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Le 16/06/2012 à 01h20 (70.36.*.***) |
lafouine -
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Peut être parce que le PS assume sans hypocrisie ses relations, quand les Le pen vont à Vienne au bal de l extrême droite, ils montrent le vrai visage du parti entouré de beau monde.. On voit bien l extreme droite en Grèce, en Hongrie , partout élu c , est la fin de la liberté , égalité et surtout fraternité.
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Le 15/06/2012 à 19h22 (88.189.**.***) |
Nebo -
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Et pourquoi l'alliance PS/Front de Gauche et anciennement PC ne choque jamais personne ?
Le communisme, 150 000 000 de morts AU MINIMUM !
C'est tout de même très curieux !
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Le 15/06/2012 à 15h18 (88.189.**.***) |
Nebo -
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Et aussi :
En histoire aussi, la vérité rend libreFamille chrétienne- 07/11/2011 Réponses de Jean Sévillia à un entretien sur les idées reçues en matière historique. Comment se définit, en Histoire, le « politiquement correct » ? Globalement, il s’agit d’une lecture du passé commandée par l’idéologie actuellement dominante. Quelle est cette idéologie ? Celle d’un monde sans frontières, où les enracinements sont condamnés par principe ; d’un monde multiculturel, où toutes les civilisations sont déclarées égales ; d’un monde voué au libre-échange humain et matériel, où toute référence morale et métaphysique est bannie dès lors qu’elle paraît faire obstacle au libre-arbitre individuel. Dans la pratique, en France, le politiquement correct appliqué à l’histoire se traduit par un anti-occidentalisme systématique, par l’aversion à l’égard de notre héritage national, et surtou tpar une animosité non-dissimulée envers la présence du christianisme dans notre histoire, spécifiquement envers le catholicisme. Sur le plan méthodologique, le phénomène se traduit par trois procédés principaux. D’abord l’anachronisme : le passé est jugé à partir des critères du présent. Analyser le Moyen Age, par exemple, époque communautaire et sacrale, au nom des droits de l’homme et d’une vision sécularisée de la société, c’est s’interdire de comprendre la civilisation médiévale. Deuxième procédé : le manichéisme. Les bons sont opposés aux méchants, mais toujours selon les canons d’aujourd’hui. Troisième procédé, enfin, la simplification. Alors que l’histoire est le lieu de la complexité, le politiquement correct interprète le passé en fonction d’un ou deux facteurs explicatifs (le racisme, l’intolérance, etc.) tirés de l’arsenal idéologique contemporain. Lutter contre le politiquement correct en histoire, c’est tenter de retrouver la vérité d’une époque, que cette vérité soit ou non plaisante à nos yeux. En 2003, vous avez écrit « Historiquement correct ». En 2011, vous publiez « Historiquement incorrect ». Y a-t-il une évolution ? Pas vraiment, puisque l’idéologie dominante est la même. Si l’on remontait plus haut dans le temps, des différences sensibles sauteraient aux yeux. Jusqu’aux années 1970, l’explication marxiste de l’histoire guidait de nombreux chercheurs. Je ne dis pas que le marxisme a disparu, mais celui-ci ne fait plus référence dans le monde de l’histoire. Entre 2003 et 2011, on note tout juste des inflexions dans le discours imposé. Mon Historiquement correct, il y a huit ans, faisait ainsi état de la polarisation du débat historique, dans les années 1990, autour des années d’occupation. La décennie 2000-2010 a plutôt été caractérisée par les polémiques concernant le bilan de la colonisation. Un durcissement s’observe actuellement, nourri par un véritable terrorisme intellectuel, autour de tout ce qui touche à l’histoire de l’islam. Comme tristement exemplaire, vous évoquez l'affaire Gouguenheim, polémique sur ce que l'Occident médiéval doit aux Arabes... Après la publication de son livre Aristote au Mont-Saint-Michel, Sylvain