s la pluie, après 2000 nuits, Cendrillon a des rêves d’un amour interdit avec Jack, le garçon d’ascenseur. 
Telle est ma vie, j’suis partie de chez mes parents, j’sais pas quoi faire, tu vas me manquer, Maguy, t’arrache pas ma petite poupée, j’attendrai, (Prends) ce que je veux…un peu de ton amour dans un autre monde …
Non, je ne veux plus t’attendre, Ô fais moi l’amour ; dans ton lit… Regarde moi, Pourquoi n’essaies tu pas ?
J’ai rêvé dans le Métro de Faits divers, 66 heures à New York avec toi, non, Oublie çà, au bout du rouleau, j’ai rendez-vous en costard, depuis longtemps sous des pluies de blues.
Le jour s’est levé sur les dunes, les bêtes, le chat, Mouettes et rhinos, Tziganes et grizzly, et la saga des gnous à la maison blanche lors d’une ballade pour un matin.
D’ailleurs Le matin au réveil, La fille d’Essaouira, pleure dans son 22m², Vanessa la laisse et boit un Bloody mary Tabasco devant le grand ordinateur comme dans l’hymne aux paumés.
Alors à Cœur ouvert, je joue du Rock’n’roll en pro, j’ai Rever d’L, Les filles comme toi sont des frôleuses
Mais J’ai pas le temps pour les simulations et pour frayer (avec elle) j’ai une vie de chien, et pis On est pas tous heureux…
Le silence se propage facile de flipper, Le fugitif démantibulé mais pas cassé, l’arroseur arrosé en simple visite pour faire face au vaudou.
Hygiaphone, audimat, argent trop cher, crache ton venin, laisse tomber …cà c’est vraiment toi.
Tout çà c’est du cinéma, dure limite avec ces idées-là, tes bonnes choses n’ont pas de fin, la bombe humaine, les minilou, vas-y guitare, malgré la petite haine ne fais pas mes malles car ce soir est ce soir.
Je t’ai dit, tu brilles dans le noir, c’est peu ordinaire… mais ça ne me fait pas flipper, je reste à ton réveil… Qu’ils nous parlent Petit Louis et Valérie, ils auront tout Faux.
T’as qu’ces mots, les « ils » et les « on », (le) silence, J’ai mal à la tête, tu sais comment le ciel dans une chambre dans le plus beau quartier de New York c’est chaud mais pour combien de nuits ?
Alors Rendez-vous Là Haut au Paradis, c’est juste un autre genre où jour contre jour, c’est jamais le vide, il y a toujours quelqu’un pour quelqu’un.
Et le vent viendra, sur la route Sans toi…Loin de toi…