Madrassa Al Kindi de Décines (Rhône) : les islamistes de l'UOIF accentuent leurs intimidations et se dévoilent.
Suite au refus justifié du rectorat quant à l'ouverture de ce collège coranique fondé par la filiale française des Frères Musulmans, l'Association Al Kindi passe aux pressions physiques et à la désobéissance civile.
Prétendant défendre « l'avenir de nos enfants » alors que les parents des 140 élèves inscrits continue à déscolariser leurs enfants au mépris de la loi, Al Kindi crie à l'« islamophibie » et au « racisme d'Etat » (bigre !), accusant le recteur Alain Morvan d'avoir tenu des « déclaration insultantes » envers les musulmans.
Ces islamistes mettent donc à exécution les menaces qu'ils avaient proférées contre le recteur avant même qu'une quelconque décision soit prise : en cas de refus quel qu'il soit, les responsables d'Al Kindi avait promis à André Morvan de l'accuser de « prévention contre l'islam ».
Mais Al Kindi franchit un nouveau pas dans la pression physique et la désobéissance aux lois de la République.
En effet, considérant qu'« une action s'impose » pour « se faire respecter » (sic !) et « exprimer notre colère », l'association appelle les musulmans à une occupation du rectorat de Lyon 92 rue de Marseille, jeudi 5 octobre à partir de 10 heures, tout en dénonçant « l'hostilité et l'acharnement dont a fait preuve le recteur de l'académie contre le projet et ses porteurs ».
On retrouve donc les méthodes d'intimidation et de diffamation du Mrap et des islamistes, consistant à accuser de racisme quiconque ose s'opposer à l'islam ou à des musulmans, même avec des arguments fondés.
Al Kindi appelle tous les musulmans à « passer le mot » pour se rendre à cette occupation des locaux publics de l'Académie, et, demande à « ceux qui peuvent être là » d'invoquer Allah « pour le succès de l'action ».
Al Kindi prévoit d'autres actions, « si d'ici là l'administration n'est pas revenue à la raison ». Cette filiale de l'UOIF prévoit tout simplement d'assurer les cours dans son collège coranique de Décines le 11 octobre, en présence des élèves inscrits et d'un service d'ordre… le tout en pleine illégalité !
Les masques tombent : Al Kindi, tout comme sa maison-mère l'UOIF, ne respecte les lois de la République que si elles sont conformes à l'islam. Sinon, pour ces musulmans, il faut appliquer ses propres lois, et imposer en France la charia par la force. Rien d'étonnant, puisque c'est le programme même des Frères Musulmans : islamiser la planète, par le biais du jihad si besoin est, et ne reconnaître aucune loi sinon celles du Coran et de Mahomet.