Gouguenheim, enseignant à l’Ecole normale supérieure de Lyon, a subi une véritable chasse aux sorcières, visant rien moins qu’à obtenir son interdiction professionnelle. Tout cela au nom de la tolérance, bien entendu… Tout cela parce que ce médiéviste remettait en cause la vulgate aujourd’hui installée selon laquelle le passage de la culture antique vers l’Occident s’est opéré grâce aux philosophes arabes. Gouguenheim n’a fait que rappeler que le Moyen Age latin a travaillé directement sur les textes grecs, que certains de ces textes lui parvenaient par le canal de Byzance, que les traducteurs arabes, dans le monde musulman, étaient souvent des chrétiens, et que, globalement, le monde islamique n’a utilisé qu’une faible part de la pensée hellénique. Ce sont des faits historiquement établis, mais comme ils contreviennent au cliché d’une civilisation musulmane ouverte aux autres cultures, il devient interdit de les rappeler. Vous traitez aussi bien des chrétiens et des juifs que de la France et de l'islam. Le traitement n'est pas exactement symétrique... Le christianisme est né du judaïsme. Leur séparation s’est faite dans la douleur, affrontement qui a laissé des traces durables des deux côtés. Dans un chapitre d’Historiquement incorrect, j’ai tenté de retracer jusqu’au XXe siècle cette relation difficile, mais en balayant certaines légendes : il n’est pas niable que la société de chrétienté a été dure pour les non-chrétiens, mais voir de l’antisémitisme partout dans le passé occidental est une simplification abusive. Il reste que chrétiens et juifs, héritiers et détenteurs d’un patrimoine commun, ont partie liée, ce sur quoi Jean-Paul II et Benoît XVI n’auront cessé d’attirer notre attention. Avec l’islam, la relation est radicalement différente pour les chrétiens : les textes sacrés ne sont pas les mêmes, la conception de l’homme et de la société non plus. La rencontre de la France et de l’islam s’est faite dans le cadre colonial, en posant des problèmes qui n’ont jamais été résolus. Après la liquidation des colonies, l’islam est resté par le canal de l’immigration. Un islam de France ou un islam européen est-il possible ? Une inconnue s’ouvre devant nous. Vous parlez beaucoup de la France. N'est-ce pas le cœur du malaise ? Un pays qui doute de son identité au point d’être incapable de s’accorder pour la définir, comme on l’a constaté lors du débat de 2009-2010 sur l’identité nationale, est mal armé pour regarder son passé, et partant mal armé pour aborder l’avenir : pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient. Le Président de la République inaugure bientôt un Musée de la Grande Guerre à Meaux. Or vous affirmez que nous ne comprenons plus cette période... L’intérêt pour la Première Guerre mondiale va croissant, mais l’univers mental des combattants de 14-18 nous est de plus en plus incompréhensible. A l’heure de l’Europe unie, comment comprendre la haine du « Boche » (haine qui était la même dans l’autre camp) ? A l’heure du « droit à », comment comprendre l’expression « faire son devoir » ? Dans une société d’abondance et de confort matériel, comment comprendre ce que ces hommes ont enduré et ont accepté d’endurer ? Alors le cinéma, le roman ou la bande dessinée font revivre la Grande Guerre, mais en prêtant aux Poilus une mentalité d’aujourd’hui : fraternité internationale, pacifisme, révolte contre l’ordre militaire. Historiquement, cela ne correspond pas à la réalité. Si mystérieux que cela nous paraisse, les hommes de l’époque ont consenti à cette guerre. On peut le déplorer et juger que 14-18 a été une guerre civile européenne, ce n’est qu'un jugement rétrospectif. Dans votre livre, on voit qu'on fait souvent à l'Eglise et au christianisme des procès historiques. Ne sont-ils jamais justifiés ? L’Eglise est d’institution divine, mais elle est composée d’hommes qui sont par nature imparfaits. Il serait par conséquent absurde de prétendre que le passé de l’Eglise est sans tache. Regardons donc l’histoire de l’Eglise en