry etc....
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Le 15/03/2006 à 17h46 (82.67.**.***) |
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Au secours , qui est cette grande Zhora !!!!
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Le 15/03/2006 à 17h40 (82.67.**.***) |
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la vérité bientôt su www.lagrandezhora.fr
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Le 15/03/2006 à 13h52 (82.125.***.***) |
Denis @ Lionel -
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Le CPE est réactionnaire, puisque qu' il transforme l' avenir professionnel des jeunes en un vaste retour en arrière de quelques dizaines d' années. Peut-on parler de progrés ? Et si progrés il y a comment expliquer que des présidents d' universités réagissent eux aussi ?"Les réactionnaires d'aujourd'hui, ce sont en réalité bon nombre de ceux qui manifestent "contre" et s'organisent en résistances diverses contre l'avancée souhaitable, la sortie des blocages." Si tu vas par là (facon de parler locale), ce sont les mêmes qu' hier. Tu sais ces hommes et ces femmes qui bossaient chez danone et qui refusaient leurs licenciements au nom du progrés social (interpréter profit des actionnaires). Je cite : "Avec + 215,5 % danone arrive en tête des progressions du cac 40 mais son 1,464 milliards d' Euros (je te laisse transcrire en Francs de l' époque des licenciements dits "économiquements justifiés"), ne peut rivaliser avec avec total et ses 12 milliards (en cas d' augmentation du prix du brut, eux il partagent pas, au contraire c' est bénéf). Si ta sociètè de demain est basée sur une telle idéologie je te la laisse sans rancunes . "... J'ai le sentiment qu'il faudra que je travaille jusqu'à 75 ans au moins ..." Là je te rejoins, je pense comme toi. Mais voilà comment expliqueras-tu que ceux qui ont travaillés 40 ans (de cotisations ayant travaillées dans les caisses de l' état) devront toucher moins que leurs collègues partis 1 ou 2 ans plus tôt ?, parce que ceux qui gagnent de l' argent sans travailler et en spéculant, ont décidé par la même occasion que les jeunes seraient condamnés à la précarité du travail . "Pour moi, il est évident que le CPE et le CNE préfigurent l'évolution du contrat de travail pour tous." Non c' est en fait une régression. Ce sont ce type de contrat dont bénéficiaient nos parents en début de vie professionnelle. Certes sans assurance chomage, mais avec le plein emploi. Tu disais : "Réactionnaire". "L'époque est à l'égalité, au partage. Au partage des bonnes choses comme des choses difficiles. La précarité dans le travail fait partie de ces choses difficiles." Ce type de raisonnement je ne l' ai vu qu' au dessus de ma tête Lundi aprés-midi. Lorsque une vague de grues, c' est mise soudain à tournoyer pour attendre une autre vague plus en retrait. Ensuite tout ce beau monde (trés détesté en ce momment ) c' est remis en ordre de marche pour former un grand V . Hors sujet, quand on en arrive à faire effectuer une simulation de guérilla urbaine (grande première), à une fraction de son armée nationale (dans un village, au milieu des habitants dont les enfants en font partie), celà ne laisse pas transparaitre une grande sérénité politique. Ou peut-être est-ce l' idéologie de demain ?
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Le 15/03/2006 à 11h11 (213.245.***.***) |
Lionel @ Denis -
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Ton appel est humoristique et bon enfant, mais il n'en pratique pas moins le genre de gros cliché simpliste contre lequel je cherche à prévenir. Avant d'utiliser le qualificatif de "réac" comme qualficatif péjoratif facile, essaye de te souvenir de son étymologie : être "réactionnaire", c'est réagir contre l'avancée naturelle des choses, contre le progrès. Les réactionnaires d'aujourd'hui, ce sont en réalité bon nombre de ceux qui manifestent "contre" et s'organisent en résistances diverses contre l'avancée souhaitable, la sortie des blocages.
Aider notre société à avancer dans ce moment difficile de transformation, c'est le plus possible se prendre en charge, pour ne pas ajouter trop de poids à la charge actuelle très lourde de la collectivité. Quand j'entends le nombre de petits bourgeois réactionnaires qui manient actuellement le pathos dans divers médias pour se plaindre en disant que plus rien n'est possible quand on a pas un boulot de fonctionnaire assuré pour 30 ans, alors que je vis moi-même dans la précarité laborieuse totale depuis 18 ans sans beaucoup me plaindre et que je le fais notamment pour aider ma collectivité, en prenant ma juste part du risque de travail plus important d'aujourd'hui, je ne sais pas si je dois rigoler ou pleurer.
Ma retraite, cher Denis ? Quelle retraite ? Je ne vois pas comment notre système sur lequel on s'arc-boute pourra encore fonctionner tel quel. J'ai le sentiment qu'il faudra que je travaille jusqu'à 75 ans au moins, et ce malheureusement d'autant plus que tous les corporatismes réactionnaires continueront de défiler dans les rues pour défendre chacun ses privilèges sans d'autre pensée pour le collectif que les clichés comme ceux que tu alignes pour faire croire, comme avec un masque de carnaval, qu'on est dans le "bon" camp, dans celui de ceux qui se battent soi-disant glorieusement pour le progrès alors qu'ils ne font que faire du bruit et la "une" de l'équivalent virtuel de France-Dimanche en politique.
Tous ceux qui se la jouent dans ce registre, et ils sont nombreux, à passer leur temps à essayer de faire pleurer dans les chaumières pour des motifs injustifiés n'ont pas l'air d'être conscients de ce qui va leur/nous tomber sur la gueule dans les décennies qui viennent. En matière de tensions sur le marché du travail, de concurrence des gros pays émergents comme la Chine et l'Inde, je crois sincèrement qu'on en est qu'au tout début. La partie réactionnaire de la population qui est dans la rue me semble totalement en décalage avec ces perspectives très difficiles et c'est regrettable.
Pour moi, il est évident que le CPE et le CNE préfigurent l'évolution du contrat de travail pour tous. En même temps que certains avantages de l'accélération de tous les rythmes économiques et sociaux, nous subissons leur contrepartie négative, c'est-à-dire des risques économiques et de travail accrus. Ces risques doivent être partagés. Il est illusoire de croire qu'une entité -- compagnie d'assurance, sécurité sociale ou autre -- peut nous en protéger contre de l'argent, contre un serment d'allégeance, ou que sais-je encore. Précisément, l'époque n'est plus à l'allégeance, à la subordination (notion encore fondamentale du code du travail). L'époque est à l'égalité, au partage. Au partage des bonnes choses comme des choses difficiles. La précarité dans le travail fait partie de ces choses difficiles. Il faut la partager, s'en protéger partiellement en l'acceptant pour soi et pour les autres.
Cela demande du courage. Beaucoup plus que de descendre dans la rue pour protester.
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