face. Mais procédons comme des historiens authentiques et non comme des idéologues : examinons les sources, faisons-leur subir un examen critique, replaçons les faits dans leur contexte, analysons-les en les rapportant aux idées et aux mentalités du temps. Les pages sombres de la légende anticléricale s’éclairent alors d’un autre jour, même si, redisons-le, des moments de grande imperfection se repèrent dans l’histoire de l’Eglise, imperfection que l’Eglise, avec la force d’une institution qui traverse les siècles, a toujours su corriger. Les dérives de la Rome de la Renaissance ont provoqué la Réforme luthérienne, qui elle-même a suscité, par contrecoup, le renouveau spirituel de la Contre-réforme. La condamnation de Galilée témoigne-t-elle ainsi de l'obscurantisme de l'Eglise ? Il est difficile de résumer en quelques mots une histoire aussi complexe que l’affaire Galilée, mais il faut retenir que l’astronome n’a pas été condamné en soi parce qu’il professait l’héliocentrisme : le chanoine Copernic avait déjà affirmé que la terre tourne autour du soleil, et ce sans être inquiété par les autorités ecclésiastiques. A Galilée, il était reproché de professer un système astronomique sans avoir les moyens de le prouver et en mêlant l’Ecriture sainte à l’affaire. Des considérations politiques sont également à l’origine du procès qui lui a été intenté. Mais l’Eglise de son époque n’était pas l’ennemie de la science. Elle ne l’a d’ailleurs jamais été. En Histoire, la vérité finit-elle toujours par triompher du mensonge ? J’aimerais le croire, mais je n’en suis pas certain. Des mensonges, infiniment répétés, répercutés par l’école, les médias ou l’air du temps, finissent par s’imprimer profondément dans les esprits, et le travail nécessaire pour les démasquer est sans fin. Ce n’est pas une raison pour se décourager. D’autant que des victoires peuvent être remportées. Par exemple, si les crimes du communisme sont moins rappelés que ceux du nazisme, plus personne ne nie aujourd’hui les horreurs de Katyn ou du goulag, ce qui n’était pas le cas il y a encore trente ans. En histoire aussi, seule la vérité rend libre. Propos recueillis par Jean-Marc Bastière http://www.jeansevillia.com/index.php?page=fiche_article&id=191" target="_blank" data-mce-href="http://www.jeansevillia.com/index.php?page=fiche_article&id=191">SOURCE -------------------- http://img600.imageshack.us/img600/2261/historiquementincorrect.jpg" alt="" width="230" data-mce-src="http://img600.imageshack.us/img600/2261/historiquementincorrect.jpg" style="border-top-width: 0px; border-right-width: 0px; border-bottom-width: 0px; border-left-width: 0px; border-style: initial; border-color: initial; ">
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Le 15/06/2012 à 14h58 (88.189.**.***) |
Nebo @ All -
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Cher Nicoleptique, Ivanovitch s'exprime un peu rudement, mais il n'a pas tort, loin s'en faut. On peut, en effet, s'amuser à appliquer à l'Histoire (avec un grand "H") toutes les grilles de lectures possibles par les biais des contingences (ce qui aurait pu être, ce qui aurait pu ne pas être), ce n'est pas avec des "si" que l'on est en mesure d'en saisir la complexité et on ne fera que passer les événements qui l'ont structurée au prisme des idéologies.
Le Christianisme est largement constitutif de nos civilisations européennes diverses et variées et, que cela plaise ou non, là n'est pas le problème, les valeurs Judéo-Chrétiennes ont contribué à façonner nos mentalités. Même si tu es "athée", il n'empêche (j'en suis à peu près sûr) que tu es possessif et jaloux par rapport à ta compagne, épouse ou petite amie, comme si tu étais marié devant Dieu à l'Eglise. Parce que c'est comme ça et pas autrement. Lorsque Jules Ferry voulait faire sortir l'Eglise de l'Ecole, à l'Assemblée on lui demanda : "Et quelle morale allez-vous enseigner à nos enfants ?" Et celui-ci de répondre, quoi de plus normal ? : "Nous leur enseignerons la moral de nos pères !"
Avoir la Foi, ne signifie pas forcément croire en Dieu, mais croire en ce que l'on est, pour le dire en un mot : "Assumer pleinement son identité sans rougir et s'auto-flageller !" Probablement l'Histoire de notre pays n'a-t-elle pas toujours été rose, mais quel pays peut se targuer d'être en mesure d'affirmer que son Histoire fut MAGNIFIQUE et sans DERAPAGE d'aucune sorte ?
Je l'ai, d'ailleurs, déjà cité ici en ces lieux, mais je vais en remettre une couche car il faut dire les choses afin de rétablir la vérité, n'est-ce pas ? Cornélius Castoriadis, que l'on ne peut classer qu'à gauche (tu peux googler un coup, depuis que la plateforme du forum a changé je ne sais plus comment faire pour mettre des liens dignes de ce nom et y'a aucune explication nulle part !) a dit ce qui suit à propos de l'Occident et des autres Civilisations... et tu vas voir, ça pèse son pesant de cacahuètes :
« Dans l’histoire de l’Occident, il y a une accumulation d’horreurs –contre les autres tout autant que contre lui-même. Ce n’est pas là le privilège de l’Occident : qu’il s’agisse de la Chine, de l’Inde, de l’Afrique avant la colonisation ou des Aztèques, les accumulations d’horreurs sont partout. L’histoire de l’humanité n’est pas l’histoire de la lutte des classes, c’est l’histoire des horreurs bien qu’elle ne soit pas que cela. Il y a , il est vrai, une question à débattre, celle du totalitarisme : est-ce, comme je le pense, l’aboutissement de cette folie de la maîtrise dans une civilisation qui fournissait les moyens d’extermination et d’endoctrinement à une échelle jamais auparavant connue dans l’histoire, est-ce un destin pervers immanent à la modernité comme telle avec toutes les ambiguïtés dont elle est porteuse, est-ce encore autre chose ? (…) Il y a quelque chose qui est la spécificité, la singularité et le lourd privilège de l’Occident : cette séquence social-historique qui commence avec la Grèce et reprend, à partir du XIème siècle, en Europe occidentale, est la seule dans laquelle on voit émerger un projet de liberté, d’autonomie individuelle et collective, de critique et d’autocritique : le discours de dénonciation de l’Occident en est la plus éclatante démonstration. Car on est capable en Occident, du moins certains d’entre nous, de dénoncer le totalitarisme, le colonialisme, la traite des Noirs ou l’extermination des Indiens d’Amérique. Mais je n’ai jamais vu les descendants des Aztèques, les Hindous ou les Chinois faire une autocritique analogue, et je vois encore aujourd’hui les Japonais nier les atrocités qu’ils ont commises pendant la seconde guerre mondiale. Les Arabes dénoncent ans arrêt leur colonisation par les Européens, lui imputant tous les maux dont ils souffrent –la misère, le manque de démocratie, l’arrêt du développement de la culture arable, etc. Mais la colonisation de certains pays arabes a duré, dans le pire des cas, cent trente ans : c’est le cas de l’Algérie de 1830 à 1962. Mais ces mêmes arabes ont été réduits à l’esclavage et colonisés par les Turcs pendant cinq siècles. La domination Turque sur le Proche et le Moyen Orient commence au XVIème siècle et se termine en 1918. Il se trouve que les Turcs étaient musulmans –donc les arabes n’en parlent pas. L’épanouissement de la culture arabe s’est arrêtée vers le XIème, au plus XIIième siècle, huit siècles avant qu’il soit question d’une conquête par l’Occident. Et cette même culture arabe s’était bâtie sur la conquête, l’extermination et/ou la conversion plus ou moins forcée des populations conquises. En Egypte, en 550 de notre ère, il n’y avait pas d’arabes –pas plus qu’el Libye, en Algérie, au Maroc ou en Irak. Ils sont là comme des descendants des conquérants venus coloniser ces pays et convertir, de gré ou de force, les populations locales. Mais je ne vois aucune critique de ces faits dans le cercle civilisationnel arabe. De même, on parle de la traite des Noirs par les Européens à partir du XVIème siècle, mais on ne dit jamais que la traite et la réduction systématique des Noirs en esclavage ont été introduites en Afrique par des marchands arabes à partir du XI-XIIième siècle (avec comme toujours la participation complice des rois et chefs de tribus noirs), que l’esclavage n’a jamais été aboli spontanément en pays islamique et qu’il subsiste toujours dans certains d’entre eux. Je ne dis pas que tout cela efface les crimes commis par les Occidentaux, je dis seulement ceci : que la spécificité de la civilisation Occidentale est cette capacité de se mettre en question et de s’auto-critiquer. Il y a dans l’histoire Occidentale, comme dans toutes les autres, des atrocités et des horreurs, mais il n’y a que l’Occident qui a crée cette capacité de contestation interne, de mise en cause de ses propres institutions et de ses propres idées, au nom d’une discussion raisonnable entre êtres humains qui reste indéfiniment ouverte et ne connaît pas de dogme ultime. » Cornélius Castoriadis, La montée de l’insignifiance
Et puis il a dit des choses aussi comme celle-là :
« Le fait que les Hébreux vivaient pour adorer Dieu, et que nous, nous vivons pour augmenter le produit national, ça ne découle ni de la nature, ni de l’économie, ni de la sexualité… Ce sont des positions imaginaires premières, fondamentales, qui donnent un sens à la vie. »
Cornélius Castoriadis, Une Société à la Dérive
Au point où nous en sommes, dans le temps, il est un signe de décadence intellectuelle qui ne trompe pas : c'est lorsque l'on tend à juger les événements passés par la biais des "valeurs" d'aujourd'hui... enfin, "valeurs", hein, si on peut appeler cela ainsi !
Une autre personnalité, de droite cette fois-ci, mais intelligente, a comme cheval de bataille de chercher à nous déniaiser sans arrêt et il sait y faire. Il s'agit de Jean Sévilla dont je te conseille au moins les 4 livres qui suivent...
Le Terrorisme intellectuel : de 1945 à nos joursHistoriquement correct. Pour en finir avec le passé uniqueMoralement correct. Recherche valeurs désespérémentHistoriquement incorrect
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Le 14/06/2012 à 19h53 (88.166.***.**) |
Nicoleptique @ Ivanovitch -
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Merci de ton intervention, tu dis vraiment des choses totalement intéressantes, relis juste ce que j'ai noté. Désolé si mon avis de non croyant ne te passionne pas plus que ça...
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Le 14/06/2012 à 15h04 (194.206.***.*) |
ivanovitch -
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NICOLEPTIQUE TU CAUSES POUR RIEN DIRE.
les croisades d'après ce que j'en ai retenu c'est tout de même les musulmans qui se sont emparé de jerusalem et qui en ont interdit l'accès aux pelerins chretiens. les croisades visaient non pas à convertir les gens sur place,avant l'arrivee des musulmans il y avait quelques juifs et surtout pas mal de chretiens,puisque les juifs avaient ete deportes d'israel par les romains en 70 de notre ere.les croisades c'etait pour proteger les chretiens et securiser les lieux saints du christianisme qui devaient être accessibles aux chretiens.
heureusement qu'il y avait des gens qui avaient la foi pour se defendre surtout et proteger sa civilisation.charles mertel,par exemple.
et chuis desole,mais toutes les religions ne se valent pas
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Le 13/06/2012 à 20h06 (86.202.***.***) |
Lorence@Nicoleptique -
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Sinon je t'assure qu'on peut être croyant sans se regarder la raie comme tu dis...Mais je n'ai pas l'intention de reconvertir qui que ce soit. Tu ne connais la foi , la mienne sait où elle est .A cette heure là si certains ne l'avait pas eu, les arabes seraient au cercle polaire !
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Le 13/06/2012 à 20h00 (86.202.***.***) |
Lorence -
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Désolée....Un oubli involontaire de ma part ..
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Le 13/06/2012 à 18h27 (88.166.***.**) |
Nicoleptique @ Lorence -
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je doute que les chrétiens et les juifs se laissent islamisés a ce niveau là ! Et les athées, tu en fais quoi? Je ne demande rien à personne, ça me gonfle d'entendre sans cesse ses propos de juifs, musulmans ou chrétiens, ses "communautés", chacun est libre de penser ce qu'il veut, mais jusqu'à preuve du contraire, Dieu n'existe pas non? Arrêtez un peu de vous regarder la raie, une religion est une croyance personnelle, elle ne doit pas être affichée au monde entier, ni mise sur un pied d'estale, cela serait une secte non?...cela reste mon avis de non croyant...Amen...
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Le 13/06/2012 à 18h14 (82.245.***.***) |
Stéphane à Nebo -
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Je virens de voir la vidéo de Massy, t'en as profité pour glisser des photos de Venice (très belles d'ailleurs) vous aviez des têtes bien rock comme il faut 
Sinon,je ne travaille pas,j'en ai un peu honte,étant magazinier comme toi avant de me "réalisé" au Théâtre des Champs-Elysées, je ne te dis pas ça pour te raconter ma vie mais pour te dire que j'ai du temps maintenant, et d'ailleurs :
Apparement, Merah aurait été un agent des services français,on en a pas fini d'en parler (info : France 5 )
J'ai du temps et me suis réalisé, mais je n'ai pas de famille à nourrir 
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Le 13/06/2012 à 18h08 (86.202.***.***) |
Lorence@Scalp -
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Pour répondre a ta question puisque l'on "dérive" sur les croisades, Al Quaîda et compagnie. OUI ton gymnase islamisé serait cramé... je doute que les chrétiens et les juifs se laissent islamisés a ce niveau là !
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Le 13/06/2012 à 16h19 (70.36.*.***) |
lafouine -
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Je parlais bien sur si les coupables sont identifiés, ça ferait réfléchir (quoi que quand on fait ça est on apte à la reflexion? j'en doute), mais si la personne sait qu'elle risque de se mettre la corde au cou financièrement en agissant comme ça, l'effet dissuassif serait peut être plus important et les parents seraient peut être plus attentifs.
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Le 13/06/2012 à 15h51 (92.90.**.*) |
scalp - @ lafouine
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Concrètement , comment retrouver les fautifs ?
Comment pourraient-ils rembourser les dégats qui se chiffrent surement en dizaines de milliers d'euros (voir plus) s'ils sont insolvables ?
En fait, comme les fautifs ne seront pas retrouvés, et que les dégats seront remboursés par les impôts des contribuables, il n'y a aucune raison objective pour que les "gamins" soient mieux surveillés.
Mais sinon à ton avis, un gymnase Hallal serait-il plus résistant aux flammes ?
Et sinon c'est quoi le message de la photo de Hollande en dessous ? C'est sa copine qui lui chie sur la tête ?
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Le 13/06/2012 à 15h35 (70.36.*.***) |
lafouine -
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Le débat est hors sujet, pas si sur. Pour ce qui est du gymnase, condamner les fautifs à payer les dégats ou les parents si ce sont des mineurs , ça brulera moins et les gamins seront plus surveillés.
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Le 13/06/2012 à 15h27 (92.90.**.*) |
scalp -
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Le débat dérive bizarrement ... La question de départ était tout simplement de savoir si un Gymnase Islamisé avec Corans et Hadiths au fronton et dans la structure serait du coup épargné par les flammes.
Le débat sur les croisades, la haine, ou Al Qaida est hors sujet.
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Le 13/06/2012 à 15h12 (70.36.*.***) |
lafouine -
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Pour entrer dans le débat, je crois qu'il faut distinguer deux sortes de croyants quelques soient les religions, les intégristes et les autres. Ceux qui brûlent malheureusement ce gymnase n'ont rien de croyants ou alors leur religion ou idéologie est la connerie. Ce sont des voyous des délinquants avant d'être des croyants.
Il faut quand même savoir que les principales victimes d'al quaida sont d'abord les musulmans eux mêmes (http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/12/17/01011-20091217FILWWW00576-etude-sur-les-victimes-d-al-qaeda.php">http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/12/17/01011-20091217FILWWW00576-etude-sur-les-victimes-d-al-qaeda.php)
Parmi vous qui connait plus de musulmans "normaux " ,modérés, qu'intégristes? La majorité je pense, car l amajorité des musulmans vivant en France se comporte bien et les abrutis , les fous d'Allah sont il est vrai de plus en plus nombreux car il est facile de recruter en prêchant dans la misère et l'exclusion (sociale, culturelle). Je ne suis pas en train de défendre les abrutis mais l'amalgame est tellement facile, simpliste. Je suis pour l'expulsion des imans prêchant la haine de la France et ses valeurs, pour les condamnations sévères de comportement anti républicains mais également pour la main tendues envers ceux qui ont envie de vivre tranquillement, pour la déchéance de la nationalité française des individus ayant la double nationalité qui commettent des faits graves à l'atteinte de la république laîque ou de ses ressortissants. Je suis athée tant que la religion s'exerce dans le respect de "liberté, égalité, fraternité" ça va, sinon cul de pied au cul.
L'éducation est la base, cette base s'éffondre, les résultats qui s'ensuivent ne peuvent aller dans le bon sens.
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Le 13/06/2012 à 14h38 (86.202.***.***) |
Lorence -
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Zut ! C'est quoi ces pattes de mouches ?
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Le 13/06/2012 à 13h57 (82.245.***.***) |
Stéphane -
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Petite précision,mes amis sont absolument contre le le pétard, c'est mon ami Thomas qui fait fumer hier après-midi , il a achetré d'ailleurs une telecaster sous la marque Telecaster,c'est fabriqué où maintenant ?
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Le 13/06/2012 à 13h55 (86.202.***.***) |
Lorence -
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Et votre foi , elle est où ? Et ne me répondez pas sous la rate ... Personnellement cette haine de la religion musulmane ne m'effraye pas. Avec les propos que je lis j'ai l'impression de revenir aux temps des croisés. Sacré régression ! Vous laisserez donc tous les musulmans arrivés à l'assemblée nationale sans bouger un petit doigt ? Mais aucun de vous parle de la sienne de religion, bizarre ?? .."Tot ou tard au fronton de l'assemblée nationale ils voudront marquer.."il n'y a de dieu qu'allah et mahomet est son prophète"..c'est en disant ce genre de conneries que les musulmans sèment la terreur dans vos esprits ! Ma foi est nettement plus importante que le nombre de mosquée au m2 ! Ouai ça me fait chier que dans un pays laÏque on sache qui est juif, arabe ou chrétien. Arrêtez donc de vous faire peur ! Faites donc confiance a vos croyance qui ont des valeurs plus importante que celles écriées sous tous les angles !
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Le 13/06/2012 à 13h48 (82.245.***.***) |
Stéphane -
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Quel état d'sprit avons-nous créé
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Le 13/06/2012 à 13h38 (82.245.***.***) |
Stéphane -
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Moi j' ai rien contre leur religion, mes amis Chadli et Mohamed n'ont pas dû tout lire et viennent chez moi avec plaisir 'ils ont plus que cinquante ans ) mais je pense comme vous c'est les jeunes qui foutent la merde !
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